Contributeurs actifs

Voici la liste des principaux contributeurs du blog par leurs commentaires. Vous pouvez cliquer sur leur lien pour obtenir leurs commentaires dans cette page :

(113), Michel Nizon (96), Pierre (85), Fabien (66), herve (66), leafar (44), guillaume (42), Laurent (40), philippe (32), Herve Kabla (30), rthomas (30), Sylvain (29), Olivier Auber (29), Daniel COHEN-ZARDI (28), Jeremy Fain (27), Olivier (27), Marc (27), Nicolas (25), Christophe (21), julien (19), Patrick (19), Fab (19), jmplanche (17), Arnaud@Thurudev (@arnaud_thurudev) (17), Jeremy (16), OlivierJ (16), JustinThemiddle (16), vicnent (16), bobonofx (15), Paul Gateau (15), Pierre Jol (14), patr_ix (14), Jerome (13), Lionel Laské (@lionellaske) (13), Pierre Mawas (@Pem) (13), Franck Revelin (@FranckAtDell) (13), Lionel (12), Pascal (12), anj (12), /Olivier (12), Phil Jeudy (12), Benoit (12), jean (12), Louis van Proosdij (11), jean-eudes queffelec (11), LVM (11), jlc (11), Marc-Antoine (11), dparmen1 (11), (@slebarque) (@slebarque) (11), INFO (@LINKANDEV) (11), François (10), Fabrice (10), Filmail (10), babar (10), arnaud (10), Vincent (10), Nicolas Andre (@corpogame) (10), Michel Nizon (@MichelNizon) (10), Alexis (9), David (9), Rafael (9), FredericBaud (9), Laurent Bervas (9), Mickael (9), Hugues (9), ZISERMAN (9), Olivier Travers (9), Chris (9), jequeffelec (9), Yann (9), Fabrice Epelboin (9), Benjamin (9), Benoît Granger (9), laozi (9), Pierre Ygrié (9), (@olivez) (@olivez) (9), faculte des sciences de la nature et de la vie (9), Philippe Marques (9), gepettot (9), binance (9), Frederic (8), Marie (8), Yannick Lejeune (8), stephane (8), BScache (8), Michel (8), Daniel (8), Emmanuel (8), Jean-Philippe (8), startuper (8), Fred A. (8), @FredOu_ (8), Nicolas Bry (@NicoBry) (8), @corpogame (8), fabienne billat (@fadouce) (8), Bruno Lamouroux (@Dassoniou) (8), Lereune (8), ~laurent (7), Patrice (7), JB (7), ITI (7), Julien ÉLIE (7), Jean-Christophe (7), Nicolas Guillaume (7), Bruno (7), Stanislas (7), Alain (7), Godefroy (7), Sebastien (7), Serge Meunier (7), Pimpin (7), Lebarque Stéphane (@slebarque) (7), Jean-Renaud ROY (@jr_roy) (7), Pascal Lechevallier (@PLechevallier) (7), veille innovation (@vinno47) (7), YAN THOINET (@YanThoinet) (7), Fabien RAYNAUD (@FabienRaynaud) (7), Partech Shaker (@PartechShaker) (7), Legend (6), Romain (6), Jérôme (6), Paul (6), Eric (6), Serge (6), Benoit Felten (6), Alban (6), Jacques (6), sebou (6), Cybereric (6), Poussah (6), Energo (6), Bonjour Bonjour (6), boris (6), MAS (6), antoine (6), canard65 (6), Richard T (6), PEAI60 (6), Free4ever (6), Guerric (6), Richard (6), tvtweet (6), loïc (6), Matthieu Dufour (@_matthieudufour) (6), Nathalie Gasnier (@ObservaEmpresa) (6), romu (6), cheramy (6), brico (6), EtienneL (5), DJM (5), Tristan (5), Stéphane (5), Gilles (5), Thierry (5), Alphonse (5), apbianco (5), dePassage (5), Sans_importance (5), Aurélien (5), herve lebret (5), Alex (5), Adrien (5), Jean-Denis (5), NM (5), Christian (5), Nicolas Chevallier (5), jdo (5), Youssef (5), Renaud (5), Alain Raynaud (5), mmathieum (5), (@bvanryb) (@bvanryb) (5), Boris Defréville (@AudioSense) (5), cedric naux (@cnaux) (5), Patrick Bertrand (@pck_b) (5), (@arnaud_thurudev) (@arnaud_thurudev) (5), (@PLechevallier) (@PLechevallier) (5), Stanislas Segard (@El_Stanou) (5), Pierre Mawas (@PemLT) (5), Fabrice Camurat (@fabricecamurat) (5), Hugues Sévérac (5), Laurent Fournier (5), Pierre Metivier (@PierreMetivier) (5), Hugues Severac (5), hervet (5), Joel (5), portoni per capannoni (5), A片 (5)

Contributions sous le pseudo macha

113 commentaires ont été soumis sous ce pseudo et avec le même email.

Le premier commentaire date du 3 mars 2009 et le dernier est du 31 octobre 2011.

Commentaire 113 dans Propositions pour “France Numérique 2020”, le 31 octobre 2011

Le CIR devait être remis en question car trop coûteux (5 milliards par an !!!), même avec le dernier rabot et la suppression du remboursement immédiat pour les ETI. Mais le lobby a fait pression sous menace sur les emplois, etc. Les députés sont furieux. Il faut réduire la dette et l’Etat a besoin de recettes pour garder le triple A. Les produits défiscalisés ne sont donc pas les bienvenus maintenant. Surtout quand on est déjà une JEI qui ne paie pas d’impôt. Le statut JEI fait doublon avec le CIR. On doit copier le modèle allemand, qui justement n’a pas de CIR.
Les startups créent peu d’emplois réels (rapporteurs de recettes pour l’Etat) et coûtent une tuile à la collectivité. Une ville comme Paris dépense un max pour ses créations d’entreprises, et pour un résultat médiocre. Quoi faire alors ? Mêmes les investisseurs ne veulent plus mettre un centime dans les startups car après ils ne peuvent plus sortir de leur capital (la bourse est au plus mal).

Répondre à ce commentaire

Commentaire 112 dans La drôle de mort du PC, le 3 septembre 2011

La technologie tue l’économie. Les jeunes israéliens ne profitent pas de la croissance de leur pays et voient les prix de l’immobilier devenir inaccessibles. Le pays attirent les investisseurs et les problèmes pour la vie quotidienne avec. Je dis stop !!! Et vous ? Ne vous sentez vous pas coupables ???
http://www.france24.com/fr/20110815-israel-manifestations-contre-vie-chere-immobilier-chomage-croissance-salaire-pauvrete

Répondre à ce commentaire

Commentaire 110 dans Un retard qui ne date pas d’hier 2/2, le 20 août 2011

De Gaulle a fait du bon boulot. Le TGV est aussi une réussite (regardez nos amis chinois et leur catastrophe de train à grande vitesse). Les grands programmes, c’est ce qui a marché en France. Mais à l’époque, à la tête de l’Etat on avait justement de vraies têtes… Pompidou, mon dieu quel homme. Giscard a surtout vu les trains passer. Et Mitterrand s’est fait arnaquer par DSK et Tapie.
Les années frics, les années 80, pour aboutir à la perte de l’industrie vers l’asie, à la spéculation, au pouvoir des rentier, et à la récession gravissime d’aujourd’hui. Merci tout le monde. Préparez vos portes-monnaies, car plutôt que de quémander de l’argent, il va falloir en donner…
Les trentes glorieuses : tout était possible. On reconstruisait. On se battait contre les USA justement. Aujourd’hui, l’Europe nous englue. Les Asiatiques nous inondent de leurs produits dégueulasses et pas du tout au norme. Mais qui osera les affronter. Une guerre ???

Répondre à ce commentaire

Commentaire 109 dans Un retard qui ne date pas d’hier 1/2, le 16 août 2011

Il faudra poursuivre sur la réussite des programmes du Général De Gaulle qui ont permis l’avénement de fleurons technologiques que l’on nous envie encore aujourd’hui, dans des secteurs clés. Et là, effectivement, l’Etat est intervenu massivement. Pour le reste, effectivement, le privé et le marché européen inexistant ont bien créé du retard dans tout.
Enfin, avant les années 60, le financement de l’innovation passait par le financement de la recherche académique avec nos grands laboratoires, puis l’incitation à innover auprès des entreprises. Le problème résidait dans le transfert de technologie vers l’industrie (grands groupes). Faute de preneur en France, les inventions ont été rachetées par des étrangers (américains le plus souvent).
Dans les années 70, grâce Giscard (déréglementation bancaire), les banques prêtaient à plus de 12%, ce qui a empêché les PME de moderniser leurs équipements. L’Etat a dû donc venir au secours de l’économie à nouveau.
Ne confondons pas non plus une époque pré-industrielle où tout devait être inventé, avec l’époque actuelle qui n’est basée que sur de la réutilisation d’inventions existantes et par contre avec une exigence de baisse des coûts de production tout de suite (en raison de la capitalisation extrême de l’économie et des rendements qui sont demandés au détriment de l’emploi).
Il serait temps de penser “actuel” et de trouver de vraies solutions.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 108 dans L’Institut Montaigne et la croissance des PME, le 9 août 2011

Mais les USA eux-mêmes coulent avec leur note en dégringolade face aux requins de la finance. Alors les israéliens aussi vont trinquer car leurs liens avec les US ne leur sert plus à rien. Les économies dirigistes sont les plus fortes désormais: regardez la Chine et son Etat plus que fortiche. Vous me trouvez pessimiste ? Mais ne suis je pas réaliste, posant le bon diagnostic pour trouver enfin des solutions qui marchent tous ensemble ? On peut peut être se consoler avec la mafia russe ? C’est mieux ? Je pense vraiment qu’il va falloir trouver de nouvelles solutions et l’Institut Montaigne est à côté de la plaque. Il refourgue aux collectivités locales le trou béant que provoquent les startups françaises, qui continueront à être rachetées pour pas cher… L’institut montaigne lui meme dit que les nouvelles réglementations ne faciliteront pas les nouveaux investissements en capital d’amorçage, pourtant essentiels pour répondre aux énormes besoins des startups de haute technologie pour innover et surtout inonder rapidement le marché international !!!! Les business angels(vous ou moi, le bon épargnant… qui a de quoi perdre son fric, tu parles…) ont bon dos. Même avec des avantages fiscaux.
Et surtout, ces boîtes donneront elles du boulot à nos jeunes des banlieues ???? et bien moi je vous dis que non. On veut du bon ingénieur…. voire on embauche des ingénieurs asiatiques… en France !!!
Les émeutes tout près de chez nous, c’est sûrement pour demain.
Quand je parlais de se la couler douce, c’était une expression : j’aurais dû dire “se laisser couler doucement”….. vraiment tout doucement.
C’est scandaleux. Du grain à moudre, pour vos futurs débats avec ses messieurs de haute gouvernance nationale.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 107 dans L’Institut Montaigne et la croissance des PME, le 9 août 2011

On est en crise. Adieu aux niches fiscales. En Israël, les jeunes crient dans la rue, comme les indignados espagnols. Les patrons de PME ne créent pas suffisamment d’emplois en France et pour exporter, l’Euro est très fort… et la Chine dévalue son Yuan… Avez vous des solutions réaliste et durables ? Vous avez déjà signalé dans votre article les incohérences des propositions par rapport à la situation actuelle. Même le CIR va être gravement raboté et c’est tant mieux. Quel projet a t-il servi ? Pour quel succès ? Croyez vous que les classes moyennes vont continuer à trinquer pour que quelques entrepreneurs se la coulent douce ?
Il va falloir se réveiller, car les Chinois le sont déjà bien (bravo M. Peyreffite)
François Hollande a raison. Si depuis 2002, le gouvernement n’avait pas défiscalisé ou fait des cadeaux fiscaux aux plus riches, nous serions à l’équilibre. C’était cela la règle d’or. Maintenant, c’est trop tard.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 106 dans Peut-on se passer des aides publiques dans l’innovation ?, le 23 juillet 2011

Elle semble conseillée par des économistes de renom qui pour l’instant préfèrent l’anonymat. Sur la dévaluation compétitive, elle associe un frein aux importations de de certains produits qui devraient être à nouveau produits ici. Mais effectivement, avec le franc la facture énergétique ou autre sera trop lourde pour nous (rien n’est confirmé). Maintenant, notre pays est il capable et a t-il les moyens d’innover sur d’autres secteurs pour contrer cette concurrence ? Le déficit commercial est catastrophique selon lellouch et les efforts d’Ubifrance et autres institutions n’y feront rien apparemment. La montée des extrémismes de droite est tout de même importante en Europe. Regardez la Norvège (mais aussi la Suède, les Pays-Bas…). La souffrance du chômage et difficultés croissantes risquent de faire perdre la tête à beaucoup de gens, qui se sentent frustrés ou rejetés. Les immigrés sont ensuite stigmatisés et tout peut arriver. Même les Etats-Unis flanchent lamentablement (chômage, dette incroyable, impossibilité bientôt de payer les fonctionnaires, etc.). Il faut voir les choses en face. Produire quoi et pour qui ? Les Chinois ? Nos produits seront toujours copiés et reproduits pour moins chers. Y compris dans le développement durable… Le consommer “local” commence à porter ses fruits… Il faut trouver une recette. Vos analyses sont tout à fait pointues. Mais elles ne porteront pas suffisamment. Tout le monde sait qu’on va droit dans le mur. Et on ferme les yeux au lieu de réagir de façon constructive. La crise sera terrible en 2011, car les autres pays vont demander à être soutenus comme la Grèce. Et on ne pourra pas. Les banques vont trinquer et nous avec. La Chine rachètera l’Europe…

Répondre à ce commentaire

Commentaire 105 dans Peut-on se passer des aides publiques dans l’innovation ?, le 23 juillet 2011

Avez vous lu cette analyse sur la réindustrialisation, la croissance, la compétitivité, les PME ? Je suis interessée par votre point de vue beaucoup plus aiguisé mais il faudrait le confronter à cela. De plus en plus de petits patrons d’entreprises semblent particulièrement séduits et de façon très réfléchie. Il faut vraiment lire toutes les lignes (pas en diagonale) :
http://www.lenouveleconomiste.fr/marine-le-pen-leurope-moins-elle-va-plus-on-nous-dit-quil-en-faut-10783-10783/

Répondre à ce commentaire

Commentaire 104 dans Le speed-dating de jeunes entrepreneurs au Mash-Up, le 21 juillet 2011

Ce sont des mélanges intéressants. D’autant que les chercheurs/ingénieurs sont souvent pauvres (diplômes universitaires) mais avec des idées à haute valeur ajoutée…, et les commerciaux (HEC) plutôt malins (voire magouilles) et avec des parents plein d’argent prêts à investir en type TEPA… pour les entreprises de leurs rejetons. Non ? Ca pourrait marcher un max ! Le classement de Shangaï est à revoir…

Répondre à ce commentaire

Commentaire 103 dans Peut-on se passer des aides publiques dans l’innovation ?, le 6 juillet 2011

Les crédits bancaires ne concernent pas les startups qui ne font pas de chiffre encore. Il faut du cash pour rassurer la banque. Et en plus il faut que la banque puisse prendre une hypothèque sur un équipement quelconque. Je ne pense pas que ce soit adapté aux jeunes entreprises innovantes “immatérielles”. Et je ne crois pas non aux crédits d’impôts qui franchement nous coûtent des sommes énormes et ne permettent pas les recettes fiscales indispensables à l’assainissement des finances publiques et au modèle social français.

Je viens de lire un article sur le président du conseil national du numérique, Gilles Babinet, qui s’amuserait, selon l’article, à faire de la revente d’entreprise pour engranger des plus values et se constituer un patrimoine. C’est ça un entrepreneur aujourd’hui ? Après tout pourquoi pas. Mais je ne sais pas si cela créé de l’emploi durable dont nous avons tant besoin ! Pourtant il ne veut pas payer des charges sociales et supplie le retour de l’ancienne JEI… C’est le beurre… et…. l’argent du beurre… Non ???
http://www.lesechos.fr/journal20110624/lec2_les_echos_patrimoine/0201452542865-bien-placer-le-capital-issu-de-la-vente-185363.php

Répondre à ce commentaire

Commentaire 102 dans L’impact économique de l’Internet en France, le 14 mars 2011

Incroyable cette étude de mckinsey ! On nous pousse à consommer de l’américain à fond et surtout pas financer nos génies. Mais avec ce qui vient de se passer au Japon, je pense que les investisseurs vont inciter les entreprises à s’implanter chez nous LA FRANCE !. On moins c’est plus sûr (pas de tsunami, pas de tremblement de terre, un climat extra et des jeunes bien formés)… La donnée géologique va devenir centrale maintenant. Tout le monde voudra s’installer ici. C’est le rêve. Tandis que la Californie est aussi très risquée (séismes, tsunami…)… Alors ?
J’oubliais : nos centrales nucléaires sont super bien conçues. On risque rien…

Répondre à ce commentaire

Commentaire 101 dans L’influence des politiques et de l’Etat dans le numérique, le 9 mars 2011

Pourquoi ne vendraient ils pas s’ils le peuvent ? C’est la meilleure façon de devenir millionnaire aujourd’hui et ensuite payer l’ISF ! Sauf si ce truc est aussi supprimé. Mais justement, le lobby peut permettre de gagner sur ce terrain aussi !!! Le numérique créé de l’emploi et permet aussi d’en supprimer justement. Je ne sais plus. C’est Eric Besson qui a les cartes en mains maintenant. Et face à DSK ça va chauffer

Répondre à ce commentaire

Commentaire 100 dans L’influence des politiques et de l’Etat dans le numérique, le 8 mars 2011

Et DSK ? Vous y pensez ? Parce qu’il va falloir compter sur lui en 2012… Tout sera plus clair… vous verrez.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 99 dans Comment Ubifrance aide les startups à exporter, le 22 février 2011

Merci Maitos de relancer le sujet. Car je m’ennuyais un peu ces derniers temps avec Olivier et ces articles marketeux… Je ne sais pas ce qui lui prend…
Oui l’Euro est trop fort pour exporter. Et pour ce qui est de la croissance externe, laissez moi rire. Ce sont plutôt nos entreprises françaises qui se laissent manger par des étrangers pour se développer à l’international. C’est moins coûteux et cela rapporte tout autant aux fondateurs…
La Chine continue de dévaluer sa monnaie et nous dit gentiment m…e au G20… You understand ?

Répondre à ce commentaire

Commentaire 98 dans Méta-prédictions pour 2011, le 2 janvier 2011

Serez vous au prochain salon des entrepreneurs à Paris ?
http://www.salondesentrepreneurs.com/v2/evenements.php?code_salon=45
Il y aura un grand débat avec les stars du numérique (Price Minister, Vente privee, aufeminin, etc). La Caisse des Dépôts semble prendre de plus en plus ses marques sur le financement
http://www.salondesentrepreneurs.com/v2/conference_fiche.php?id_conf=612

Bonne année.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 97 dans Comment tirer parti du grand emprunt, le 21 décembre 2010

Et si on parlait de PKN à la tête du conseil national du numérique ? The friend also of Xavier ? Désolée d’interrompre vos réflexions intensives sur les boitiers…
http://www.lepoint.fr/high-tech-internet/pierre-kosciusko-morizet-s-occupera-du-numerique-pour-eric-besson-21-12-2010-1277969_47.php

Répondre à ce commentaire

Commentaire 96 dans Les vrais gens et le marketing de Free, le 21 décembre 2010

En tout cas, je ne pense pas qu’ILIAD sera victime un jour d’une OPA. Quand on voit ce qui est arrivé à Gemplus… et ce qui a failli arriver à Ingenico, avec les escrocs de fonds d’investissement américains
http://www.01net.com/article/191327.html
http://www.eurotmt.com/?q=node/78
La carte à puces et les terminaux de paiement : ça c’est de l’innovation bien française.
http://www.lexpansion.com/entreprise/pourquoi-ingenico-reveille-le-patriotisme-economique-francais_245630.html

Chapeau Francis Mer (Safran) et Eric Besson !!
http://safran-group.com/site-safran/groupe/gouvernance-d-entreprise/conseil-de-surveillance/?60

Répondre à ce commentaire

Commentaire 95 dans Les entrailles de la Freebox 6, le 16 décembre 2010

L’abonnement sera donc à 36 euros hors services connexes (VOD, etc)… ce qui peut aller jusqu’à 50 euros. La facture sera salée. La stratégie de Niel est donc de donner envie avec cette V6 (un peu comme Jobs avec l’Iphone) et faire accepter la pilule de la hausse des prix (on accepte de payer si la valeur ajoutée augmente). Un vrai produit de luxe vers lequel s’engouffreront les technophiles et adorateurs de la marque Free. Mais le concept “free” (libre ou gratuit, ou le moins cher) risque fort d’en prendre un coup et la pub TV devra vraiment être revue… Un changement pas facile à faire… D’autant que les innovations sont de façade quand même (utilisation de technologies inexistantes, donc stratégie facile à copier par d’autres). Un produit cher doit s’accompagner de services d’accompagnement (hot line), ce qui n’est pas le fort de Free, puisque le matériel est sensé tout faire.
Les autres opérateurs feront de même. Comme cette hausse de TVA ne concernera que le tripleplay, je parie que les internautes vont revenir à un abonnement simplifié (internet seul) et se passer d’un certain nombre de services, car le pouvoir d’achat ne suivra pas avec la hausse du chômage et la hausse des impôts. Alors un abonnement simple à internet pour avoir la télé en ligne et aussi le téléphone (type Skype ou autre). cela suffit amplement.
Un plan de rigueur qui aura donc des répercussions sur la consommation et donc sur la compétitivité des FAI. Le consommateur fera ses comptes, et s’apercevra qu’il n’a pas besoin de consommer à ce point… Et là, les détracteurs du consummérismes confirmeront qu’ils avaient raison.
Xavier Niel part en résistant face à l’hégémonie américaine (google en tête). Il n’a pas le choix me direz-vous.

Si Free avait davantage innové dés sa création (Iliad), nous ne serions pas là. Mais il a préféré faire du commerce. On ne peut pas le blâmer puisqu’il a réussi en partie. Mais demain ? On connaît malheureusement la suite. Dans le contexte actuel, il est trop tard pour investir massivement dans la recherche informatique en France ; on ne peut le faire que dans l’équipement et des infrastructures (fibre optique, etc). Le coût des investissements est exhorbitant.

Nb :j’ai appris que le Pdg de Meetic a cherché à vendre son entreprise, puis s’est rétracté devant le peu de valorisation obtenue. Kosciusko a déjà vendu PriceMinister… Ca sent le roussi.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 94 dans Les entrailles de la Freebox 6, le 15 décembre 2010

Ces entrepreneurs font fortune (Iliad, Meetic, venteprivee, webtbe, rentabiliweb, etc) dans le numérique. Il investissent à leur tour (ISAI pour Niel, Simoncini, Granjon), etc).
Xavier Niel investit dans le hard (matériel) et le soft et aussi dans le contenu (idées) en investissant dans Le Monde, Mediapart, Backchich. Il est contre Hadopi, pour la liberté de la presse…
Les acteurs du web peuvent être taxés à outrance… C’est la poule aux oeufs d’or en somme.
Sarkozy ne peut pas être insensible à ce phénomène. Il va chercher à les “séduire”… Ils sont comme lui : quasi “auto-didactes” (pas de scientifiques).
Je trouve que Deiscroix Vernier de Rentabiliweb est un peu à part. Vous le connaissez ? Que pensez vous de sa démarche ?

Répondre à ce commentaire

Commentaire 93 dans Les entrailles de la Freebox 6, le 14 décembre 2010

Free ? Justement, Olivier, vous ne pouvez pas laisser passer cette info: sarko invite quelques figures du web le 16 déc… à l’Elysée. Pour parler de quoi? Que ceux qui sont invités n’ont pas eu besoin du statut de JEI ? Je pense à Niel, Simoncini, Grangeon… Oui ils sont invités. Que du commerce en ligne ! Aucune innovation technologique. Et des fortunes personnelles faites sur le minitel rose… C’est ça la net économie à la française ? Adieu Scientipole, le top tendance techno, le CIR et autres trucs…

Répondre à ce commentaire

Commentaire 92 dans LeWeb 2010 – Les plateformes 3, le 13 décembre 2010

Ariel Garten (se fout de nous) et Loic Le Meur le couple ? Délirant et prouvant à quel point LeWeb sera la risé demain… la drague en direct devant leurs conjoints, c’est de mieux en mieux…
http://farm3.static.flickr.com/2566/4153741658_5cec94a5f7_b.jpg

et Parrot avec son drome… le bidule qui vole qui se pilote avec son iphone…

perso, cela me laisse penthouse…

Répondre à ce commentaire

Commentaire 91 dans Le plan de résistance bancal des chaines face à Google TV, le 30 novembre 2010

Dites, que faites vous pour la JEI ? Finies les exonérations… va falloir payer… jeune ou pas.
Google profite de l’Irlande et devra payer une taxe (taxe google pour les services sur internet) pour la France. Philippe Marini est focalisé sur la baisse du déficit public à toute allure… L’Etat n’est pas là pour financer les hauts salaires des ingénieurs de startups… Ya pas marqué pigeon sur son front.
http://www.lepost.fr/article/2010/11/30/2323952_taxe-google-sauvetage-de-l-irlande-bouclier-fiscal-philippe-marini-repond-aux-questions-des-internautes.html
Avec toutes les taxes internet qui vont nous tomber dessus, le consommateur va surtout choisir de réduire la voilure et se passer de très nombreux services web même sur la tv connectée qui sera plombée par la redevance aussi…. Ou bien il va y avoir de la fraude, du trafic de PC (un marché au noir)… Les années 30…
Tant mieux après tout, surtout quand on voit que cela profite aux multinationales américaines… tous ces bidules du web.
On va enfin pouvoir tricoter tranquille au coin du feu… c’est la crise !!

Répondre à ce commentaire

Commentaire 90 dans Carnet de voyage aux USA, le 15 novembre 2010

Loic Lemeur invitera t-il Besson à TheWeb ? Avec Carlos Ghosn de Renault comme invité d’honneur… ça tombe bien ! Indutrie + Numérique… Bravo.
Il faudra compter sur son directeur de cabinet, Frank Supplisson (spécialiste des Technologies de l’information)

http://www.dailymotion.com/video/x7r84m_frank-supplisson-qr_tech

http://www.artesi.artesi-idf.com/public/article.tpl?id=14313

http://franksupplisson.net/index.php?category/Mon-travail-à-Paris

Répondre à ce commentaire

Commentaire 89 dans Les chamboulements en cours du financement de l’innovation, le 15 novembre 2010

Pire, NKM n’a pas le secteur de l’énergie dans son nouveau portefeuille écolo,ce qui décrédibilise un peu son rôle maintenant (le ministère de l’écologie n’est plus un ministère d’Etat)
C’est Besson qui récupère le secteur de l’énergie et tout le boulot du numérique amorcé par NKM (c’est un comble). Il a donc : l’industrie, l’énergie et le numérique. Incroyable. Un pouvoir énorme.
Au niveau de son background, il a fait une école de commerce, science po et a loupé l’Ena. Il a travaillé pour Jean-Marie Messier (chez Vivendi à l’époque), avant de rejoindre le PS et de tenter de s’imposer dans le domaine économique avant les élections de 2007.
Il paraît qu’il est très opportuniste.
Il est président d’un courant qui s’appelle les “progressistes”.
http://www.24presse.com/remaniement___les_progressistes_se_felicitent_de_la_nomination_d_eric_besson_a_l_industrie-992559.html
http://www.les-progressistes.fr/
On pourra le suivre sur Facebook
http://www.facebook.com/pages/Eric-BESSON/301543830128

De toute façon, c’est Christine Lagarde qui dirige tout(Besson est ministre délégué, et Lefebvre, simple secrétaire d’état pour le commerce et les PME). Mais Baroin fera tout pour la destabiliser, car il a les boules ne pas avoir réussi à la déboulonner pour prendre sa place…
http://www.lemonde.fr/politique/infographie/2010/11/14/le-gouvernement-fillon-ministere-par-ministere_1439926_823448.html#ens_id=

J’ai comme l’impression qu’on va rigoler…

Répondre à ce commentaire

Commentaire 88 dans Les chamboulements en cours du financement de l’innovation, le 14 novembre 2010

Lefebvre et Besson… voici les nouvelles sources d’information institutionnelles de M. Ezratty sur l’avenir des startups et du numérique en France…
Besson regroupe l’industrie et surtout l’économie numérique au complet (des milliards du grand emprunt, les pôles de compétitivité, l’internet, etc). Lefebvre s’occupe des PME et des services (le tourisme, le commerce, l’artisanat…). De fortes … figures pour flinguer l’opposition socialiste sur le thème central de l’avenir des emplois au niveau des entreprises et de la compétitivité… Le thème de demain pour les présidentielles. Martine Aubry a de quoi être énervée.
Mais surtout, entre Lagarde et Baroin, le couple infernal, qui seront aux cordons de la bourse… ça va chauffer ! Continuez de voyager aux USA ou ailleurs… effectivement. La grande Nathalie Kosciusko reprend l’écologie, avec Mariani comme compagnon de route (ça promet)….

Répondre à ce commentaire

Commentaire 87 dans Les chamboulements en cours du financement de l’innovation, le 13 novembre 2010

NKM à la santé ? le cabinet de la secrétaire d’etat se vide peu à peu… A priori, on va créer un super ministère des entreprises (en lieu et place de l’industrie, des PME, etc). Eric Besson en prendrait la tête. NKM remplacerait Bachelot à la Santé.
Comme cela industrie et numérique vont ensemble et ce sera plus logique (regroupements).

Répondre à ce commentaire

Commentaire 86 dans Les aléas de la fiscalité d’encouragement de l’innovation, le 31 octobre 2010

On peut déclarer des dépenses effectuées en Roumanie pour toucher le CIR crédit d’impôt ? Mais dans ce cas, on nous ment quand on dit que le CIR permet de faire bosser des chercheurs français, de garder des emplois de RD en France !! Quel pétrin. J’imagine que les sociétés informatiques par exemple, on les 3/4 de leurs salariés en Bulgarie, Roumanie, etc, qui leurs coûtent moins chers. Et nos ingénieurs français sont injustement concurrencés. Je ne suis pas trop d’accord sur le principe.
Est ce que les aides directes comme dit Sylvain peuvent ne concerner que les emplois sur le territoire français ? Parce que si c’est le cas, une aide directe (et non fiscale) est donc plus vertueuse pour l’emploi en France, avec le statut JEI à préserver.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 85 dans Les aléas de la fiscalité d’encouragement de l’innovation, le 28 octobre 2010

Après le bouclier fiscal anti-européen, peut être que Bruxelles jugera bientôt le CIR illégal ? Et oui, c’est anti-européen de forcer les capitaux et les entreprises à rester en France (paraît il). Sarkozy nous ayant forcés (aussi) à signer le traité de Lisbonne… Il va falloir assumer maintenant. A moins que ce ne soit lui qui utilise “Bruxelles” pour faire supprimer ces erreurs de décision qui nous coûtent cher pour rien :
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2010/10/27/04016-20101027ARTFIG00715-bruxelles-epinglerait-la-france-sur-le-bouclier-fiscal.php

Répondre à ce commentaire

Commentaire 84 dans Comment Ubifrance aide les startups à exporter, le 26 octobre 2010

Mais dites moi… c’est merveilleux (?). Ubi Ubi Ubifrance !!! Cette séance promo sera facturée au tarif de… Ils sont nombreux et ils nous coutent tout aussi cher (Ubifrance, établissement public)… pour des résultats mi-fugue mi-raisin. Car si Ubifrance a été récemment réformé ce serait parce que le commerce extérieur de la France n’était pas bon. Et il ne l’est toujours pas. Et pour cause. Avec l’Euro, on n’est pas vernis..
http://www.gautier-girard.com/analyse-economique-de-conjoncture-france-europe-et-monde/conjoncture-france-analyse-de-la-conjoncture-en-france-economie/soutien-des-pme-a-lexportation-lagence-ubifrance-sera-reformee/

Et tout ce remue méninges donne aux CCI une nouvelle raison de continuer à exister…
J’ai testé les VIE…

Répondre à ce commentaire

Commentaire 83 dans Guide Startups – Le XIII, le 5 octobre 2010

Merci Olivier. Effectivement, il va falloir attendre encore. Je commence à me lasser. Pourquoi ne sont ils pas passés par les structures existantes semi-publiques qui ont pignon sur rue dans ce domaine pour sélectionner, instruire, payer, etc. Et qui figurent déjà dans votre guide des startups…

J’ai lu dans l’appel d’offres que la CDC cherche tout : une agence de communication pour communiquer sur le numérique, une agence conseil pour instruire les dossiers (vous vous rendez compte)… Bref tout. C’est incompréhensible cette histoire. C’est vraiment plus bordélique qu’avant avec tous ces guichets “virtuels”. Ecoeurant.

ET puis pour sélectionner les projets, faites vous confiance aux sociétés privées ? Vous imaginez les complaisances et autres conflits d’intérêts ? Je croyais que le partenariat public-privé était recherché surtout au niveau du financement des projets et non pour le travail d’attribution des aides. Il y a une grande confusion là !

Répondre à ce commentaire

Commentaire 82 dans Guide Startups – Le XIII, le 5 octobre 2010

…connaîtriez vous Olivier quelqu’un à la Caisse des dépôts pour avoir des infos sur les candidatures aux appels à projets du grand emprunt pour le numérique ? On va pouvoir contacter la CDC directement maintenant pour faire financer ses projets numériques en partenariat je crois. Je n’ai pas l’impresison qu’il faille proposer des projets à plusieurs entreprises. La Caisse dit vouloir faire en même temps (son marché) des investissements (entrer dans le capital de certaines startups). Comment peut on faire partie de la liste ?
http://www.prospective-numerique.gouv.fr/presse/actualites/080910-investissements-d-avenir-le-comite-strategique-et-d-evaluation-du-fonds-pou
En plus, la caisse des dépôts va aussi gérer “France Brevets”.
http://www.connexite.fr/veille-reglementaire/convention-2-septembre-2010-entre-letat-lanr-cdc-relative-au-programme-dinvesti

Répondre à ce commentaire

Commentaire 81 dans Back from China – Ecosystème de l’innovation, le 15 juillet 2010

Autrement dit, partez tous entreprendre en Chine ? Les entrepreneurs là-bas ne peuvent faire fortune que parce qu’ils exploitent de nombreux chinois des contrées agricoles.
Et la corruption?
http://www.aujourdhuilachine.com/article.asp?IdArticle=14441

Quelqu’un a dit ici que certains entrepreneurs ne se plaisaient plus en France en raison de son administration ou du fait que l’on reproche trop de chose à certains riches. Ne pensez vous pas que s’il fait bon “entreprendre” en Chine actuellement, c’est parce que exploitation il y a forcément là-bas ? Alors qu’ici c’est plus dur d’appliquer ce type de chose ???? Et ne trouvez vous pas que l’on patit de se développement asiatique plus que “dopé” bizarrement ???

Répondre à ce commentaire

Commentaire 80 dans Back from China – Shanghai Expo, le 14 juillet 2010

Une Chine qui nous étrangle !!! … cette fuite avant. Un article de la Voix du Nord démontre que les Chinois sont plus obsédés par eux-mêmes et ne sont pas si ouverts que cela à l’Occident. Une course folle
http://www.lavoixdunord.fr/France_Monde/actualite/Secteur_France_Monde/2010/07/11/article_quand-les-chinois-s-eveilleront.shtml
On laisse la Chine dépouiller les occidentaux de leurs emplois industriels, afin d’éviter que les Chinois ne se transforment en machine de guerre. La faiblesse du Yuan permet aux groupes de produire à bas coût en Chine pour faire en sorte que les riches rentiers soient encore plus riches… On augmente grassement les marges sur le dos des gens. Les PME soustraitantes en France sont dévastées
http://www.francesoir.fr/economie-etranger/la-chine-va-t-elle-enfin-accepter-de-reevaluer-sa-monnaie
http://www.liberation.fr/economie/0101642965-les-delocalisations-tu-adoreras
N’oublions qu’il nous faudra travailler jusqu’à 67 ans pour toucher notre retraite… A ce train là, je ne vois pas comment on y parviendra. Les salariés âgés coûtent cher et ce sont les premiers que l’on vire.

Tous ingénieurs demain, si on veut encore survivre. Ou bien financiers. L’ouvrier de base aura disparu. Les services de proximité ne pourront pas tout compenser.

Il ne restera en France que les activités de R&D grâce à notre merveilleux crédit d’impôt recherche qui abaisse (pour la multinationale) le prix d’un ingénieur, mais qui coûte aux contribuables français (bientôt au chômage), pas moins de 5 milliards d’euros en 2009. Demain, même la R&D sera délocalisée en Chine…

Vous nous dites que la Chine n’en est qu’au début de son développement. Quel massacre.

Même les Etats Unis n’en peuvent plus. Lire cette dépêche de l’AFP :
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5ggoVYX3CneyCxm2AK88n035rvhRA

Répondre à ce commentaire

Commentaire 79 dans L’écosystème israélien de l’innovation 2/3, le 11 juin 2010

C’est pour protéger les résultats du programme collaboratif QUAERO (A2I,Oséo-ISI), une sorte de consortium de recherche. Il vaut mieux que ce soit racheté par un Français, parce que la startup Exalead (le “google français”) était fragile financièrement et ne pouvait pas s’étendre à l’international comme ça. Dassault va pouvoir faire maintenant. Pour 135 millions d’euros, c’est une affaire.
http://www.lexpansion.com/economie/actualite-high-tech/pourquoi-dassault-systemes-s-offre-le-google-francais_233817.html

Répondre à ce commentaire

Commentaire 78 dans Le feedback aux entrepreneurs qui vont dans le mur, le 17 mai 2010

Qui peut réussir aujourd’hui ? Personne. A moins d’être aidés par papa maman…
Sortons de la zone euro et tout ira mieux.
Pendant ce temps, NKM se fait chahuter par un Geek dans le Monde d’aujourd’hui. C’est vrai elle fait quoi au juste ?
http://www.lemonde.fr/opinions/chronique/2010/05/16/elle-fait-quoi-nkm_1352394_3232.html

Répondre à ce commentaire

Commentaire 77 dans Les chamboulements en cours du financement de l’innovation, le 29 avril 2010

Avec les déficits hyper importants de la France, a t-on les moyens de rêvasser avec des business models hasardeux comme ceux de la plupart des startups actuellement ??? Je suis assez d’accords avec certains posts ici.
Je suis allée sur le site web de NKM (prospective.gouv) qui a eu franchement pas mal de bugs pendant plusieurs jours… (pour une spécialiste du numérique, bonjour). Bref, un site bourré de photos genre “je le vaux bien”… qui ne fait pas très strict par les temps qui courrent… En regardant la vidéo qu’elle a présenté avec son “René” (elle aussi, quoi que là c’est Ricol) qui soit disant à un gros chéquier pour le grand emprunt et le numérique… cela m’a mise mal à l’aise. Vous trouvez ça tendance ? Alors que les Français trouillent pour leur boulot, leur retraite, j’en passe est des meilleures ???
On est plusieurs à attendre son questionnaire et ses premières appels d’offres sur les contenus numériques et autres projets hyper innovants, pour voir concrètement si ça vient compléter ce qui existe déjà ou si c’est pour faire du pareil au même.
Parce que déjà que les niches fiscales commencent à gonfler Baroin… parmi elles le CIR (ça douille pas mal)… Si c’est pour balancer du fric à tout va, ça risque de coincer dans l’opinion…
Encore merci pour vos articles super bien foutus.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 76 dans Les chamboulements en cours du financement de l’innovation, le 26 avril 2010

olivier, que se passe t-il si on ne trouve pas de capital d’amorçage ? Doit on se priver de créer sa startup ? On m’a dit que la loi TEPA n’a pas forcément favorisé la levée de fonds auprès des BA pour les entreprises technologiques mais plutôt pour les entreprises sans trop de risque. Il y a même des investisseurs individuels qui ne comprennent pas pourquoi ils ne sont pas gagnants à tous les coups en investissant via les FCPI… On sait qu’il y a forcément de la casse dans ce type de boîtes. Ca n’est vraiment pas fait pour préparer sa retraite…
Vous pensez que les conseils régionaux ont suffisamment de ressources pour investir dans l’amorçage à la place de l’Etat ? Ce système ne va t-il pas favoriser exclusivement les grosses régions comme l’Ile de France ?
Pour le grand emprunt dans le numérique, les projets qui seront sélectionnés dans les appels à projets ne devront ils pas être bien dimensionnés aussi au niveau des fonds propres? Vue la sélection qu’il va y avoir…
Quoi faire dans quelques mois si tout est épuisé ?

Répondre à ce commentaire

Commentaire 75 dans Le plus grand business angel de France, le 19 mars 2010

Peut être. Mais quand on lit aussi sur wikipedia la page consacrée à Mediapart, E. Plenel parle plutôt d’un capital entre amis journalistes… Il ne cite pas Niel. Autrement, ces journaux vont perdre toute crédibilité.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 74 dans Le plus grand business angel de France, le 17 mars 2010

Je ne sais pas si Mediapart et Backchich (vu leur sacro-sainte réputation d’intouchables super propres) apprécient de faire savoir que la grosse entreprise ILIAD, ou du moins son PDG (libéral capitaliste), les financent… Ca va jaser.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 73 dans Une startup française derrière la standardisation des ebooks, le 7 mars 2010

Pour qu’une startup numérique se développe à l’international, il faut donc qu’elle fasse de la croissance externe (rachat de startups ailleurs)pour vite s’imposer. Pour cela il faut beaucoup d’argent et donc avoir du chiffre d’affaires en monétisant son service. Et souvent, au fur et à mesure la détention du capital évolue aussi… C’est du donnant donnant. Et il faut aussi que l’entreprise investisse dans sa technologie tout le temps. Bref, il faut dépenser à mort… Et surtout, notre Etat doit les protéger pour qu’elles restent françaises. Autrement, ça ne sert à rien tout ça.
Quand on voit le blabla sur les relocalisations industrielles en ce moment, on se demande vraiment si nos politiques ont bien tout compris.
La mode est aux Entreprises de Taille Intermédiaire : les boites provinciales, familiales… les boîtes à papa. Il faudrait peut être arrêter les sottises.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 72 dans Une startup au cœur des chipsets mobiles, le 2 mars 2010

Pour une fois qu’on reste au top sur la microélectronique grâce à ces entreprises hors du commun. Merci le CEA-LETI.
Et pour continuer sur le thème de l’industrie florissante, Christian Estrosi nous promet de jolies polémiques avec NKM car il a lancé en février un appel à projets sur les services mobiles (comme Proxima) mais sans contact et nous a dégoté pour cela (pour 20 projets collaboratifs) 10 millions d’euros de derrière les fagots… Vous avez suivi l’affaire ?
http://pro.01net.com/editorial/512389/dix-millions-d-euros-pour-des-projets-de-services-mobiles-sans-contact/

Répondre à ce commentaire

Commentaire 71 dans Tentative de décryptage du Grand Emprunt, le 16 février 2010

:)j’ai trouvé le projet de loi avec ce lien
http://www.assemblee-nationale.fr/13/projets/pl2165.asp
c’est pas la mort non plus. Ca ne change rien pour les entreprises. Il est bien dit que les activités sur l’innovation seront distinctes du financement et de la garantie, même avec cette absorption par la banque. Les comptes seront séparés.
Le plus embêtant ce n’est pas cela. C’est plutôt le grand emprunt et le FNSN sur le développement de l’économie numérique. J’ai trouvé, enfin, le document qui dit tout.
Regardez page 66
http://www.performance-publique.gouv.fr/fileadmin/medias/documents/ressources/PLFR2010/PLFR1.pdf
Olivier pourra comme cela enquêter plus facilement.
En fait, le fonds est géré par la CDC. Pour ce qui est des projets innovants sur les usages et contenus, ils vont pouvoir toucher pratiquement tous les secteurs clés (santé, éducation, ville, tourisme, réseaux, transport, commerce, loisirs, environnement, services mobiles… ma grand mère). Tout est détaillé page 69 et 70. Les projets seront financés en subventions (pour les 2/3) et en avances remboursables (pour le 1/3 restant).
Ce programme Economie Numérique est piloté au commissariat du gouvernement par M. Lavisgne.

Tandis que le programme sur la croissance des PME est piloté par Luc Rousseau (de la DGCIS). C’est ce programme qui implique un peu Oséo (avec la CDC). Et dans le document il est bien dit que ce seront des prêts ou avances à faire pour 50% d’entre eux avec le réseau bancaire (c’est un objectif clairement indiqué). Il cite aussi les 200 millions d’euros pour les pôles de compétitivité mais dans une logique de structuration des pôles industriels. Ils rêvent ou quoi ? Les prêts verts de Estrosi sont cité aussi.
Il y a aussi 180 Millions pour la relocalisation compétitives d’entreprises industrielles (on aura tout vu).

En gros, Oséo innovation va se taper ce que plus personne ne veut : l’industrie (avec les pôles) et ses catastrophes de délocalisations qu’il faudra freiner… Tandis que le FNSN aidé par les fonctionnaires du ministère de l’industrie (ex-Drire) et la CDC vont travailler dans le secteur numérique plus porteur et dans lequel Oséo Innovation a bossé déjà (la moitié de son activité).
C’est page 65

C’est un vrai gachis.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 70 dans Tentative de décryptage du Grand Emprunt, le 6 février 2010

bonjour guillaume. Pour comprendre la situation (les milliards donnés à la recherche dans le grand emprunt, plutôt qu’à l’industrie ou aux PME), peut être que ce serait utile de lire le rapport de l’Académie des sciences sur le bilan de la loi Allègre (1999). Il balance que les faiblesses françaises de valorisation de la recherche. Il y a le concours de la création d’entreprise du ministère de la recherche et d’Oséo qui avait été créé en partie pour aider les chercheurs à transférer leurs découvertes vers les entreprises, quitte à créer eux-mêmes leurs boîtes. Mais cela ne suffit pas. Car il faut aussi accompagner plus longtemps en “amont” les créateurs-chercheurs dans leur labo avant de les lâcher dans la nature, face aux prédateurs de toute sorte. Et puis, il y a le problème du capital de ces entreprises. Le FSI pourrait jouer un rôle plus grand dans l’amorçage (pour les protéger au début).
Et surtout, j’ai l’impression que Pecresse veut que les chercheurs quittent leur statut de “fonctionnaire” en labo, pour aller dans le privé (et vite) : c’est une politique libérale qui considère que la recherche fondamentale doit rapidement servir l’économie (et surtout permettre de réduire les déficits en allégeant gravement la fonction publique). Or, a priori, nos chercheurs choisissent sciemment de rester fonctionnaires (on les comprend…) et donc de ne pas se lancer dans l’industrie.
http://www.latribune.fr/journal/edition-du-0602/politique-france/360678/en-france-les-chercheurs-trouvent-mais-n-exploitent-pas.html
http://www.academie-sciences.fr/publications/rapports/rapports_html/rapport_innovation_recherche_03_02_10.htm
Malgré le soutien d’Oséo (qui est cité sur ce créneau de façon positive), la mortalité des startups de la recherche est grande. C’est à dire qu’on ne donne pas les moyens aux chercheurs de réussir vraiment. Je pense surtout que dès qu’ils le peuvent, ils vendent leur entreprise au plus offrant. De toute façon Oséo (en dehors de son job sur le concours qui est restreint) et de sa dotation riquiqui pour les créations d’entreprises innovantes, je ne vois pas comment ils peuvent faire mieux.
http://www.ecoles-entreprises.com/actu.php?id_article=4099
“L’Académie des Sciences, dans un rapport remis le 4 février à Valérie Pécresse, prône une plus grande pénétration de la recherche académique dans l’industrie.”
Le lien entre recherche et industrie, les complications du Crédit d’impôt recherche, etc… c’est pour obliger les entreprises du privé à embaucher nos chercheurs.
Enfin, la privatisation des universités trouve comme argument le mauvais classement de la France dans le palmares Shangai (brevets, etc).
http://www.ifrap.org/Le-rapport-Aghion-et-ses-pistes-pour-la-reforme-de-l-Universite,11497.html
http://www.ifrap.org/Universite-Osons-la-reforme,11386.html

Il se passe des choses autour de la privatisation de la recherche qui explique pourquoi le grand emprunt finance à fond cette réforme. Mais au détriment de tout le reste. Notamment des créateurs qui ne sont pas chercheurs et qui ont besoin d’un coup de main aussi. Dommage.
C’est un massacre cette réforme des universités. Pourquoi se calquer sur les US ou le Royaume-Uni ?
Les chercheurs français et ingénieurs sont trop chers dans le privé et les entreprises délocalisent leur R&D…
Il faudrait d’abord rassurer tout le monde avant de réformer.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 69 dans Rapport CES 2010, le 28 janvier 2010

Olivier, Il paraît que Sony prévoit de fabriquer des ordinateurs à partir de CD ou autre matériel plastique usagés (recyclage)… Ecran sans mercure… Que les ordinateurs vont consommer de moins en moins d’électricité… etc. J’espère franchement, car autrement c’est dur d’accepter cette consommation dans le contexte actuel, sachant que les équipements doivent être renouvelés quasiment tous les ans par le public pour être dans le coup. Dommage que ce genre de salon ne mette pas plus avant ce problème.
Entre un bouquin papier, et un ebook en plastique… moi j’ai choisi le papier (recyclable).
Ce qui choque aujourd’hui dans ce compte rendu du plus grand salon mondial de l’électronique, c’est ce décalage avec nos problématiques écologiques (je pense aussi au batteries)… sans mettre en danger (biensûr) le business…
http://www.cleantechrepublic.com/2010/01/13/ces-2010-electronique-mue-cleantech/
A lire
http://www.ginjfo.com/Publics/Actualites/Act1-1681-CES-2008-:-Le-multimedia-ecologique.html
Et l’entreprise canadienne Z-Power
http://www.zpowerbattery.com/index.htm

Répondre à ce commentaire

Commentaire 68 dans Rapport CES 2010, le 28 janvier 2010

J’ai trouvé interessant tout ce que vous avez écrit sur la révolution actuelle des contenus numériques, tels que la musique (et l’édition en général) avec le déplacement de valeur qui se met doucement en place. Entre le matériel et les services internet sur ce sujet, il y aurait de quoi faire un article complet. Bien au delà de l’agitation sur le peer to peer et le téléchargement illégal. Maintenant, comme d’habitude, les Français auront ils une place là dedans ? Pour Parrot, pour l’instant, c’est une opération de communication, rien de plus.
J’en ai personnellement ras le bol de l’IPhone et de tout ce qui tourne autour. Je pense que l’IPad est une erreur.
Et toutjours comme d’hab, les chinois, les coréens et autres… se font une place de plus en plus importante en copiant/collant (attitude de suiveur, qui ramasse derrière) en vendant moins cher, tandis que les occidentaux s’évertuent à faire du saut technologique super cher pour lancer l’invention.
Et enfin, quand je vois tout ce matériel électronique, j’ai peur pour la planète et les déchets….

Répondre à ce commentaire

Commentaire 67 dans Lancement du Parrot AR-Drone, le 22 janvier 2010

J’attends les conclusions des états généraux de l’industrie. C’est peut être là que les choses seront clarifiées. De toute façon, les startups numérique sont déjà bien aidées par d’autres biais. Et peut être que de nouvelles solutions apparaîtront pour compléter.

Profitons de notre vieille économie : l’industrie du luxe “made in France” qui fait rêver les chinois venus en masse cette année pour dépenser leur argent chez nous, dans nos grands magasins…
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2010/01/21/04016-20100121ARTFIG00417-les-chinois-rois-du-shopping-en-france-.php

http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/social/20100121.FAP3894/achats_de_produits_detaxes_en_france_les_chinois_detron.html

cela laisse songeur… On devrait en tirer des leçons (je pense).

= haute couture, tourisme, gastronomie…

Nos points forts sur le plan mondial.
La High Tech, c’est plus trop pour nous.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 66 dans Lancement du Parrot AR-Drone, le 21 janvier 2010

Le FSN est géré par la Caisse des dépôts ? Mais c’est énorme pour cette Caisse et ses fonctionnaires !! Ils doivent être contents je pense. Ils ont tout maintenant avec le FSI. Ils feront des prêts et de la subvention avec le FSN pour la “société” du numérique, et en même temps investiront dans les fonds propres. C’est génial !!! La boucle est bouclée et les startups sont bien gardées. C’est logique et il n’y a pas de lézard au moins (enfin, j’espère)
http://www.obiwi.fr/innovations/nouveautes/85226-4-milliards-et-demi-d-euros-pour-le-numerique-a-quoi-serviront-ils

Répondre à ce commentaire

Commentaire 65 dans Lancement du Parrot AR-Drone, le 21 janvier 2010

OK. Excusez. Moi aussi j’attends votre rapport avec impatience. Faut pas croire…
Mais avec tous ses milliards qu’on va “emprunter” pour “investir”… cela fait tourner la tête…
Voici une photo un peu moins “flatteuse” de NKM (elle doit vous regretter) mais très “parlante” avec Valérie (qui a touché 10 milliards elle ; la barraca)
http://www.lejdd.fr/Politique/Images/du-18-au-24-Janvier/NKM-Valerie-Pecresse-165861/

Répondre à ce commentaire

Commentaire 64 dans Lancement du Parrot AR-Drone, le 21 janvier 2010

Dites, on va rester longtemps bloqués sur cette article de Parrot ou Salon américain de l’électronique ? Vous n’êtes pas en train de sauter de joie avec la création du FSN (Fonds Société Numérique) et 3 milliards pour le grand emprunt ? Elle a finalement son agence de moyens maintenant NKM…. Est ce que cette agence va embaucher ? Seront ils fonctionnaires ?

Répondre à ce commentaire

Commentaire 63 dans Checkpoint sur le grand emprunt et le numérique, le 20 décembre 2009

On sait désormais qu’il n’y aura pas création de nouvelles agences. Ceci dit le fonds national pour l’économie numérique placé directement auprès de NKM elle-même reliée à Matignon, ressemble à une nouvelle agence. Mais l’Ademe conserve son rôle dans les énergies renouvelables (c’est bien).

Christine Lagarde a annoncé taxer les bonus 2010 des banques. Et dans son projet 2010 de loi de régulation du système bancaire, elle intègre aussi cela (je n’ai peut être pas très bien compris) :
“le texte propose de fusionner Oseo financement,garantie et innovation pour renforcer la lisibilité de l’action d’Oséo”…

Cela me semble quand même rassurant, vous ne trouvez pas ? Mais pourquoi l’associer à la régulation bancaire ? Vous avez des infos ?

http://www.boursier.com/vals/ALL/france-eco-le-gouvernement-devoile-ses-projets-en-matiere-de-regulation-bancaire-et-financiere-news-363043.htm

http://www.gouvernement.fr/gouvernement/regulation-bancaire-et-financiere

Le texte complet présenté à l’assemblée nationale
http://www.assemblee-nationale.fr/13/projets/pl2165.asp

Répondre à ce commentaire

Commentaire 62 dans With the Traveling Geeks @ Orange, le 13 décembre 2009

I’m desoled, but I don’t write good in english. Please, read in French, if you can….

Espérons que toutes ces startups aboutiront à quelque chose et ne se feront pas rachetées tout de suite. Quoique leur business model est un peu juste (non?). Tous ces spécialistes, journalistes voyageurs… ont peut être une vue d’ensemble maintenant sur la position de la France par rapport à d’autres pays dans ce domaine.
J’ai l’impression que les Pearltrees et autres Stribe (le gagnant du prix leweb 2009) ont fait un tabac. Je crois que vous les aviez déjà présentés dans un de vos posts ici. Vous aviez indiqué que Stribe (pour son classement TechCrunch) était soutenu par ParisTech, Scientipole et Oséo. Mais j’ai lu dans divers petits blogs, que Pearltrees a levé plus de 2 millions d’euros chez les business angels et aussi été soutenu financièrement par l’Oséo qui l’a classé comme “innovation de rupture” (ça veut dire quoi?). Je ne sais pas s’ils sont intégrés dans les pôles de type cap digital, la cantine, etc. qui en profitent pour se mettre en valeur. Mais ils ont l’air de se débrouiller pas si mal malgré tout.
http://twitter.com/patricelamothe/status/1585729379 http://blog.pearltrees.com/?p=4021
http://altaide.typepad.com/jacques_froissant_altade/2009/10/index.html

A part ça, j’ai bien rigolé avec la démo de Jack Dorsey pour la solution de micro-paiement proposée par Twitter. Vous en parlerez dans vos prochains articles sur l’événement ?
http://owni.fr/2009/12/10/meme-jack-dorsey-peut-rater-une-demo/

Je vois qu’Orange garde le moral, malgré ce qui se passe chez France Telecom. C’est tant mieux. On va “changer le monde” (we going to change the world)
http://www.dailymotion.com/video/xbfzd8_lipdub-ump-la-video-virale-entre-en_news
Dailymotion (renfloué par le FSI) n’est pas censuré heureusement.

Bests regards…

Répondre à ce commentaire

Commentaire 61 dans Checkpoint sur le grand emprunt et le numérique, le 24 novembre 2009

Je suis d’accord avec vous Olivier sur la nécessité de rapprocher les équipes “sciences molles” (marketing, social…) et “sciences dures” (recherche industrielle, etc). Les deux vont de pair.

Pour le financement des phases aval des projets, il peut y avoir autre chose que ce foutu crédit d’impôt quand même. On voit qui l’utilise comme d’habitude. Ce ne sont certainement pas les startups qui ont besoin d’être conseillées et qui ont besoin d’avance de trésorerie immédiate et d’un suivi de leurs besoins de financement dans le temps. Je ne sais pas, peut être que ce crédit d’impôt Innovation serait efficace aussi. En tout cas, le crédit d’impôt recherche n’est pas très bien évaluable en ce moment selon Valérie Pécresse.

Pourquoi Oséo ou une autre banque, n’inventerait il pas un prêt à taux de 2% pour financer cette phase aval de mise sur le marché, en association (pool) avec d’autres banques ou investisseurs ? C’est compliqué à monter ?
N’est ce pas ce qu’a l’air de dire cette dame de l’Oséo, Annie Geay ?
http://www.strimoo.com/video/17549224/Grand-emprunt-itw-d-Annie-Geay-Dailymotion.html

Répondre à ce commentaire

Commentaire 60 dans Checkpoint sur le grand emprunt et le numérique, le 22 novembre 2009

Je n’ai pas bien compris. L’agence numérique est créé pour faire de la sélection de projets (avec qui ? la DGCIS ?) ou pour financer aussi directement les nombreux projets qui en auront besoin ? Parce que dans ce cas, ils vont devoir embaucher beaucoup de monde (c’est très chronophage). Et je ne vois pas où se trouve l’économie. Pourquoi la Caisse des dépôts n’a pas été choisie pour financer les infrastructures du numérique ? Pourquoi l’ADEME (Agence de l’environnement) est éludée dans les énergies renouvelables ? Et pourquoi on n’a pas mutualisé le budget “innovation” dans l’enveloppe générale “FUI / Pôle, Aide à l’innovation ” qui est gérée par l’Oséo ?

Si j’ai bien compris le rapport, du côté de l’Oséo, cela va permettre de faire du prêt participatif (bancaire), ce qui n’est pas mal pour financer les phases aval (commercial, marketing…)et pour financer l’amorçage (avec le PPA, prêt participatif aussi, mais d’amorçage). Mais côté “Aide” pure (subvention, avance remboursable taux 0), je ne pense pas que le budget soit concerné par le grand emprunt, bien au contraire. Comme vous le signalez Olivier, il est fort possible que le budget de l’aide à l’innovation de l’Oséo sera massacré à l’avenir. Ce qui est fort dommageable, car c’est tout de même plus transparent et plus pratique pour l’entrepreneur que les appels à projets et les grosses machineries qui ont été choisies dernièrement.

Je croyais que Nicolas Sarkozy était le promoteur des fusions en tout genre pour éviter les gaspillages dans les services publics et pour faciliter les démarches des entreprises. De même qu’il prône habituellement le partenariat avec le privé. Et là, on voit fleurir des agences publiques nouvelles (numérique, énergies renouvelables…) en veux tu en voilà….

Rien n’empêche NKM et la délégation du numérique de travailler en tant que pilote avec la Caisse des dépôts, Oséo et tous les autres partenaires. Ce serait plus cohérent. Et surtout, il ne faudrait pas que l’agence numérique se rapproche de l’Oséo et de la Caisse des dépôts pour leur balancer seulement (après) le boulot le plus ingrat (gérer les gros soucis de financement des projets). Le mieux serait de les associer en amont. C’est la moindre des choses. Pourquoi cela n’a pas été fait ? C’est bizarre quand même tout ça. Ca sent le “copinage” et l’opportunisme pour permettre à certains fonctionnaires de ce recycler sans perdre leur statut (non ?)….

Répondre à ce commentaire

Commentaire 59 dans Rencontre avec François Drouin, Président d’Oséo, le 17 octobre 2009

très interessant. pour une fois qu’on à une explication claire de la part d’Oséo. Mais Olivier les avances à taux 0 pour l’innovation et les avances de trésorerie du plan de relance n’ont rien en commun. D’un côté, vous avez des entreprises qui investissent dans l’avenir, de l’autre, des entreprises qui ont des trous de tréso (cycle d’exploitation classique).
…Entre aide directe et incitation fiscale pour l’innovation, il va falloir choisir. Pourquoi ne pas avoir laissé le crédit d’impôt plafonné aux grandes entreprises, et les aides directes (avec taux d’aide plus élevé) avec des conseils autour pour les créateurs et les PME ? Cela aurait été plus sympa.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 58 dans La performance réelle du capital risque, le 1 octobre 2009

Bonjour Mickael. Je crois que les startups israéliennes bénéficient de fonds issus des Etats-Unis (indirectement) justement… par la communauté judaïque. C’est un cas un peu à part. Pour ce qui est de langue, quand on a l’argent tout passe…
En France, il y a le système des prêts participatifs qui vont être mis en place… Evitent la dilution au début. Mais du coup, les capitaux-risqueurs ne vont pas pouvoir négocier à la baisse pour acheter pas cher et revendre avec une plus-value. Ca va faire mal… pour les rapaces du capital-risque :
http://www.lesechos.fr/info/france/020149987408-financement-des-pme-le-plan-d-action-se-precise.htm
Sinon, que tout le monde reste en Europe. C’est mieux. Pour nous tous.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 57 dans La performance réelle du capital risque, le 30 septembre 2009

Il nous faut construire un modèle à nous, européens (ou simplement français), qui nous soit profitable à tous niveaux (y compris au niveau social biensûr). Soutenons d’autres Meetic. Il n’y a pas de raisons que l’on ne le fasse pas.

N’oublions pas que Rocard conseille Sarkozy actuellement (et pour le grand emprunt)et il a une vision très particulière et souvent partagée :
http://www.lemonde.fr/politique/article/2009/09/26/michel-rocard-ce-que-financera-l-emprunt-devra-etre-aussitot-productif_1245493_823448.html

Enfin les études que vous citez sont toutes issues de banques privées qui n’ont qu’un seul objectif : la plus-value et vite… et peu importe avec qui.

Et toutes ces éditeurs de logiciels, français, qui se revendent au plus offrant aux Etats-Unis. C’est nul.
http://www.echos-judiciaires.com/economie/actualite-les-editeurs-de-logiciels-partent-a-la-chasse-au-grand-emprunt-a6718.html

Je ne sais pas si le grand emprunt national (cet adjectif a tout son sens) va servir à les financer. Il va falloir jouer très très patriotes.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 56 dans La performance réelle du capital risque, le 30 septembre 2009

Regroupement de fonds ici : peut être (pour la taille critique). Mais pas trop d’équipes aux USA car elles risquent de nous quitter à tout jamais. On connaît déjà. Le marché américain est trop protectionniste… et du coup il oblige à se faire absorber complètement. On n’est pas là non plus pour soutenir l’économie américaine (faut pas pousser).

Si le marché n’est qu’américain, alors il vaut mieux ne plus investir dans le numérique en France et en Europe. Ce serait peine perdue.

Il nous manque un vrai marché européen du numérique. Et on ne fait rien pour cela. Pourtant le marché de l’Union européenne (à 15), c’est déjà plus de 300 millions de consommateurs potentiels (soit davantage que le marché américain).

Il va falloir se sortir de ce piège dans lequel les USA nous ont mis…

Répondre à ce commentaire

Commentaire 55 dans Guide Entrepreneur, onzième, le 24 septembre 2009

Je trouve le guide très bien. Très pratique. Une vraie bible. Il faudrait faire plus court à certains endroits. Par exemple sur les aides oséo : mettre l’aide à l’innovation (subvention ou avance remboursable à taux 0) tout simplement et pas le “catalogue”, puis le cofinancement avec les banques et la garantie pour le crédit bancaire et le financement en fonds propres (Vcs, etc). D’ailleurs on dirait bien que la garantie oséo couvre les prêts bancaires, mais aussi les fonds propres (capital risque, FCPI…).
Le chapitre sur les incubateurs me paraît essentiel aussi. Je trouve que c’est rassurant d’en faire partie au début.
Par contre, peut on se permettre de financer des startups qui ne génèrent pas de chiffre d’affaires pendant des années. Il y en a plein dans le numérique et le web. Surtout quand on sait qu’en France, le capital d’amorçage est quasi nul.
Pouvez vous me dire comme Seesmic (la startup de Loic Lemeur) est financée aux USA ? A priori il a levé des sommes colossales au démarrage ? C’est ça ? Tous ces nouveaux “businesses” sont quand même un peu difficile à appréhender. C’est beaucoup d’opportunisme. Mais est ce durable ??? Quand je pense que Lemeur a dû faire rêver nos startupers en herbe. C’est un peu dangereux.
http://www.theinquirer.fr/2008/10/11/cest-la-crise-seesmic-vire-la-moitie-de-son-personnel.html
http://leblog.vendeesign.com/web20/repositionnement-de-seesmic/

Chappaz conseille quand même de monter un business model qui indique clairement une rentabilité à court terme, avant de lever des fonds
http://www.wikio.fr/article/75039317

Répondre à ce commentaire

Commentaire 54 dans Résultats de l’appel à projets Serious Gaming et Web 2.0, le 24 septembre 2009

En tout cas, on peut souhaiter que de nouvelles façons d’apprendre en mode collaboratif puisse naitre par le jeu vidéo ou disons le mode interactif. Je trouve interessant que des précurseurs se penchent sur ce phénomène multimédia qui de toute façon commence à prendre son essor en Australie et aux Etats-Unis. L’Europe ne doit pas être en reste, quitte à y ajouter des règles strictes. Il serait idiot de laisser partir nos génies français du jeu vidéo aux USA ou ailleurs sous prétexte qu’on ne les aide pas à diversifier les applications dans la formation, le e-commerce, la visite virtuelle de musée, ou encore tout un tas de choses à découvrir…. Ce marché est fortement créateur d’emplois. Ne l’oublions pas. Il y a les utilisateurs certes, mais il y a aussi les créateurs. Pensons aux créateurs, tout en surveillant les dérives.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 53 dans Résultats de l’appel à projets Serious Gaming et Web 2.0, le 23 septembre 2009

Ce type a l’air très bien. Le dg de KTM. Pour une fois qu’il y a un entrepreneur français qui se bouge !!! C’est un leader dans le serious game et il va tirer les autres avec lui. Que demander de mieux. Tant que le marché n’est pas étendu, le service sera cher. S’il explose, alors il pourra en vendre davantage pour moins cher. Et il aura certainement d’autres clients que les banques et des jeux plus pertinents poru la société. J’ai vu la video sur backchich. C’est vrai que le jeu pour BNP est un peu too much. Mais c’est un vieux jeu d’avant la crise. Il va en concevoir d’autres certainement plus adaptés à la situation actuelle. La France a un grand savoir-faire dans le jeu vidéo, autant profiter du nouveau marché “serious game” pour des applications en formation ou autre.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 52 dans Résultats de l’appel à projets Serious Gaming et Web 2.0, le 22 septembre 2009

Ces subventions sont elles conditionnées à un niveau de fonds propres suffisant ? Dommage que ce ne soit pas des avances remboursables. Il y aurait eu moins de candidats, mais au moins un peu plus sérieux.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 51 dans Résultats de l’appel à projets Serious Gaming et Web 2.0, le 20 septembre 2009

D’accord avec Olivier Auber. Il y avait déjà des concours très sélectifs (comme celui de la Recherche, ce qui est normal puisqu’il vise les labos), il était inutile d’en créer un autre. Surtout pas en outre dans les services numériques qui ont tant de mal à trouver des financements. Je pensais que NKM voulait justement faire autrement. Alors là il y a l’angle de l’usage en matière d’activité citoyenne (l’administration, etc). Mais c’est toujours pareil, on créé un entonnoir, un prétexte pour ne retenir qu’une petite partie répondant à l’angle, mais qui ne sont pas forcément la crème. Tous les autres sont à nouveau sans rien. Chez Oséo c’est des avances remboursables à zéro taux d’intérêt, autrement plus compliquées à attribuer et à gérer derrière, qu’une simple subvention. D’où le regard sur ce que cela va générer en chiffre d’affaires. On peut pas leur reprocher.
Personne ne règne sur quoi que ce soit de toute façon. IL y a des gens qui font leur mieux d’un côté comme de l’autre, avec des moyens réduits et des tas de contraintes. Va falloir s’y faire. L’entrepreneur français est le meilleur du monde. Ne l’oublions pas.
Et au fait, on n’est pas le seuls à faire des appels à projets. Dans les autres pays c’est très à la mode aussi : on appelle cela des programmes. ET parfois ailleurs les aides sont encore plus compliquées que chez nous. On a une organisation qui est plus cohérente je trouve avec la DGCIS, OSEO et les collectivités territoriales.
Exemples ailleurs :
http://www.innovation.public.lu/html/portal/FR/81/464/
http://www.ipyme.org/IPYME/es-ES/ServiciosInteractivos/SIE/Consulta+Interactiva/AyudasIncentivos/
http://www.berr.gov.uk/aboutus/corporate/performance/Departmental-Investment-Strategy/page27453.html

Répondre à ce commentaire

Commentaire 50 dans Résultats de l’appel à projets Serious Gaming et Web 2.0, le 19 septembre 2009

Michel. Quel le nom de la boîte qui viole le droit de propriété intellectuelle dans la liste des retenues ? Ce serait le comble quand meme. Vous avez des preuves ?
J’en profite pour indiquer à Olivier Auber que confondre l’oséo avec une ministre c’est un peu too much. D’ailleurs d’après ce que je lis ici, les 2 ne se sont de toute évidence pas du tout rencontrés. Peut être sont ils en froid.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 49 dans Séminaire Numérique Grand Emprunt – Part 3, le 17 septembre 2009

Marc. De quels fonctionnaires parlez vous ? Qui aurait financé les Ilog, Soitec, Hologram, etc… ??? Le privé ? Ah oui ? Demandez aux banquiers s’ils l’auraient fait : marchés trop nouveaux, trop d’incertitude…. Et au capital risque aussi, celui qui minimise un max les risques, une fois que tout fonctionne bien. Et les business angels parlons en : ils ne savent pas miser pour perdre, donc ils ne prennent pas de risque non plus et ne pensent qu’aux plus-values. Les contribuables ISF de la loi TEPA ? Ils ne pensent qu’à leurs exonérations fiscales.

Le soucis, c’est d’avoir voulu supprimer certains organismes publics et indépendants comme Anvar (agence régionalisée qui fait désormais partie d’Oséo)… : cela a créé un appel d’air, et d’autres intermédiaires sont venus combler le vide ainsi créé. Et que font ils ces nouveaux intermédiaires (pôles, réseaux, etc)? Ils demandent des sous à l’Etat (merci le grand emprunt). Et en quantité. Sans aucune cohérence.

Non Monsieur, l’Etat a vraiment baissé les bras et a tout abandonné à la folie du marché financier qui vire à tour de bras des quantités de salariés. L’Etat a voulu tout abandonner aux régions pour l’aide aux entreprises, mais les régions n’ont malheureusement pas les moyens de faire face à long terme. Avec la crise, le rôle de l’Etat régulateur a été sollicité. Mais l’Etat n’a plus la force. Les salariés et les PME doivent se battre seuls dans une cacophonie sans nom. L’Etat n’est même pas respecté par les banquiers.

Je suis d’accord avec vous sur un point : il ne faut pas que l’attribution des quelques soutiens qui peuvent encore exister se fasse de façon centralisée, comme avec l’appel à projets de NKM. Cela créé une nouvelle injustice. Les heureux élus sont les mieux placés du point de vue des actions de lobbying. Ca va vite, mais le résultat n’est pas bon. Cela fait travailler une centaine de fonctionnaires à Bercy durant l’été pour sélectionner les projets, c’est tout.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 48 dans Résultats de l’appel à projets Serious Gaming et Web 2.0, le 16 septembre 2009

Effectivement. Drôle de sélection quand même. Perso, je ne vois pas l’intérêt de ce type d’opération. Les recalés iront voir l’Oséo, vous savez le truc qui est soit disant difficile d’accès selon vous. Mais quand je lis les bilans de cet organisme rien que sur 2008, je trouve que le nombre de projets soutenus est très important. Et cela fait moins “résultats du bac”.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 47 dans Financement public et privé de l’innovation, le 29 août 2009

Le CIR fait vivre une quantité impressionnante de consultants qui prennent 15% de commissions pour aider les boîtes à bénéficier de ce dispositif fiscal. N’est ce pas un gachis de l’argent public ??? N’est il pas plus utile de cibler les projets ? De les suivre à chaque étape ??? Le CIR et la subvention ne permettent pas cela. L’aide directe oui, par avance remboursable.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 46 dans Revamping d’été, le 24 juillet 2009

Justement, les commentaires parfois apportent une touche de stimulant (cela relance l’intérêt d’un article). Je trouve que la troisième colonne a son utilité et c’est très bon aussi de l’utiliser pour mettre en évidence les liens et les documents à télécharger…. et quelques illustrations (comme des encarts).

Pensez à faire des introductions courtes, en les mettant en “gras” (résumé, chapeau…).

Par contre, je suis d’accord avec les autres pour que le design ne change pas trop. On adore ce côté simplifié. Le blog a déjà son identité visuel avec ce fond beige, sa typo… Il faut garder cela. Il faut simplement jouer sur la grosseur des titres : titre plus gros pour le principal ; titres de couleurs pour les soustitres. Comme cela on peut lire rapidement l’essentiel avec le titre principal, l’introduction, les soustitres et la conclusion (chute). Les règles de l’écriture journalistique en somme.

Pour la têtière, un petit conseil d’un designer pourrait faire l’affaire. Mais ne fait pas trop dans le “léché”, façon site institutionnel. Restez dans le style “blog”.

Bon courage.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 45 dans Les startups préférées des VCs français, le 10 juillet 2009

Un bon partenariat avec les labos seraient de trouver un besoin sur le marché puis de les faire plancher pour parvenir à une solution. En somme, faire le contraire : passer du besoin de l’entreprise qui comprend un marché, vers la recherche pour répondre à ce besoin, s’il doit y avoir des recherches à mener pour lever les obstacles techniques. Et non le contraire : essayer coute que coute de mettre sur le marché une invention qui ne correspond à rien en terme d’attentes du consommateur lambda. Mais les chercheurs sont ils prêts à travailler de cette façon ?

Pour la transparence financière et économique, de toute façon un résultat net négatif ne signifie pas que la boîte est bidon. Tout est interdépendant. Les entreprises présentées lors de ce French Tour sont forcément à fort potentiel de croissance, si toutes les composantes sont réunies. Le financement, les fonds propres constituent un des éléments, notamment pour aider à réaliser les investissements, s’implanter à l’étranger, embaucher etc… L’argent est quand meme le nerf de la guerre notamment en cette période de turbulences où les marchés se déplacent. De nombreuses entreprises font des rachats à l’international pour gagner des parts de marché ou maintenir leur position avant-gardiste dans certains domaines. Empêcher que d’autres leur prennent leur avance concurrentielle.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 44 dans Les startups préférées des VCs français, le 6 juillet 2009

En fait, les VC’s sont encore plus demandeurs de “techno” et de “R&D” avec son lot de dépôts de brevets, que d’autres. Tout s’explique. On comprend mieux pourquoi les aides d’Etat se concentrent aussi là dessus. Autrement, les projets ne trouveraient pas preneurs chez les VC. C’est le capital-risque qui fait la loi actuellement.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 43 dans Enseignements du Concours 2009 des (blabla) Entreprises Innovantes, le 1 juillet 2009

Je crois que Frédéric Iselin d’HEC Start Up (qui accompagne les lauréats du concours) a écrit une thèse la dessus
“Proposition de valeur et positionnement prix. La place de la valeur client dans le pricing d’offres innovantes : le cas des start-up technologiques” (thèse de doctorat, 2009)

https://studies2.hec.fr/jahia/Jahia/iselin/pid/980

Si dans les équipes vous avez un ingénieur, un commercial et un financier… les trois composantes clés permettent d’arriver jusqu’au marché.

Eviter de financer les mêmes projets un peu partout… ca n’est possible que si il y a centralisation de la distribution de subvention. Avec les acteurs qui se multiplient dans le soutien à l’innovation, c’est plus dur.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 42 dans Enseignements du Concours 2009 des (blabla) Entreprises Innovantes, le 30 juin 2009

Je me suis trompée. C’est 688 projets soutenus en Ile-de-France (dont 268 pour Paris). C’est énorme!!! Donc bien plus que Rhône-Alpes et PACA.
Pour un budget total de 100 millions d’euros d’aide sur l’Ile de France, cela fait une moyenne d’aide située entre 150 000 et 300 000 euros par projet. C’est pas mal.

En 2009, si le budget de l’oséo est réduit d’au moins 40% comme il a été dit dans la presse (Le Monde). Donc on peut imaginer que 100 millions moins 40%, ça fait 60 millions d’euros de budget sur l’Ile-de-France, dont 20 millions pour Paris. Ca pourrait faire, pour le même nombre de projets à soutenir (environ 260), une moyenne de 1O0 000 euros d’aide par projet cette année sur l’Ile-de-France. C’est un peu juste (non ?). Soit il y aura un nombre similaire de projets, pour un montant d’aide plus bas (il faudra que l’entreprise complète), soit il y aura une sélection encore plus dure cette année. C’est l’un ou l’autre. Qu’en pensez vous ?

Le montant total des investissements de recherche soutenus en 2008 est d’au moins 200 millions d’euros, voire 300 millions d’euros rien que pour l’Ile-de-France, puisque l’aide Oséo c’est maxi la moitié du montant des frais de recherche.

Sur Paris, il y a au moins 40% des entreprises qui sont des créations d’entreprises (cf. les stats de l’Insee et de la CCI). On peut déjà le constater dans les résultats du concours, où l’Ile de France est number one… Donc de toute façon Oséo n’a pas le choix que de les soutenir. D’ailleurs Delanoé en fait une priorité en mettant 2 millions d’euros de plus dans le budget innovation. Ouf.

Sur toute la France, le nombre total de projet financés par Oséo est de 4 000 rien que pour 2008 !!!Quand on voit que les pôles ont financé 1400 projets depuis 2005, on imagine le boulot d’Oséo chaque année.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 41 dans Enseignements du Concours 2009 des (blabla) Entreprises Innovantes, le 29 juin 2009

Olivier. Je ne sais pas si en dehors du dossier de presse sur le concours vous avez eu le temps de fouiller sur d’autres bilans que vous recherchiez justement. Je l’ai fait pour vous.

Il y a eu un bilan TIC assez interessant présenté par Oséo. Plus de 1200 projets numériques et multimédia soutenus l’année dernière. très beau score quand même
Voici un article qui résume
http://www.innovationlejournal.com/spip.php?article4381

Et il y a le bilan d’activité 2008 que tout le monde attendait. Les bilans des 3 sociétés du groupe se trouvent à cet endroit
http://www.oseo.fr/notre_mission/information_financiere/rapports_annuels

Dans le rapport annuel de l’oséo Innovation, on y apprend que ce sont 388 millions d’euros d’aide à l’innovation qui ont été conclues en 2008, dont plus de 100 millions pour la seule région Ile de France (dont 40 millions d’euros pour Paris Intra Muros). Rhône-Alpes n’a fait que 38 millions d’euros.
Si on examine encore plus, on s’aperçoit par contre qu’en nombre de projets, l’Ile de France n’est pas en tête. Il n’y a eu que 268 projets soutenus, contre 352 en PACA et 315 en Rhône-Alpes.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 40 dans Les opportunités de la télévision numérique, le 26 juin 2009

Fillon dit clairement que l’emprunt national servira à financer les pôles de compétitivité. Au moins c’est clair :
http://www.lexpress.fr/actualites/2/francois-fillon-lance-des-pistes-sur-l-emprunt-et-ses-priorites_770416.html
Et il dit qu’il ne veut pas de saupoudrage mais financer des projets “ambitieux”… C’est pour vous dire que l’Etat n’a pas les moyens de soutenir l’innovation, que quelques pôles seront servis et par les autres. Et pour les entreprises qui n’arrivent pas à être labellisées, et bien ce sera la galère…

Répondre à ce commentaire

Commentaire 39 dans Le retour discret du moteur à eau, le 23 juin 2009

NKM va sûrement remplacer Luc Chatel à l’Industrie… Vous verrez demain à l’annonce du remaniement. Elle a le profil (Polytechnique) et il y a des tonnes de choses en faire tant pour l’écologie que pour le web ou les TIC en général, de même que pour faire en sorte que la France garde une industrie (d’avenir). Je pense qu’elle saura organiser les budgets au mieux, tant pour les pôles que pour Oséo, de façon à ce que les entrepreneurs disposent de 2 guichets au moins : l’un pour les programmes communs entre PME et labos avec les pôles en mettant en valeur les pôles numériques et les pôles “verts” ; l’autre pour les créations d’entreprises, les projets avec un seul partenaire, les très gros programmes…. Oséo a déjà su démontrer sa capacité d’organisation, de gestion, de secours des trésoreries, d’évaluation, de mise en relation… Il peut être un allié majeur des pôles de compétitivité, puisqu’Oséo est déjà partenaire des Régions et qu’il est financé par CDC et l’Etat aussi, pour les prêts, pour la garantie, etc.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 38 dans Alerte : Oséo asphyxie les startups !, le 23 juin 2009

Ca y est . La Ville de Paris vient à la rescousse en signant une convention avec Oséo pour le financement des startups dans la Capitale !!!
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5gudG66mgf69EXXShg46-NdtryMgw
Après tout, il n’y a pas que les projets collaboratifs des pôles. Mais je trouve que tout ceci est bizarre. Pourquoi tout n’est pas regroupé à Oséo, avec des décideurs variés (pôles, régions, incubateurs, cdc, etc) pour la sélection des projets ?

Répondre à ce commentaire

Commentaire 37 dans Le retour discret du moteur à eau, le 22 juin 2009

Un grand emprunt pour investir dans des programmes d’avenir (croissance verte oblige)… Cela ne vous rappelle rien? C’est le discours du Président ce jour devant le Parlement. Il va y en avoir des moteurs à eau à financer… avec l’argent des plus pauvres. Au lieu d’augmenter l’impôt des plus riches. Sans marges de manoeuvre, le grand emprunt est la seule issue. Christine Lagarde planche pour trier les bons projets à financer, les secteurs à privilégier…
http://www.latribune.fr/actualites/economie/france/20090622trib000390893/christine-lagarde-se-prepare-pour-le-grand-emprunt-national.html

Du coup, je ne pense pas que ce type de politique puisse être pilotée via le seul Crédit Impôt Recherche. Les pôles de compétitivité seront ils vernis en 2010… ou plutôt verdis ??? Oséo sera t-il de la partie ?

Répondre à ce commentaire

Commentaire 36 dans Guide des startups – dixième !, le 15 mai 2009

Pour que les aides puissent s’intéresser à la phase commerciale, il faudrait que Bruxelles arrête de tout régenter en vérifiant sans arrêt si oui ou non il y a distorsion de concurrence, chaque fois que l’on veut aller un peu plus loin dans le soutien. Il est clair que le régime de l’aide en France dépend du bon vouloir des directives européennes. C’est un peu dommage. Ce foutu traité de Lisbonne n’a rien arrangé en mettant en avant la sainte loi de la libre concurrence. On l’avait déjà compris, mais nos responsables politiques ont voté pour… Il ne faudra pas s’étonner si les préoccupations des citoyens désormais se déplacent un peu, en remettant en cause quasiment le mode de fonctionnement de l’entreprise, avec l’emprise de l’actionnariat sur le salariat.
Et il y a aussi le statut de l’auto-entrepreneur qui est paraît il une réussite. Quelle conséquence sur le tissu des entreprises nouvelles ? Il semble que cela créé une concurrence entre entrepreneurs : ceux qui paient des charges, ceux qui n’en paient. Le droit au chômage ensuite aussi. L’auto-entreprise vaut pour les métiers de consultant. Mais sans doute que de jeunes chercheurs ou diplômés se lancent aussi pour créer des pré-startups avec ça…

Répondre à ce commentaire

Commentaire 35 dans Guide des startups – dixième !, le 4 mai 2009

J’ai lu le guide et il est pas mal foutu. Vous allez finir par le rendre payant ? Je le sens… Vous comptez lever des fonds vous aussi ?

Répondre à ce commentaire

Commentaire 34 dans Capital Week 2009 – L’événement, le 11 avril 2009

Je vois que la revente d’Ilog à IBM a servi à quelque chose… C’est assez dingue quand même messieurs les responsables d’Inria Transfert… On verra dans quelques années les conséquences de tout ceci. Sans doute seront elles très positives pour l’emploi en France, et son savoir faire en NTIC. Sait on jamais…

Répondre à ce commentaire

Commentaire 33 dans Faut-il avoir si peur de la loi Hadopi ?, le 9 avril 2009

Vous voyez… la loi Hadopi a été rejetée par les députés… de gauche… comme de droite !
http://www.zdnet.fr/actualites/internet/0,39020774,39391614,00.htm
http://www.20minutes.fr/article/319135/Culture-Hadopi-Le-Net-se-moque-du-rejet-du-projet-de-loi-Creation-et-Internet.php

Les artistes qui sont contre la loi
http://societe.fluctuat.net/blog/36919-une-manif-a-l-artichaut-contre-hadopi.html
http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=53508

Les artistes du Show Biz (halliday, dutronc, maé, besson ??), seront peut être les premiers à menacer de changer de nationalité (pour payer moins d’impôts)… sont scandalisés et crient au crime.

Je ne sais pas trop quoi en penser. Il aurait mieux fallu que les artistes aillent pleinement dans le sens du web et trouvent d’autres façon de gagner leur vie ? Ils auraient pu utiliser le net pour cela. Je ne comprends pas.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 32 dans Faut-il avoir si peur de la loi Hadopi ?, le 7 avril 2009

Oui, Hadopi sera forcément inapplicable. Heureusement. Mais je ne comprends pas pourquoi Olivier Ezratty préfère les articles bien technos à ces sujets politiques pourtant essentiels pour l’avenir du numérique. NKM prépare l’après Hadopi soit-disant. Un prétexte à mon avis pour elle, car elle n’a pas du tout la main actuellement. Elle est dans une sorte de placard politique, comme Rachida, sa copine. C’est lamentable. Quand je pense que M. Ezratty est parti en Corée avec elle en pensant qu’elle pourrait venir en aide aux petites entreprises du web. Tous ces reportages pour rien. Ils étaient pourtant très bien faits et les photos étaient excellentes.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 31 dans Le numérique dans le plan de reprise – 3 et fin, le 3 avril 2009

Elle prépare l’après Hadopi avec de nouveaux projets de business économiques en ligne pour les producteurs de musique… Il était temps
http://www.20minutes.fr/article/317193/High-Tech-Hadopi-Nathalie-Kosciusko-Morizet-organise-la-suite.php
C’est beaucoup plus intelligent…
Pourquoi ne pas lancer des appels à projets pour les startups numériques qui pourraient plancher sur le sujet ???

Mais on voit bien que Hadopi n’est pas la solution. Pourvu qu’elle ne soit pas obligé de payer les pots cassés après…

Répondre à ce commentaire

Commentaire 30 dans Faut-il avoir si peur de la loi Hadopi ?, le 3 avril 2009

Sait on si NKM va rester au gouvernement ? J’ai comme l’impression qu’elle va énormément s’ennuyer dans son secrétariat du numérique… Il n’y a aucun plan valable pour le numérique, en dehors de cette loi Hadopi qui de toute façon est suivie par Albanel et va beaucoup freiner l’essor du numérique… D’accord avec Christophe.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 29 dans Le numérique dans le plan de reprise – 3 et fin, le 30 mars 2009

A force de vouloir simplifier en essayant, petit à petit, de supprimer Anvar, Sarkozy a laissé d’autres structures se mettre en place et proposer des aides en tout genre, sans résultat concret : c’est encore plus illisible qu’avant. Voilà le résultat. A la prochaine évaluation, il va taper dans le tas et tout regrouper dans oséo ce qui est sans doute très douloureux pour les équipes successives. Voire, à terme, les équipes de l’oséo innovation vont se barrer ailleurs…
Comment arrêter ce massacre ?
Concernant les financements de projets, il faudrait quand même que les entrepreneurs comprennent qu’ils ne peuvent avoir des ambitions au dessus de leurs moyens propres. Faire sauter le verrou des fonds propres dans les financements, ce n’est pas raisonnable et équitable. Il faut savoir renoncer quand manifestement on est dans le rouge pour innover.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 28 dans Le numérique dans le plan de reprise – 2, le 29 mars 2009

Jean-Claude et Guillaume. Je ne sais pas si vous avez bien lu les propositions du Comité Richelieu. Moi oui.
Il est écrit qu’en plus du crédit d’impôt recherche (pour les phases de recherche expérimentales), le Comité Richelieu aimerait bien que le gouvernement mette en place un crédit d’impôt “innovation” (pour les phases de développement, plus proches du marché) plus sympa pour nos startups (notamment numériques, qui apparemment font un tout petit peu de R&D mais pas beaucoup). L’aide à l’innovation permettait de faire un peu des 2 avant (et maintenant tintin, puisqu’elle va se faire étouffer par le CIR et les banques).
En gros, le Comité Richelieu s’en fout un peu de l’aide directe à l’innovation d’oséo-innovation-anvar. L’incitation fiscale suffit bien pour lui du moment que le produit “Passerelle” entre les petits (PME) et le gros (grosses boites signataires du Pacte PME) est sauvé LUI !!.
J’ai vu qu’en plus la créance du CIR est remboursée rapidement maintenant : 3 ou 6 mois. C’est comme une avance remboursable presque.
Mais si comme vous le dites, c’est Bruxelles qui décident de ce qui doit être financé par une aide directe ou par une aide indirecte comme le crédit d’impôt… c’est à dire que grosso modo c’est la recherche amont qui mérite d’être financée par le public (directement ou fiscalement)…. je vois pas ce que ce pauvre rapport va pouvoir donner concrètement.
Je finis par comprendre que la suppression de l’aide à l’innovation (sans doute envisagée depuis longtemps) commence à faire frémir, car on n’avait pas pensé aux PME innovantes normales, aux startups… et ça risque de remettre en cause ce qui était prévu.
Je ne me demande si Jean-Claude n’a pas trouvé le produit miracle qui va être mis en place en 2 coups de cuillère à pot : le mignon prêt à quelques pourcents d’intérêts, pour financer les phases de “non innovation scientifique” et de marketing pur jus.
Le Comité Richelieu va finir par s’appeler le Comité Pauvrelieucommun…

Répondre à ce commentaire

Commentaire 27 dans Hystérie économique : ça continue…, le 29 mars 2009

On peut imaginer la suite… la refonte totale du système et l’effondrement du modèle capitaliste actuel qui montre bien ces limites de bulles en bulles… (pas de Champagne malheureusement). Car les emprunts d’Etat aussi à terme ne vaudront plus rien.

C’est effectivement l’éclatement de cette bulle internet ridicule du début des années 2000 qui est la cause de cette catastrophe. Souvenez vous des valorisations folles espérées par les créateurs et les investisseurs à l’époque. Une économie virtuelle prise en main par les “fils à papa” (les vieux papas conservateurs, eux, faisaient un peu la gueule car leur vieillle économie en prenait un coup avec ces jeunes loups de la nouvelle économie). L’ouvrier de base, lui, il s’est fait bien avoir.

Il va falloir travailler maintenant, arrêter les business modèle de m….e. Mais au lieu de cela, il y a encore des créateurs de startups du net qui espèrent générer du chiffre d’affaires dans 5 ans si tout va bien… Allez, arrêtez de rêver et pensez surtout à créer de vrais emplois en France.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 26 dans Hystérie économique : ça continue…, le 28 mars 2009

Il aurait fallu que l’Etat régule les prix du marché de l’immobilier. Il ne l’a pas fait non plus. Il n’a rien fait et maintenant il se réveille !!!

Répondre à ce commentaire

Commentaire 25 dans Hystérie économique : ça continue…, le 28 mars 2009

JLC… la politique des taux bas a été pratiquée pour pousser la population à acheter dans l’immobilier car la spéculation s’était déplacée dans l’immobilier (idem pour les retraités qui ont capitaliser là, faute d’autre solution). Si les personnes avaient pu se loger en louant à des prix normaux (logements sociaux que le privé ne veut pas financer), elles n’auraient pas cherché à acheter (acheter revenait à payer des mensualités plus basses qu’un loyer avec un crédit accessible). Ne mélangez pas tout vous nous plus M. JLC. Les ménages se sont endettés car ils ont acheté des biens vendus très chers, mais rendus accessibles par la politique des taux bas, sur 30 ans !!! Un scandale qui a aussi traversé l’Atlantique. Maintenant la valeur de ces biens a baissé, les personnes se retrouvent au chomage, les taux grimpent à nouveau et les acheteurs ne peuvent plus payer leur crédit… Le piège se referme.
Non, la crise actuelle est la crise de la folie du “fric”, la folie du système qui place l’argent avant l’homme et ses besoins fondamentaux (logement, nourriture, éducation…) qui ne doivent pas faire l’objet d’aucune spéculation… n’en déplaise à Messieurs les traders et autres dingues du toujours plus.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 24 dans Le numérique dans le plan de reprise – 2, le 28 mars 2009

C’est la BDPME qui fait des propositions pour l’aide Innovation, avance remboursable ? Mort de rire… Alors là, je suis troué. BDPME c’est OSEO financement non ? Et pourquoi pas ANVAR pendant qu’on y est ? Mais je crois que le Comité Richelieu est au départ à la source de la fusion ANVAR et BDPME pour OSEO… On comprend pas trop pourquoi il se plaint maintenant ??? Tout pour la banque et le grand capital, avec les PME comme soustraitantes autour… Je comprends pourquoi vous les aimez. Le comité richelieu était le premier a taper des mains pour le CIR ; il trouvait cela génial. Maintenant il s’aperçoit que ça fait mal, et il demande à ce que l’aide directe soit près du marché, en subvention pourquoi pas, voire en tant que fonds propres des boites. Bah voyons… Ils ont tué l’aide Innovation, tentent ils de la sauver maintenant ??? M. Prince est de toute façon un très bel homme….

Répondre à ce commentaire

Commentaire 23 dans Hystérie économique : ça continue…, le 28 mars 2009

Ah bon ? Morin est aussi PDG de l’INPI (Institut national de la propriété intellectuelle) ??? Ah ba on comprend mieux pourquoi Sarko n’est pas content… Ca veut peut être dire que Valeo a déposé beaucoup de brevets aussi… Mais conservera t-il son poste à l’INPI maintenant ???

Pardus (actionnaire anglais de Valeo à plus de 20%) voulait prendre le pouvoir pour fusionner Valeo avec Visteon (un autre équipementier dont Pardus est actionnaire)… Morin ne voulait pas. car là aussi, cela va signifier des suppressions d’emplois encore plus grosses à l’avenir.
Finalement cette affaire ressemble au scandale des FCPI que vous nous indiquiez récemment : spoliation, revente, fusion etc…
http://www.jdf.com/societes-francaises/2008/05/22/02007-20080522ARTJDF00007-armistice-entre-valeoet-pardus.php?ID_NOTATION=195903

Visteon, la world company du Michigan US… rôde derrière tout ceci…
http://www.visteon.com/index.html

Répondre à ce commentaire

Commentaire 22 dans Hystérie économique : ça continue…, le 28 mars 2009

Je voudrais rajouter, que comme le dit le responsable syndical de Natexis (cliquer sur le lien ci-dessus, précédent message), le monde de la finance a aussi pété les plombs. Il le reconnaît lui même. Le système est parti dans tous les sens. C’est notre relation à l’argent qu’il faut changer désormais. Arrêtons l’orgie. Revenons aux fondamentaux et apprenons à nos jeunes diplômés qu’il faut savoir se contenter d’une somme d’argent normale et non exagérée (par rapport à ce que gagne la grosse majorité des gens). C’est ainsi et pas autrement. La société va contrôler tout ceci, et je trouve cela très bien. Même Strauss-Khan l’autre soir (alors qu’il avait lui même institué le syst. des stocks options pour les startups), l’a reconnu. Il faut savoir redescendre sur Terre, de soi même, et si ce n’est pas possible (addiction à l’argent), alors “papa et maman” vont faire le nécessaire pour sauver leurs enfants… d’une drogue et d’une dérive irresponsable…. qui peut mener le monde à la catastrophe. Je ne veux pas de cela pour les génération futures.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 21 dans Hystérie économique : ça continue…, le 28 mars 2009

Bonjour. Rien à voir avec les aides d’Etat classiques. En fait, ce qu’Obama et Sarko et d’autres mettent en place, c’est un contrôle de l’économie par l’Etat (que les entreprises soient aidées directement ou non par l’Etat), alors que jusqu’à présent c’est l’économie qui gère le politique (un peu trop), c’est le gros moustachu (le pdg de total) qui a le pouvoir… Je trouve cela dangereux pour la démocratie, car quand on vote politiquement pour quelqu’un on espère qu’il aura les moyens de diriger le pays, et ses dirigeants d’entreprises avec. L’économie, les décisions prises par les grands patrons ont trop de conséquences sur nos vies. On ne peut pas laisser faire tout et n’importe quoi.

C’est à dire que désormais tout entreprise qui licencie (gros volume de personnel), met la société dans l’embarras (paiement de l’impôt, paiement des plans sociaux, etc). Il y a donc une conséquence pour l’Etat, c’est à dire pour toi et moi. Le responsable principal est le patron de l’entreprise, qui doit savoir anticiper, gérer au mieux pour éviter les gachis. Quitte à ce que les patrons entre eux se coordonnent pour gérer au mieux les emplois (transfert, etc). Le monde économique, ce n’est pas le casino. Je crois que traders et certains patrons (pas la majorité) ont un peu confondu. La bonne grosse thune comme disait le resp. syndical de traders de Natixis. C’est à gerber
http://www.newzy.fr/videos/crise-financiere/trader-et-syndicaliste-chez-natixis.html

Répondre à ce commentaire

Commentaire 20 dans Faut-il avoir si peur de la loi Hadopi ?, le 23 mars 2009

Plusieurs pays font machine arrière pour ce type de loi. La Nouvelle Zélande est le dernier en date, après l’Allemagne et la Grande-Bretagne. Cela ne fonctionne pas du tout ce truc
http://www.lemonde.fr/technologies/article/2009/03/23/la-nouvelle-zelande-fait-machine-arriere-concernant-sa-loi-hadopi_1171684_651865.html

L’accès massif aux données personnelles montre ainsi qu’Internet “contient une quantité inimaginable de détails sur notre vie privée, qui peuvent être utilisés jusqu’à l’abus”.
http://www.pcinpact.com/actu/news/49880-france-riposte-graduee-rapport-lambrinidis.htm?vc=1

Enfin, la “culture libre” est le pendant des logiciels “open source” :
http://fr.techcrunch.com/2009/03/23/fr-sommes-nous-tous-des-pirates/

Citation interessante de l’article de Techcrunch
“La première décision concrète qui pourrait changer la donne serait une modification du code de la propriété. Cela commencerait à inverser l’équilibre capital / travail. Cette modification ne consiste pas à abolir la notion de propriété privée sur les biens matériels mais de remanier les lois sur les droits d’utilisation et de reproduction des biens immatériels, et refondre ainsi le système de brevets.”

Oui à méditer, pour un nouvel article olivier… Car la problématique est identique pour les éco-innovations (développement durable).

Au fait… Microsoft a encore “piraté” un brevet, le coquin…
http://www.degroupnews.com/actualite/n3453-microsoft-tomtom-justice-gpl-logiciel_libre.html

Répondre à ce commentaire

Commentaire 19 dans Faut-il avoir si peur de la loi Hadopi ?, le 22 mars 2009

Olivier. Cette loi ne sert pas à grand chose au fond. Elle sera détournée d’une façon ou d’une autre par l’innovation numérique.

Cette loi soutient qui et pourquoi ? Les multinationales du disque ? Pour s’en mettre toujours plein les poches ? Pour des oeuvres qui n’en sont pas ? Je trouve scandaleux que l’on pénalise à ce point les échanges de contenus. Les adresses IP ne doivent pas être communiquées à qui que ce soit, surtout pas pour ce genre d’acte. Quand on pense que c’est le “milieu culturel” qui pousse à cela, cela me dégoute. Je suis d’accord pour qu’il y ait une surveillance des réseaux pédophiles par exemple sur le net, mais pour les téléchargements de musique gratuits, non. Il faut arrêter.

Que toutes ces maisons de disque et artistes qui nous vendent leurs oeuvres à des tarifs prohibitifs, que le bouclier fiscal soit enfin levé. Puisque cette loi va être appliqué en France (et pas ailleurs), que le bouclier fiscal soit levé puisque ces pseudo auteurs vont encore se gaver auprès des plus pauvres.

Enfin, si M. Rogard est en lutte contre son père sur ce point, je lui dit “super”. C’est une guerre entre le conservatisme et l’ouverture, l’innovation.

Internet, c’est donner au plus grand nombre, ce que le monde réel ne réserve qu’à quelques uns. Ne laissons pas le milieu capitaliste abîmer notre Toile, une vraie oeuvre d’art en soi.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 18 dans Hystérie économique, le 19 mars 2009

NKM ne peut pas dire officiellement qu’elle est contre la loi Hadopi sinon elle serait à nouveau taxée de non solidarité envers le gouvernement (comme du temps où elle a refusé la loi sur les OGM). Il est tombé dans le piège que lui a tendu le ministère de la culture (Mme Albanel) et de la Famille (Mme Moreno).

Elle ne peut que se taire dans le contexte actuel. Il faut la soutenir car elle est le seul recours pour soutenir l’industrie numérique. Martin Rogard ferait mieux de l’aider plutôt que de se servir d’elle. Ceci dit, si elle ne dispose d’aucun levier, ni de réseaux suffisants au sein même du gouvernement, je ne sais pas comment elle fera.

Je lui conseille fortement de se rapprocher de Mme Lagarde et de M. Novelli. Le numérique est plus proche d’une problématique de type économique (compétitivité). Le contenu (sur lequel elle voulait pourtant se placer) n’est pas le bon angle.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 17 dans Hystérie économique, le 19 mars 2009

N. Kociusko critique Rogard, le resp. contenu de Dailymotion pour cette lettre malvenue selon elle. Mais en fait c’est elle qui a mis l’affaire sur le devant de la scène par communiqué de presse. Martin Rogard est un ex resp. multimédia du ministère de la culture de droite, et il en a fait beaucoup pour les jeux video et le net justement.

La loi Hadopi est ridicule. Dailymotion avait refusé de signer en 2007. Ils font des efforts pour limiter les contenus illicites sur leur plateforme, c’est déjà bien.

Non, là Nathalie démontre qu’elle se sent mal à l’aise dans son secrétariat, car tout se décide plutôt à Bercy (Lagarde) et à la Culture (Albanel) pour l’industrie du numérique justement… et bientôt à la Famille avec Moreno (c’est dingue). Un secrétariat numérique pour rien en somme. Pas de budget, pas de force de frappe.

NKM est une biologiste plutôt fortiche dans l’environnement. C’est dommage. Et avec son frère dans le même secteur numérique, ce n’est pas bon pour la neutralité.

Ou alors il faut que NKM sorte de ses gongs vraiment, se prononce. Sinon elle ne sera pas crédible. Elle ne dit rien.

Il faut se bouger un peu Madame !!!!!

Répondre à ce commentaire

Commentaire 16 dans Hystérie économique, le 19 mars 2009

Toppaz. Le tchat est interessant. Car nous abordons des questions essentielles pour la suite. Comment pouvez vous dire que notre éducation nationale est mauvaise. Ce n’est pas exact. Le classement de Shangaï sur les universités laisse à désirer (info très orientée par les lobby) si vous voulez mon avis. Nous ne déposons pas assez de brevets ? Et alors ? Tout n’est pas brevetable en particulier dans les sc. du vivant ou l’informatique. Nous avons une main d’oeuvre très qualifiée vous le savez. Il est très interessant aujourd’hui de faire faire sa R&D en France et en Europe.

Les Américains sont bien plus patriotes que nous. Nous ne sommes si chauvins que cela. Justement.

La France n’est pas dans l’ultralibéralisme. Nous avons tout fait pour freiner cela. C’est ce que j’explique dans mon 2e post.

L’image de la France est déplorable aux USA dites vous ? A bon ? Peut être. Mais celle des Américains n’a pas été fameuse non plus, et pourtant nous les aimons quand même.

Ne vous inquiétez pas. Je connais les Etats-Unis et plein d’autres pays. En Europe, nous avons l’habitude de beaucoup voyager… et notre culture est beaucoup plus ouverte qu’ailleurs…

Je sais que vous vous sentez un peu mal à l’aise et que vous aimeriez retrouver votre terre natale. Nous vous attendons et vous accueillerons le mieux du monde.

Si vous restez aux US, n’ayez pas peur de dire que vous êtes Français. Ici on n’a pas peur de dire d’où on vient. On ne craint rien.

Dites en quoi vous êtes si bien là bas ?

Répondre à ce commentaire

Commentaire 15 dans Hystérie économique, le 19 mars 2009

Olivier. Mais que voulez vous exactement ? Qu’on laisse faire les licenciements ? Et après on verra ? Oui le Français a le tempéramment de la révolte. C’est vrai. Mais c’est une façon comme une autre de réagir. Et nous avons souvent raison de ce point de vue. Après il faut agir de manière constructive, je suis d’accord avec vous. Il nous faut sortir par le haut. Aux US, Obama n’est pas si loin de la révolte aussi. Il a été élu aussi pour cela après 10 années catastrophiques de républicanisme mal gérées.

Je viens d’entendre que dans le cadre du bouclier fiscal, en France, de très riches contribuables viennent de se voir retourner l’équivalent de 30 années de Smic, en moyenne chacun (soit entre 7 et 10 milliards de perte fiscale pour la France, qui seront épargnées par ces contribuables ou mal placées). Trouvez vous que ce soit le moment ?

Je ne suis pas pour laisser filer le déficit. Il faut tout mettre à plat et orienter l’argent de façon intelligente. Là où c’est tout de suite impactant pour l’emploi. Je suis désolée, mais c’est quand même essentiel l’emploi.

Pour y faire face, les Français sont de plus en plus nombreux à se mettre à leur compte
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5ib_RXKps-PNzh_iFimB34J0i19Xg
Le salariat n’est pas la panacée. Ils l’ont compris.

Le secteur tertiaire va progresser, face à une industrie en crise. Et sans doute que le secteur numérique donnera l’exemple.

Je maintiens donc que l’avenir est au “petit” et non au gros seulement. Les gros se coordonnent, les petits aussi. C’est du collectif intelligent.

Au Japon aussi le gouvernement fait un plan pour l’emploi avec des dépenses publiques. Nous ne sommes pas les seuls.
http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5jaenuMC52dCLcmRxw_QBSJUBvySQ

Trichet de la BCE est très inquiet face au risque du protectionnisme. La crise est une crise de confiance selon lui.
Je vous assure que le risque est grand que les populations envoient tout balader
http://www.latribune.fr/actualites/economie/international/20090317trib000356174/jean-claude-trichet-les-trois-atouts-pour-sortir-de-la-crise.html

Enfin, Gordon Brown le grand argentier de l’UK, regrette de ne pas avoir réfréné l’appétit des marchés quand il était ministre des finances. C’est le mea culpa «le laissez-faire économique a vécu» selon lui
http://www.lefigaro.fr/international/2009/03/17/01003-20090317ARTFIG00443-crise-economique-les-regrets-de-gordon-brown-.php

Non. Par rapport à ce qui va se passer dans la rue dans d’autres pays (en particulier anglosaxons et asiatiques), les Français sont et seront très très raisonnables…. car ils ont toujours su freiner et tout freiner justement…

Répondre à ce commentaire

Commentaire 14 dans Hystérie économique, le 18 mars 2009

Toppaz. J’apprécie moyennement votre réflexion, vous qui avez quitté la France. Surtout quand on comprend d’où vient la crise actuelle. Vous ne manquez pas de culot avec votre vision ultralibérale qui nous mène droit au mur, comme vous le savez. L’ultra gauche n’existe pas. Arrêtez de fantasmer.
Vous vous moquez des gens qui sont obligés de faire des kms oui pour acheter moins cher. S’ils pouvaient acheter plus cher ils le feraient, croyez moi. L’Europe est un des continents les plus chers en raison de l’Euro (monnaie forte face au dollar). Vous saviez ?
La France a parfaitement compris la mondialisation et ses conséquences, justement. Très bien. Avant les autres.

On a poussé les gens à sur-consommer et donc à acheter chinois aussi. Nous n’avions pas ces produits vendus des clopinettes grâce à l’exploitation d’une main d’oeuvre asiatique.

La droite au pouvoir, s’aperçoit concrètement aujourd’hui des difficultés et sont outrés, oui, du comportement malhonnête de certains grands patrons, qui ont les moyens. Ce ne sont pas les petits patrons qui sont en cause ici. Les belles idées des présidentielles s’évaporent sous le poids des réalités, des conséquences d’un monde non régulé et attiré par le seul appat du gain.

Pour être entrepreneur en France, il ne faut pas être comme vous. Il faut être bien mieux encore… Les petits entrepreneurs exceptionnels sont restés en France. Autant le dire haut et fort. Les médiocres sont partis.

D’autres souhaitent revenir… aussi. Car l’ailleurs aujourd’hui, ce peut être aussi l’enfer.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 13 dans Hystérie économique, le 18 mars 2009

Adieu au bouclier fiscal ? C’est déchainement médiatique. C’est donc un peu foutu pour les business angels aussi du coup. Peut on savoir combien de contribuables ISF ont investi dans des PME l’année dernière ? Le capital des petites boites va en prendre un coup. Où trouver des fonds maintenant? Autant je ne suis pas fana du grand capital, autant j’étais assez pour les business angels. Peut être que ceux qui investiront plus de 50 000 euros bénéficieront d’une ristourne?

Répondre à ce commentaire

Commentaire 12 dans Hystérie économique, le 16 mars 2009

Ils délocalisent aussi. Leur stratégie est mondiale et leurs investisseurs aussi sont étrangers. Vous comprenez ? Ils nous ramènent peut être des recettes effectuées ailleurs, mais ils ne nous donnent pas des emplois de proximité. Ils ne nous considèrent que comme de simples consommateurs. Les startups veulent leur ressembler, c’est ridicule. Elles suivent ces grands groupes pour avoir des miettes en échange. Et en outre, ces petites boîtes voient filer sous leurs yeux des aides qui vont tout droit vers le secteur automobile par exemple, sans contrepartie…
http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=52372

C’est cette capitulation du grand capital qui va être dénoncée le 19 mars prochain. Occasion pour nous de demander à ce qu’une autre économie soit mise en place. Tout ce que vous avez pu apprendre sur l’économie, va devenir caduque !!
http://www.ladepeche.fr/article/2009/03/16/574308-Emploi-les-syndicats-predisent-une-mobilisation-sans-precedent-ce-jeudi.html

Il faut en profiter pour tout changer. N’oublions pas que le plus gros pourvoyeur d’emploi en France, c’est la PME, le petite entreprise… pas la grosse.
http://www.romandie.com/infos/news2/090315162211.l1y4zfz3.asp

Répondre à ce commentaire

Commentaire 11 dans Hystérie économique, le 16 mars 2009

Bonjour. Populiste non. Logique, oui. Avec les objectifs sur le développement durable, en fait, toutes ces boites soit disant stratégiques ne devraient plus l’être (pétrochimie, nucléaire…). On s’en fout un peu : il faut développer des activités peu consommatrices d’énergie (c’est cela la vraie idée). Biensûr pour le nucléaire, c’est dangereux de tout refiler au Moyen Orient. Mais c’est un peu tard déjà.

L’avenir est aux entreprises qui démarrent avec peu de moyens et restent en France. Comme cela, pas besoin de faire appel aux fonds en tout genre. On reste entre nous et on créé des emplois pour nous. La France ne compte pas sur le plan mondial : qu’est ce que cela peut nous faire, à nous, citoyens français. Il n’y a que nos gouvernants qui ont un peu les boules. Nous on s’en fout. On veux être tranquilles et autonomes surtout (restons petits, c’est bien aussi).

La liberté n’a pas de prix. De toute façon, l’Europe ne nous protège même pas. Alors, elle n’a pas de leçons à nous donner non plus…

Répondre à ce commentaire

Commentaire 10 dans Hystérie économique, le 15 mars 2009

Salut. On passe à total maintenant? Tout ce que je sais, comme je l’ai dit dans un post précédent, c’est que Total a le Fonds souverain chinois (le China Investment Corporation, CIC) parmi ses actionnaires… Si vous voyez ce que je veux dire. Je ne veux pas me répéter… Vous savez ce que je pense de tout ceci
http://www.lemonde.fr/economie/article/2009/02/20/l-offensive-mondiale-de-la-chine-pour-securiser-ses-matieres-premieres_1158113_3234.html
http://www.objectif-chine.com/2008/06/08/fonds-souverains-chinois-une-declinaison-de-l%E2%80%99art-de-la-guerre/

D’autant que Mme Lauvergeon d’Areva en appelle aussi à l’Etat pour renforcer ses moyens (avec des fonds souverains du Moyen Orient parait il…??)
http://marches.lefigaro.fr/news/societes.html?&ID_NEWS=100018036

bravo !!! On pourra toujours leur supplier de faire ceci ou cela…

Répondre à ce commentaire

Commentaire 9 dans Faut-il se méfier des FCPI ?, le 14 mars 2009

Hervé et Fabien. Oui comptons sur nous même. Car quand on voit les difficultés du gouvernement avec un grand comme Total qui licencie quand même. On peut se poser des questions. Biensûr qu’il faut dégraisser parfois, mais est ce le moment alors que le groupe a les moyens de garder ses effectifs quelque temps encore ?

Il paraît que depuis les privatisations Balladur (comme Total et d’autres), nos grandes entreprises hautement stratégiques ne sont plus à capitaux français. La stratégie est mondiale et donc nos problèmes d’emploi sur le territoire national, ceux là s’en tapent le coquillard. Il aurait fallu garder ces grandes entreprises sous contrôle de l’Etat français un point c’est tout. On aurait eu des marges de contrôle et d’ingérance plus grandes. C’est que fait la Chine : un communisme bien pensé. Oui je le vous le dis.

Maintenant plus rien ne nous appartient. Microsoft (qui se est bien américain à tout point de vue) fait semblant de nous aider.

Vous verrez. Il va falloir tout repenser et reprendre nos billes… (n’est ce pas bille?). La Finance et le Grand Capital s’en est mis plein les fouilles avec la mondialisation. Arrêtons les !!!

Répondre à ce commentaire

Commentaire 8 dans Faut-il se méfier des FCPI ?, le 11 mars 2009

Qui a encore parlé de la Silicon Valley ? C’est Hervé ? Vous avez vu ce qui s’y passe actuellement : un chômage grandissant dans les IT. Et un appel à la main d’oeuvre bon marché par l’immigration. Chose que les USA et UK ne veulent pas… Préférence aux candidats vivant aux USA… Quand tout va mal, les solutions radicales sont prônées… Pourquoi pas chez nous.
Lire
http://www.zdnet.fr/actualites/informatique/0,39040745,39387675,00.htm

Et la global enterprise, c’est bon on a compris. Global OK, mais avec un épicentre quelque part quand même… Quand on se fait tout bonnement racheté, comme Gemplus et Ilog… par des Américains, c’est un échec pour la France. J’en suis désolée pour les fondateurs qui ont dû tout faire pour l’éviter certainement. La commission de Alain Juillet pour l’intelligence économique, n’a rien fait finalement. Elle n’a pas su, elle ne connaît pas assez ce milieu.

Imaginez si le contraire arrivait ? SI on achetait des startups américaines à tour de bras, en profitant de la crise là bas ??? Les Américains crieraient au scandale. Ils ont tout fait déjà pour empêcher le déploiement de la carte à puce à l’époque, alors pour le reste… vous imaginez. Idem quand nos grands groupes remportent des marchés chez eux… Non, ils sont protectionnistes, bien plus que nous.

Il faudrait que l’oséo, l’administration des PME et des startups, alerte quand il y a risque de rachat par l’étranger d’une startup stratégique, pour que tout soit mis en oeuvre pour l’empêcher.

On a aussi notre Silicon Valley : le pôle systematic par exemple, ou Cap Digital, ou Minalogic, ou Derbi, etc…

Répondre à ce commentaire

Commentaire 7 dans Faut-il se méfier des FCPI ?, le 10 mars 2009

Il y a confusion. Le FCPI est un OPCVM, un véhicule d’investissement. Ceux qui prennent des risques (minimes quand même) sont les très riches particuliers qui placent donc leur argent à travers ces fonds. OSEO garantit les risques de ces particuliers (pas sur tous). Après la société de gestion de ces fonds peut faire des profits sur son activité globale dans la mesure où elle ne dispose que d’une partie en FCPI (avantage fiscal pour les particuliers sur les PME innovantes), l’autre partie peut concerner des entreprises non innovantes (donc hors avantage fiscal), plus grosses, moins risquées peut être, etc… Grosso modo, elle ne met pas tous ses oeufs dans le même panier. Donc je ne vois pas pourquoi les sociétés de gestion de FCPI ne feraient pas de profit. C’est quoi ce binz ??
Pour le pauvre entrepreneur qui s’est fait avoir car il n’a pas eu la présence d’esprit de signer avec son propre avocat le pacte d’actionnaires, que voulez vous y faire ??? C’est naïf comme comportement dans les affaires. Avec tout cela, j’insiste que nos hommes gestionnaires ou entrepreneurs nous foutent la trouille…parfois. Tout ce qui compte c’est de ne pas se faire piller par les étrangers.

Or je constate que M. Ricol (le Médiateur du Crédit) en appelle aux investisseurs de tout poil pour conforter les fonds propres de nos entreprises… pour leur redonner des capacités d’emprunt supplémentaire (un supermarché du crédit ; c’est l’overdose). Il s’agit a priori d’actionnaires minoritaires…. on voit, on verra… Il ne restera plus grand chose pour les petites entreprises et les startups…
http://www.lejdd.fr/cmc/economie/200911/ricol-de-nouvelles-solidarites-emergent_192699.html

Répondre à ce commentaire

Commentaire 6 dans Faut-il se méfier des FCPI ?, le 9 mars 2009

Si vous voulez. Mais Airbus a bénéficié d’aides européennes sans précédent, pour que la mayonnaise prenne. Ce sont de grosses industries (main d’oeuvre importante) qui sont restées sur le territoire anglais, français et allemand (sous le regard inquisiteur des Etats). Ne confondons pas avec les startups du numérique qui ne rêvent que d’une chose : profiter des aides ici et filer aux US ensuite, quitte à prévoir de se revendre à Microsoft, Intel, IBM ou autres… voire à lever un maximum de fonds auprès du capital risque pour faire fortune. Pensez vous sincèrement que ces startups numériques souhaitent grossir à tout prix ? je parle des emplois biensûr. Peut être aurons nous la joie de voir cela de notre vivant. Qui sait. Et pour les startups biotechnologiques c’est pareil. Beaucoup d’argent de dépenser pour les recherches scientifiques sans fin… et après aurevoir.. Et pour ce qui concerne Seesmic, je crois que c’est la startup de Loic Lemeur qui s’était occupé, il me semble, de la campagne de communication sur le net de notre Président : ah bravo. beau patriotisme. Il nous a carrément laissés tombés pour vivre son rêve américain (avec la crise qui bat son plein là bas, ça va faire mal pour lui)…

Répondre à ce commentaire

Commentaire 5 dans Faut-il se méfier des FCPI ?, le 9 mars 2009

Olivier. Excusez moi. Mais je ne parviens pas à apprécier ces considérations mondiales alors que nous subissons une crise sans précédent.

Si le marché visé par une startup est trop gros pour elle, alors elle n’a qu’à pas le viser, du moins, tout de suite. Il y a tant de jeunes hautement diplômés qui veulent jouer les bill gates: ils ne sont même pas capables de créer 10 emplois, alors que la nation a financé leurs études et misé sur leur potentiel.

Je sais bien que cette surenchère à l’international est encouragé par les pouvoirs publics à l’heure actuelle. Mais ces derniers feraient mieux de protéger nos frontières, comme le font la Chine et les USA nonobstant.

La razia continue. Je lis les événements sur le portail de l’administration de soutien des PME : maintenant il y a une sorte de “Tech tour” pour que les investisseurs anglosaxons ou asiatiques (voire mafia russe) viennent se servir chez nous (acheter nos boites en somme)
http://www.oseo.fr/a_la_une/agenda/evenements/tech_tour

L’argent n’a vraiment pas d’odeur… Je ne pense pas que l’Etat chinois ferait de même de son côté.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 4 dans Faut-il se méfier des FCPI ?, le 9 mars 2009

Vous citez Ilog. Oui quel dommage… Ils avaient été bien aidés par l’Etat eux aussi… Le secteur des TIC n’est pas un marché européen, mais américain. Le seul secteur où nos entreprises peuvent avoir le leadership, c’est dans l’énergie et l’environnement ainsi que dans l’agroalimentaire. Pour le reste, on a des idées, mais on n’a pas le marché pour les exploiter. C’est ce type de problème qui fait aussi sans doute que l’Etat réfléchi là où il met l’argent du contribuable : cet argent doit être directement utile à l’emploi et aux entreprises sur le territoire français. Pour les aides européennes, le territoire c’est l’Europe, en fonction de ce que chaque Etat met.

Devenir rapidement mondiale et s’établir aux USA ??? Et puis quoi encore ?

Nos grands groupes européens sont mal en point ? Ceux américains aussi… Profitons en pour que nouvelles entreprises émergent et surtout chez NOUS.

Répondre à ce commentaire

Commentaire 3 dans Faut-il se méfier des FCPI ?, le 8 mars 2009

M. Ezratty, vous avez été salarié de Microsoft ?

Que pensez vous des initiatives de ce groupe américain pour exploiter au mieux les idées de nos startups françaises ? Microsoft a signé le Pacte PME
http://www.pactepme.org/grand-compte/2012/microsoft-france

Je trouve dangereux cette encerclement de la finance et du grand capital (grandes entreprises) autour des startups françaises. Etes vous de mon avis ? Rien ne peut se faire sans eux. Et j’apprends qu’en plus les grands groupes vont aider les PME à exporter avec Pacte PME International.

N’est il donc pas possible de se développer avec une plus grande autonomie grâce au soutien de l’Etat ? Je trouverais cela plus “républicain”… Plutôt que de tout faire reposer sur le financement privé et les grands groupes…

Répondre à ce commentaire

Commentaire 2 dans Faut-il se méfier des FCPI ?, le 8 mars 2009

Emploi des jeunes et créations d’entreprises. Face au chômage, nombre de jeunes diplômés tente l’aventure. Résultat : ils n’ont pas les moyens pour le faire. Que faut il ? Augmenter les charges pour payer le chômage des jeunes diplômés ? Ou augmenter l’apport de l’Etat pour faciliter la création d’entreprise ? La génération soixante huitarde qui a de bonnes retraites ou qui dispose d’un patrimoine (ISF), doit reverser cette argent (business angels) sous une forme ou une autre, par la redistribution ou la solidarité. Nos impôts doivent servir à favoriser l’entrepreneuriat et l’innovation. Enfin, il y a l’incubation et les pépinières. Le coût d’installation, le coût des bureaux… Bref, il faut diminuer les frais, contrôler et casser la spéculation immobilière qui freine tout, qui fait qu’un salaire de 1 500 euros ne permet pas de vivre et qui du coup pénalise aussi celui qui embauche et qui souhaite maîtriser sa masse salariale. Enfin, il faut éviter que le travail et l’entrepreneuriat ne profite qu’aux jeunes des couches sociales aisées qui biensûr peuvent les premiers se passer des aides de l’Etat et qui pourtant sont les mieux placés (réseaux, coup de pouce de papa…) pour en profiter et font en sorte d’en bénéficier les premiers. Ce message s’adresse aux ultralibéraux qui continuent, malgré la crise, à sabrer le rôle de l’Etat. La dette que les jeunes devront payer plus tard est celle de la folie du milieu financier, des spéculateurs.., pas celle des plus pauvres. Et quand je vois en plus, que des fonds d’investissement pille les idées des créateurs, s’en est trop.
Mme Sabine Herold, qui intervient ce soir sur Ripostes sur France 5, qui représente le parti d’une nouvelle alternative libérale, est aussi salariée chez Chausson Finance (spécialiste de la levée de fonds pour les PME innovantes). Elle souhaite bannir les charges sociales qui affectent le marché du travail. Elle souhaite réduire le rôle de l’Etat. Il serait interessant de savoir ce qu’elle pense de tout ceci et de la situation des startups et de leur financement (y compris par le capital risque). Cela doit être paradoxal dans sa tête.
http://www.viadeo.com/fr/profile/sabine.filliasherold

Répondre à ce commentaire

Commentaire 1 dans Alerte : Oséo asphyxie les startups !, le 3 mars 2009

C’est sûr que c’est moins risqué que la bourse…

NKM va peut être réussir à trouver quelques dizaines de millions d’euros de plus pour compléter le budget d’oséo sur l’innovation dans le numérique ? J’ai lu dans la presse qu’elle tentait de faire entendre sa voix auprès de Devedjian. Si les startups ont des commandes publiques en amont (infrastructures), cela leur permettra de générer plus rapidement du chiffre et régler le soucis des capitaux propres, l’aide à l’innovation d’oséo n’étant qu’un complément, un levier.

J’ai appris tout récemment que les problèmes de budget concernent l’agence parisienne d’Oséo surtout (voire peut être toutes les agences sur l’Ile de France). Trop de demandes en 2008, beaucoup de reports sur 2009… Ce doit être une galère pour eux aussi. Sinon, concernant le budget d’oséo j’ai trouvé un rapport du sénat (avant 2007, ce n’était pas fameux)

http://www.senat.fr/rap/r06-220/r06-2201.html

La régression des crédits (à périmètre constant) se trouve surtout entre 2002 et 2004. Il y a eu un désengagement marqué de l’Etat à ce moment là. Sans doute en raison d’une volonté (Raffarin) de tout transférer aux régions (sans le transfert de financement qui va avec), alors que ce transfert ne peut être que limité. Il y a eu une erreur de stratégie je pense. D’où la nécessité de rapprocher ANVAR de la BDPME (économies d’échelle ?). Anvar est passé d’un budget de 80 millions d’euros annuels à plus de 150 millions à partir de 2006. L’Etat est trop inconstant dans ses dotations à l’innovation. Il a peut être dû aussi penser au financement qu’il devait mettre sur les pôles de compétitivité et tout récemment il n’en voulait plus que 10 mondiaux.

Un rapport de l’OCDE (du 3 mars) préconise un soutien marqué à la création d’entreprise, au renouvellement du tissu industriel, avec un accroissement de la concurrence sur le marché des produits. Il indique que les aides sectorielles (automobile) sont inefficaces et injustes.
http://www.usinenouvelle.com/GlobalDocs/usn/Objectif-croissance-2009.pdf

Le gouvernement va peut être réagir positivement aussi sur les startups innovantes ?

Il y a aussi le grand rassemblement du 5 mars à la Défense : les créateurs vont gonfler des ballons (oséo est partenaire). Cela semble concerner les créations d’entreprises classiques ou peut être aussi les startups, ce qui signifie qu’oséo est conscient du problème et souhaite nous soutenir ?
http://www.15millionsdeballons.fr/

Une startupeuse…

Répondre à ce commentaire

Last posts / derniers articles

Free downloads

Understanding Quantum Technologies 2024, a free 1,554 pages ebook about all quantum technologies (computing, telecommunications, cryptography, sensing):

image

Understanding Quantum Technologies 2024 Short version, a 26 pages version with key takeaways from the eponymous book.

image

The Two-Spin Enigma: From the Helium Atom to Quantum Ontology, a quantum foundations paper coauthored with Philippe Grangier, Alexia Auffèves, Nayla Farouki and Mathias Van den Bossche (paper backstory).
image

Voir aussi la liste complète des publications de ce blog.

Derniers commentaires

“Bravo Olivier! Quel boulot tu m’épates totalement et je t’adresse mes plus sincères félicitations! Je ne suis pas sûr de tout lire car je suis maintenant 100% dans l’art et la poésie et mon seul rapport à la...”
“[…] to Olivier Ezratty, author of Understanding quantum technologies 2023, the challenge for Europe is to position itself outside of where the US and China are likely end up...”
“Désolé, je suis passé à l'anglais en 2021 sans revenir au français. Traduire un tel ouvrage (1366) pages d'une langue à l'autre est un travail herculéen, même avec des outils de traduction automatique. Sachant...”
“Je suis un artiste conceptuel, certes je garde la grande majorité de mon travail dans ma tête par défaut d'un grand mécène. Mon travail de base se situe sur le "mimétisme" qui mène aux itérations et de nombreux...”
“Better than a Harry Potter! Thanks Olivier...”

Abonnement email

Pour recevoir par email les alertes de parution de nouveaux articles :


 

RRR

 
S
S
S
S
S
S
S
img
img
img

Derniers albums photos

Depuis juillet 2014, mes photos sont maintenant intégrées dans ce site sous la forme d'albums consultables dans le plugin "Photo-Folders". Voici les derniers albums publiés ou mis à jour. Cliquez sur les vignettes pour accéder aux albums.
albth
QFDN
Expo
791 photos
albth
Remise Légion d'Honneur Philippe Herbert Jul2021
2021
15 photos
albth
Vivatech Jun2021
2021
120 photos
albth
Visite C2N Palaiseau Mar2021
2021
17 photos
albth
Annonce Stratégie Quantique C2N Jan2021
2021
137 photos
albth
Maison Bergès Jul2020
2020
54 photos
albth
Grenoble Jul2020
2020
22 photos

image

Avec Marie-Anne Magnac, j'ai lancé #QFDN, l'initiative de valorisation de femmes du numérique par la photo. Elle circule dans différentes manifestations. J'ai réalisé entre 2011 et mi 2023 plus de 800 portraits photographiques de femmes du numérique avec une représentation de tous les métiers du numérique.

Les photos et les bios de ces femmes du numérique sont présentées au complet sur le site QFDN ! Vous pouvez aussi visualiser les derniers portraits publiés sur mon propre site photo. Et ci-dessous, les 16 derniers par date de prise de vue, les vignettes étant cliquables.
flow
Gaëlle Rannou
Gaëlle est étudiante à 42 Paris et tutrice de l’équipe pédagogique (en 2021).
flow
Jehanne Dussert
Jehanne est étudiante à l'école 42, membre d'AI For Tomorrow et d'Open Law, le Droit ouvert. Elle est aussi fondatrice de "Comprendre l'endométriose", un chatbot informant sur cette maladie qui touche une personne menstruée sur 10, disponible sur Messenger. #entrepreneuse #juridique #santé
flow
Chloé Hermary
Chloé est fondatrice d'Ada Tech School, une école d'informatique alternative et inclusive dont la mission est de former une nouvelle génération de talents diversifié à avoir un impact sur le monde. #entrepreneuse #formation
flow
Anna Minguzzi
Anna est Directrice de Recherche au CNRS au Laboratoire de Physique et Modélisation des Milieux Condensés (LPMMC) à Grenoble. #quantique
flow
Maeliza Seymour
Maeliza est CEO et co-fondatrice de CodistAI, qui permet de créer une documentation du code informatique par une IA.
flow
Candice Thomas
Candice est ingénieure-chercheuse au CEA-Leti, travaillant sur l’intégration 3D de bits quantiques au sein du projet Quantum Silicon Grenoble. #recherche #quantique
flow
Stéphanie Robinet
Stéphanie dirige un laboratoire de conception intégrée de circuits électroniques du CEA-Leti qui travaille sur des systèmes sur puces intégrés, des interfaces de capteurs, des interfaces de contrôle de qubits et de la gestion intégrée de l'énergie. #recherche #quantique
flow
Sabine Keravel
Sabine est responsable du business development pour l’informatique quantique chez Atos. #quantique #IT
flow
Céline Castadot
Céline est HPC, AI and Quantum strategic project manager chez Atos.
flow
Léa Bresque
Léa est doctorante, en thèse à l'institut Néel du CNRS en thermodynamique quantique, sous la direction d'Alexia Auffèves (en 2021). #quantique #recherche
flow
Emeline Parizel
Emeline est chef de projet web et facilitatrice graphique chez Klee Group, co-fondatrice TEDxMontrouge, gribouilleuse à ses heures perdues, joue dans une troupe de comédie musicale, co-animatrice de meetups et est sensible à l’art et à la culture. #création
flow
Elvira Shishenina
Elvira est Quantum Computing lead chez BMW ainsi que présidente de QuantX, l'association des polytechniciens du quantique. #quantique
flow
Marie-Noëlle Semeria
Marie-Noëlle est Chief Technology Officer pour le Groupe Total après avoir dirigé le CEA-Leti à Grenoble. #recherche
flow
Gwendolyn Garan
Gwendolyn est travailleuse indépendante, Game UX Designer, Game UX Researcher (GUR) et 2D Artist pour le jeu vidéo, étudiante en Master 2 Sciences du Jeu, speaker et Formatrice sur l'autisme et la neurodiversité, l'accessibilité et les systèmes de représentation dans les jeux vidéo. #création #jeuvidéo
flow
Alexandra Ferreol
Alexandra est étudiante d'un bachelor Game Design à L'Institut Supérieur des Arts Appliqués (année scolaire 2019/2020) #création #jeuvidéo
flow
Ann-elfig Turpin
Ann-elfig est étudiante en deuxième année à Lisaa Paris Jeux Vidéos (Technical artist, 3D artiste), année scolaire 2019/2020. #création #jeuvidéo