Rapport CES 2018

Publié le 29 janvier 2018 et mis à jour le 3 février 2018 - 39 commentaires -
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Et un de plus, le treizième !

Voici mon nouveau Rapport du CES de Las Vegas 2018, utilisant le prétexte de ce salon gigantesque pour vous proposer un point complet une fois par an des technologies et solutions destinées au grand public, top to bottom, des composants électroniques aux grands mouvements sismiques du marché.

C’est aussi le jour de la plus forte baisse de productivité de toute la French Tech ! Elle va commencer par affecter les centaines d’exposants français du CES qui se demandent à quelle sauce ils sont mangés dans le Rapport. Heureusement, il y a plus de lecteurs que cela ! Le Rapport CES 2017 a été téléchargé 26 168 fois à ce jour sur mon site.

Vous pouvez téléchargez le rapport !

Le Rapport CES vous est toujours proposé sous forme de fichier PDF. Je ne vous demande toujours pas de fournir votre email ou quelque information personnelle que ce soit ! C’est conforme à 200% à la RGPD ! Il n’y a pas d’ePub, désolé pour cette fois-ci.

Le Rapport 2018 est téléchargeable sur ce lien, en cliquant sur la couverture du rapport ci-dessous ou sur le bouton ci-dessus. Il fait 33 Mo dans sa version standard et je vous ai concocté une version plus compressée de 13 Mo qui sera utile à ceux qui le lisent sur certaines liseuses qui limitent la taille des PDF consultables, ou pour une lecture sur smartphone pour ceux qui ont de bons yeux.

Vous pouvez faire référence au Rapport CES 2018 dans vos publications en ligne ou papier. Dans ce cas, utilisez un pointeur sur cet article plutôt que sur le PDF. Je vous saurais aussi gré de ne pas publier ce PDF sur une plateforme de partage d’ebooks. Cela me permet d’en décompter plus facilement le nombre de téléchargements et d’en gérer les mises à jour pour corrections.

Vous lirez le PDF du Rapport sur l’écran de votre choix ou l’imprimerez, de préférence en recto-verso et en couleur. Dans ce cas-là, il fera environ 21 mm d’épaisseur et pèsera 1 kg au format A4 et avec un grammage de 20g.

Couverture Rapport CES 2018

Vous pouvez aussi visualiser et même télécharger mes nombreuses photos de ce CES qui sont classées par catégories (audio, composants, drones, photo, VR, etc) dans mon plugin WordPress maison qui équipe le blog Opinions Libres depuis 2014.

Le rapport est toujours publié dans ce bon vieux format PDF. Il reste simple à générer à partir de mon master mis en page sous Word. Et cette fois-ci, j’ai appliqué les options de kernel et ligatures qui devraient m’épargner les commentaires du genre “pourquoi n’est-il pas produit en LaTEX ?”.

Découvrez les nouveautés de l’édition 2018

Cette édition 2018 fait 400 pages alors que l’édition 2017 en était à 396. Sa taille est ainsi aussi stable que le marché mondial des smartphones ! Dans la pratique, ce sont plutôt les à-côtés du rapport qui ont fait augmenter la pagination : la liste des exposants français et le guide de visite et de l’exposant. Ce qui veut dire que le reste a diminué, témoignant peut-être d’une densité d’innovation de l’année un peu plus faible que la précédente. Mais ne vous inquiétez pas, il y a encore de quoi s’occuper !

Voici quelques thèmes clés de cette édition 2018 :

  • Vous avez toujours un résumé des tendances clés 2018 pour ceux qui sont pressés en 18 pages et même un autre qui tient en une seule page, page 32. Avec notamment un point sur la présence transversale de l’intelligence artificielle dans ce CES.
  • J’y ai ajouté une nouvelle perspective par marché vertical avec une sorte de mini-résumé et mini-guide de visite associé (banque, assurance, retail, télécoms, média, BTP, tourisme, santé, secteur public, luxe, agriculture).
  • Un benchmark quantitatif et qualitatif qui compare le CES aux autres grands salons de l’année dans le monde.
  • J’ai restructuré et enrichi le Guide du Visiteur et le Guide de l’Exposant du CES ! D’année en année, il bénéficie de l’expérience des uns et des autres. A noter celle de Stéphane Bohbot, fondateur du groupe de distribution INNOV8 Group, dont j’ai repris le verbatim d’une présentation chez Business France sur la distribution des objets connectés.
  • Un panorama complet des 412 sociétés françaises présentes au CES d’une manière ou d’une autre. C’est mon décompte, supérieur aux chiffres officiels car j’y intègre toujours les entreprises françaises qui exposent sur le stand d’autres entreprises voire en dehors du salon et celles que je découvre sur place lors de ma visite. Je les segmente par régions et par domaines d’activité. Cette année encore, je comptabilise les erreurs de casting par région et par raison, car il y en a de plus en plus : de l’ordre de 20% des exposants français. La France représente maintenant 8% des exposants officiels du CES, derrière les USA et la Chine, et la moitié de l’Union Européenne (UK compris). Je propose aussi quelques pistes pour améliorer qualitativement la présence française aux prochains CES.
  • L’habituel bêtiser des pratiques marketing des exposants du CES. Ca déride toujours autant les zygomatiques comme de nombreuses autres parties de ce Rapport.
  • Un point sur la 5G, ses technologies et standards, qui vous immunisera contre une partie du baratin des acteurs du marché des télécoms qui vous annoncent son arrivée en 2020 alors que les standards ne sont pas encore secs.
  • Un point sur la smart city qui était surtout traitée sous l’angle des transports intelligents lors du CES.
  • Un topo sur la téléportation, qui n’était pas présentée au CES, à moins que cela soit dans une suite ultra-secrète avec clause de confidentialité ad-vitam.
  • Toujours autant d’objets connectés des plus classiques aux plus étonnants, notamment dans les sleep techs et les pet techs.
  • L’habituel tour d’horizon des composants couvrant les processeurs, y compris quantiques et neuromorphiques, le stockage SSD, les réseaux Wi-Fi et M2M, les capteurs photo/vidéo/LiDAR, l’affichage 4K et 8K, et les capteurs de toutes sortes, haptiques, eye tracking et EEG (électro-encéphalogrammes).

Ceux qui ont contribué aux relectures et révisions du Rapport CES 2018

Je publie ce Rapport après presque une semaine passée en “phase bêta”, comme un produit complexe à mettre au point.

Il a bénéficié de la relecture de quelques volontaires habitués ou de bizuths. Il s’agit de Ismail Allalcha, Olivier Cahagne, Dimitri Carbonnelle, Olivier Carmona, Christian Chabrerie, Vidal Chriqui, Christophe Connille, Carine Coulm, Stéphane Gervais, Bruno de Latour, Anaïs Libolt, Stéphane Mougin, Yvon Patte, Gérard Peres, Vincent Pinte-Deregnaucourt, Alain Reverchon, Olivier Seres et Godefroy Troude.

Je les remercie avec vous, comme chaque année, pour leur travail de fourmi à détecter les bugs dans ce vaste document de plus d’un million de signes ! Contactez-moi par mail d’ici début janvier 2019 si vous êtes volontaires pour faire de même pour l’édition 2019. Il serait notamment bon qu’il y ait plus de femmes parmi ces contributeurs, beaucoup plus !

Je continue comme chaque année à intégrer des corrections et compléments au Rapport du CES pendant quelques semaines suivant sa publication. Vous pouvez me signaler les erreurs ou oublis. Je les corrige en mettant à jour le PDF sur ce site. Un log des révisions est mis à jour à la fin du Rapport.

Je peux vous aider !

La gratuité de ce Rapport du CES 2018 est un de ses facteurs de succès. Je privilégie une diffusion large pour qu’il profite au plus grand nombre, notamment aux étudiants, jeunes cadres et entrepreneurs. C’est une logique de prosélytisme technologique et entrepreneurial que je poursuis de manière constante depuis 2006, au même titre qu’avec le Guide des Startups que je mets à jours fidèlement chaque année et dont la prochaine édition, la 22eme sortira en avril 2018 ou avec Les Usages de l’intelligence artificielle, publié en octobre 2017.

J’interviens ensuite dans des conférences dans les entreprises et associations professionnelles et en faisant du conseil en stratégie produit dans certains des domaines couverts par le rapport. Bref, la version longue et généraliste est gratuite et la version courte et sur mesure est payante.

L’autre point clé est que mes interventions dans les entreprises financent indirectement le rapport et sans générer de conflits d’intérêts ou influencer son contenu. Ce rapport existe donc grâce à quelques entreprises et organisations qui jouent le jeu et en comprennent à la fois l’esprit et ce qu’elles peuvent en tirer. A noter que je ne fais jamais le guide au CES. Si je faisais cela, je ne pourrais pas visiter au pas de course l’intégralité du salon.

Agenda

Suite à la publication du Rapport CES, j’interviens donc dans les entreprises mais également dans des évènements plus ou moins publics que voici sachant qu’ils sont presque tous sold-out :

  • Lundi 29 janvier : débrief CES 2018 à l’Innovation Factory à Paris (sur invitation et sold-out).
  • Mardi 30 janvier : dans un débat sur le CES 2018 avec Philippe Mabille, rédacteur en chef de la Tribune, Sylvain Rolland, journaliste à la Tribune et Stéphane Bohbot du groupe INNOV8, au siège de la CCIP avenue Friedland à Paris (inscriptions).
  • Mardi 30 janvier : débrief CES pour les élèves de l’EPITA, de l’EPITECH et du groupe IONIS, au Kremlin Bicêtre.
  • Jeudi 1er février : débrief CES 2018 avec Cap Digital et Systematic, chez Bpifrance boulevard Haussmann à Paris (sold out). C’est la sixième fois ! Des startups des deux pôles de compétitivité témoigneront de leur aventure au CES à cette occasion.  Il s’agit de Dibotics, Arkamys, Suricog, CareOS et Oledcomm.
  • Mardi 13 février : débrief CES complété d’un making of du Rapport du CES à la BNF Mitterrand, animé par Fanny Bouton et avec l’intervention de Pierre Lebeau de la startup Keecker qui exposait au CES (inscriptions).
  • Jeudi 15 février : débrief pour les membres de l’EBG (Electronic Business Club).

Bonne lecture !

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Voici au passage les liens sur mes précédents rapports du CES qui totalisent à ce jour 3881 pages :

Rapport du CES 2006
Rapport du CES 2007
Rapport du CES 2008
Rapport du CES 2009
Rapport du CES 2010
Rapport du CES 2011
Rapport du CES 2012
Rapport du CES 2013
Rapport du CES 2014
Rapport du CES 2015
Rapport du CES 2016
Rapport du CES 2017

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Publié le 29 janvier 2018 et mis à jour le 3 février 2018 Post de | Apple, Composants, Digital media, Entrepreneuriat, France, Google, Intelligence artificielle, Logiciels libres, Loisirs numériques, Marketing, Microsoft, Mobilité, Objets connectés, Photo numérique, Santé, Son, Startups, Technologie, TV et vidéo, USA | 142259 lectures

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Les 39 commentaires et tweets sur “Rapport CES 2018” :

  • [1] - Jean-Christophe Latournerie a écrit le 29 janvier 2018 :

    Bravo une nouvelle fois.

    merci pour ce travail de titan. Il reste à te lire.

    Merci encore

    A bientôt

  • [2] - Olivier Ezratty a écrit le 29 janvier 2018 :

    Ce qui est aussi un travail de titan… 🙂 !

  • [3] - Jean-Christophe Simon a écrit le 29 janvier 2018 :

    Merci Olivier pour ce travail de référence impressionnant !

  • [4] - Yvandeuren a écrit le 29 janvier 2018 :

    Suis impressionné par le travail, merci merci !

  • [5] - Pierre a écrit le 29 janvier 2018 :

    Bonjour,

    une erreur il me semble page 259,

    la startup pioupiou est française, et non belge

    https://www.myfrenchstartup.com/fr/startup-france/83862/pioupiou

  • [6] - Thierry Lange a écrit le 29 janvier 2018 :

    Bon moi qui cherchais un résumé rapide du CES2018 me voilà servit, en tout cas merci Olivier pour ce travail énormissime et très complet, il me reste à lire tes 400 pages .

    Cdt

  • [7] - Lyonel SIREUILE a écrit le 29 janvier 2018 :

    Bonjour et merci Olivier pour ce travail titanesque et cette liberté de ton.
    Bien cordialement.

    P.S: Je crois que vous intervenez sur Paris cette semaine,pourriez-vous nous rappelez à quel endroit?

  • [8] - Philippe LAFAGE a écrit le 29 janvier 2018 :

    Félicitation encore une fois pour votre production et vos observations d’excellentes qualités

  • [9] - Arnaud a écrit le 29 janvier 2018 :

    Merci ! C’est un super travail de synthese.

  • [10] - Philippe Marques a écrit le 29 janvier 2018 :

    Pourquoi n’est-il pas produit en LaTEX ? (non je déconne, it’s a joke) 🙂 Merci

  • [11] - JPCorniou a écrit le 29 janvier 2018 :

    Un grand bravo encore une fois pour cet inventaire exhaustif des tops, mais aussi des flops, du CES 2018. La manifestation devient de plus en plus gigantesque et la couvrir un exploit sportif ! Elle conserve un attrait indéniable car seul le CES permet d’embrasser en une fois la transformation numérique dans tous ses aspects. Las Vegas devient plus intéressant que Detroit pour l’automobile et la santé y tient un véritable congrès en soi. Que le numérique attire toute la transformation sociétale n’a rien d’étonnant, car c’est le mouvement de fond. Mais il n’est pas non plus surprenant que cette immense transformation charrie des matériaux de plus en plus hétérogènes. Des vraies questions commencent à se poser. Et son voit émerger un “better world” à travers la résolution potentielle de beaucoup de problèmes structurels, comme le fonctionnement urbain, on voit aussi arriver le spectre d’un contrôle total de tous nos agissements.

    • [11.1] - Olivier Ezratty a répondu le 30 janvier 2018 :

      Hello JP !

      Les avis sont en effet très partagés sur le “better world”. L’Histoire est très ouverte avec le meilleur comme le pire dans ce qui est envisageable.

  • [12] - Hugues Sévérac a écrit le 29 janvier 2018 :

    Hop, récupéré.
    Fidèle abonné depuis 2009, mais là je me demande un peu ce que je vais y trouver de nouveau ! L’époque est à la redescente du hype…

  • [13] - Bruno Guerin a écrit le 29 janvier 2018 :

    Bonjour,
    Merci pour ce rapport très complet du CES et des tendances actuelles. Je suis néanmoins un peu déçu du manque de place de la caméra thermique (Infra rouge LWIR). En effet, vous avez mentionné avec précision les technologies de LIDAR pour l’ADAS. Cependant les fabricants de capteurs microbolometres ont également dévoilé à l’occasion du CES des applications ADAS . Flir le fait depuis longtemps avec Autoliv mais proposait également des solutions plus abordables sur son stand. SEEK THERMAL a saisi l’occasion du CES pour annoncer également un produit plug and play pour l’ADAS à un prix très compétitif au regard des autres solutions mentionnées.
    Bravo encore pour votre rapport! Je ne manquerais pas d’y faire référence!

  • [14] - Olivier Ezratty a écrit le 29 janvier 2018 :

    Je n’avais pas noté cette annonce de FLIR et surtout, son usage potentiel dans les véhicules autonomes. L’infrarouge n’est pas mentionné dans la littérature. On voit surtout LiDAR + radar + ultra sons + caméras RGB. Mais j’avais déjà fait un point sur l’infrarouge dans l’édition 2017 du Rapport !

  • [15] - Ludovic T a écrit le 30 janvier 2018 :

    Bonjour,

    Merci beaucoup une nouvelle fois pour ce travail titanesque, réalisé dans des délais dont beaucoup pourraient rougir!

    Pour ma part j’ai découvert dans les pages du rapport Byond, qui offre une plateforme pour créer des environnements VR sans programmation! Hâte de voir ce que cela peut donner.

    Merci encore!

  • [16] - Diane a écrit le 30 janvier 2018 :

    Partante pour féminiser les cercle des relecteurs 2019

  • [17] - François-Xavier Bodin a écrit le 30 janvier 2018 :

    Je ne sais pas comment tu fais pour produire ce rapport si vite, mais merci de le partager.

  • [18] - Christophe D. a écrit le 30 janvier 2018 :

    Merci cette année encore Olivier, un téléchargement seulement… mais + 50 lecteurs ici !
    Vous rendez vous au MWC en Février à Barcelone ?
    Bien cordialement.

    • [18.1] - Olivier Ezratty a répondu le 30 janvier 2018 :

      Bonjour Christophe,

      Non, pas de Barcelone, je n’y vais jamais. Le CES me donne du boulot pour quelques mois et je ne passe pas ma vie dans les salons. Mais le MWC est le point de départ pour moi de la préparation du Rapport CES de l’année suivante !

      Olivier

  • [19] - Alexis Rollin a écrit le 30 janvier 2018 :

    Merci Olivier pour ce travail et ce partage.

  • [20] - Cyril Pierre de Geyer a écrit le 31 janvier 2018 :

    Olivier, toujours aussi bon ce résumé. Merci pour cet engagement et les debrief pour nos étudiants epita Epitech.

    Cyril

  • [21] - Guillaume ESD a écrit le 1 février 2018 :

    Bonjour,

    Merci encore pour cet ouvrage de référence qui est, il faut le souligner, d’une qualité et d’une quantité remarquable.

    Je m’interroge juste sur un détail concernant les Smartphones, on y trouve la quasi totalité des marques phares de 2017 mais néanmoins il n’est pas une seule fois question de la marque OnePlus qui est pourtant entrain de se populariser énormément, et qui a probablement sorti le meilleur smartphone de 2017 au niveau rapport qualité/prix.

    Est-ce un choix de votre part ?

    J’aurais l’occasion d’avoir vos retours de vive voix lors de votre conférence du 15 février, je m’en réjouis d’avance.

    • [21.1] - Olivier Ezratty a répondu le 1 février 2018 :

      Je n’ai pas listé toutes les annonces de smartphones Android qui se ressemblent souvent, surtout chez les constructeurs chinois. Et les smartphones de ce constructeur n’ont rien de bien particulier à signaler (One Plus 5). Et tout simplement, cela m’avait échappé dans mon suivi de l’actualité des smartphones. Et btw, ils n’étaient pas exposants au CES. Enfin, j’évite de lister dans mon catalogue les smartphones milieu de gamme. Je me focalise sur le haut de gamme qui imprime une tendance sur le marché. C’est pour cela par exemple que je n’ai pas évoqué les modèles d’Archos, Alcatel, etc.

  • [22] - INNOVATYS Consulting (@InnovatysCo) a écrit sur Twitter le 1 février 2018 :

    Retour du CES avec Olivier Ezratty : ce qui monte, ce qui stagne, ce qui s’efface. Retrouvez tout dans le très atte… https://t.co/Hm03UpbdWe

  • [23] - Jacques Péré-Laperne (1A3i) a écrit le 2 février 2018 :

    Bonjour ,

    j’ai quelques difficultés à comprendre pourquoi vous considérerez que la présence de certaines Startups Françaises sont des erreurs de casting .
    Dans votre rapport vous indiquez clairement et je vous cite ” … Faurecia a abandonné le salon auto de Detroit qui est trop grand public et centré sur les USA. Le CES est plus intéressant pour eux car plus professionnel et plus international …” est vous considérez que c’est une bonne chose , et je suis d’accord avec vous .

    Jusqu’à présent je n’ai jamais vu un client aller cher Norauto ou Point Vert et leur demander de leur procurer un siège FAURECIA. De même je ne suis pas sûr que beaucoup d’automobilistes savent que c’est FAURECIA qui a fabriqué le siège de leur auto. Je pourrais citer aussi le cas de VALEO présent au CES, erreur de casting ? …

    Et pourtant ils sont au CES et certains , comme vous , s’en félicite, donc FAURECIA , VALEO ce ne sont pas des erreurs de casting .
    Alors pourquoi les Pme Feançaises ne seraient elles pas au salon du CES , comme FAURECIA ou VALEO ?

    Quand je “RESTRUCTURE LES DOCUMENTS DÉSTRUCTURÉS” et que cette solution permet à RENAULT ou à AIRBUS d’améliorer leur productivité , c’est bien pour produire un bien qui in fine sera utilisée par un consommateur . On est bien dans du B2B2C comme VALEO ou FAURECIA. 1A3i ERREUR DE CASTING , Valeo et Faurecia très bonne stratégie …

    De même vous dites ” La zone qui intéressera le plus les industriels est celle de l’impression 3D qui s’est déplacée dans North Hall pour se rapprocher de l’automobile. Son plus grand exposant est maintenant le Français Dassault Systèmes, le leader mondial de la CAO et du PLM (Product Lifecycle Management). ” Dassault Systèmes, industriel, ce n’est pas trop grand public. Je vois difficilement un “simple” visiteur du CES, acheté CATIA V6 et ses modules de simulation par exemple. Qu’en pensez-vous ? et pourtant vous ne considérez pas Dassault Système comme une ERREUR DE CASTING mais 1A3i oui.

    Alors faut-il être “Gros” comme Valeo, Faurecia , Dassault Sytémes , auxquels je pourrais rajouter NVDIA , Intel … , pour exposer et faire du Business au CES ?

    Je n’ai pas votre expérience du CES ( 13 ans de couverture ) mais le CES est le premier Salon , depuis plus de 30 ans de salon que je fais en France , dans le quel j’ai eu autant de contacts qualifiés et industriels et rencontré autant d’investisseurs potentiels, ceci avant, pendant et après le salon . Il faut remonter au MICAD dans les années 90 pour retrouver un salon aussi dynamique .

    Alors c’est peut-être une erreur de CASTING, mais avec 350 présentations de la solution , plus de 800 brochures distribuées et plus de 100 cartes visites récupérées , je souhaite à tous de faire la même erreur de CASTING que 1A3i.

    Et j’encourage toutes les régions de France, en particulier la Nouvelle Aquitaine que vous placez sur le podium, a entraîner leurs PME(s) et leur Statups dans le même type d’erreur de CASTING.

    Voilà Monsieur EZRATTY , Peut-être que le salon évolue.
    D’un salon B2C on arrive à un salon B2B2C ou même simplement B2B , les choses changent …
    Et j’invite d’autres ERREURS de CASTING a donner leur avis .

    Jacques Péré-Laperne
    Pdg 1A3i

    • [23.1] - Olivier Ezratty a répondu le 3 février 2018 :

      La réponse est très simple : Valeo et Faurecia comme nombre de sociétés françaises présentes (MicroEJ, STMicroelectronics, Dibotics, Arkamys) sont des fournisseurs de composants logiciels et/ou matériels qui rentrent directement dans la composition des produits b2c que sont les véhicules présentés au CES. Cela a toujours été le cas au CES. Ce n’est pas un phénomène nouveau. Il y a toujours eu des équipementiers automobiles et nombre de fournisseurs de composants électroniques en tout genre.

      Le CES comprend en effet une bonne part de la “supply chain” amont des produits grand public. Au même titre que lorsque vous visitez le Salon de l’Agriculture, vous trouvez des fournisseurs d’alimentation pour bétail comme des tracteurs. Et vous n’achetez pas de tracteur pour consommer votre pain. Par contre, vous n’y trouvez pas forcément Facom ou des fabricants de boulons ou des éditeurs de logiciels de compta ou de bureautique.

      Quand vous allez au Mondial de l’Auto, vous retrouvez Faurecia et Valeo (quoique pas sûr pour ce dernier), bien que les équipementiers ne soient plus très fans d’exposer dans ce salon qui est très grand public comme l’est celui de Detroit.

      Dans votre cas, la solution, dont je ne remets pas en cause la qualité, cible les entreprises en général, pas spécifiquement la supply chain matérielle ou logicielle des produits grands publics du CES. C’est donc de l’informatique générale.

      Si on allait dans ce sens, SAP, SalesForce, Oracle, Documentum, Sage, Cegid, Sopra, Murex, Cegedim et tous les éditeurs de logiciels d’entreprises “horizontaux” petits ou grands devraient être exposants au CES. Or ils ne le sont pas. Ce n’est pas un hasard. C’est une question de ciblage d’audience et d’optimisation de mix marketing.

      Alors, oui, vous trouvez bien des prospects sur place. Mais imaginez que tous les éditeurs de logiciels d’entreprise français occupent Eureka Park ? Quel serait le message envoyé aux visiteurs qui cherchent pour la plupart des produits associant matériel + logiciel pour le grand public ou les composantes de ces produits ?

      Je pose la question d’une autre manière en mettant en regard l’intérêt individuel des exposants et celui, collectif, de la présence française lorsque’elle est accompagnée par la puissance publique. Votre intérêt est tout compris. Mais dans le contexte de la présence française et avec les autres sociétés du même genre, il rend moins lisible la présence des startups françaises et réduit l’efficacité collective de la French Tech sur ce salon. Je rappelle que vous n’étiez pas un exposant classique mais étiez sur le stand d’une région. Vous avez donc bénéficié sous une forme ou une autre d’aides publiques. C’est un effet d’aubaine et un effet de bord.

      Reste le cas de Dassault Systèmes. Ils couvrent bien plusieurs industries et sont donc très “horizontaux”. A ceci près qu’ils sont le numéro un mondial des outils de conception (CAO) et en particulier dans la conception des produits que l’on voit au CES et que leurs grands clients y sont à la fois comme visiteurs et exposants. Par ailleurs, sur le stand, ils ne présentaient pas leur offre mais un écosystème de startups qu’ils accompagnent et qui avaient pour l’essentiel une offre grand public.

      Est-ce que sinon vous reviendrez comme exposant ? Est-ce que le jour où vous ne pourrez plus être exposants sur Eureka Park, vous prendrez un stand “normal” en payant plein pot ? Et dans quelle zone du salon ? La logique en effet, pour les entreprises exposantes du CES est de s’extraire d’Eureka Park pour devenir des exposants établis dans la durée.

      Indice 1 : Air Liquide avait une zone avec des startups au CES 2017 et ils ne sont pas revenus en 2018. Air Liquide est très générique et éloigné des offres grand public. Le seul lien étroit concerne les véhicules utilisant des piles à combustibles (je les avais vus une année sur le stand de Toyota qui en est fan) et les hôpitaux.

      Indice 2 : je connais nombre de startups B2B de votre genre qui étaient sur Eureka Park par le passé, étaient assez contents de leur présence mais ne sont pas revenus pour autant au CES. Les leads étaient difficiles à closer et par ailleurs, ils ont revu leur mix marketing et se sont investis dans d’autres salons ou événements plus intéressants de ce point de vue là, compte tenu de la nature de leur activité. Et j’en connais au moins deux qui sont revenus cette année : Klaxoon et Magency, le premier ayant un stand normal, sur Sands Level 2, donc pas subventionné par les deniers publics.

      A votre décharge, il y avait bien une petite zone dite “Enterprise” dans Eureka Park, pas associée à un pays particulier. Mais c’était une allée très peu fréquentée et assez inintéressante dans le contexte du CES.

      La B2Bization du CES est un leurre, un peu entretenu par la zone Smart City qui était marginale sur le CES. Il y avait aussi une famélique zone Retail mais elle a du sens car le visitorat numéro 1 du CES est dans le retail !

      Finalement, mon avis n’est qu’un avis, certes visible. Libre aux uns et aux autres de faire ce qu’ils veulent.

  • [24] - Jacques Péré-La^perne (1A3i) a écrit le 3 février 2018 :

    Bonjour Monsieur EZRATTY,

    Pour répondre à vos questions ?
    – OUI, nous reviendrons comme start-up à l’Eureka Park si notre dossier est retenue par le CTA en 2019.
    – OUI , si la start-up se développe nous serons présents en payant plein pot, et nous serons présents dans la Zone AI (Intelligence Artificielle).

    Pourquoi? Parceque si c’est bon pour Dassault Systèmes qui est le leader mondial des outils de CAO, c’est aussi bon pour une startup qui propose une solution de RESTRUCTURATION DES DOCUMENTS DÉSTRUCTURÉS. Solution aussi horizontale que les outils de DS et même complémentaire à leurs outils.

    Je pense que le CES est le lieu ou tout entreprise qui propose une rupture technologique doit être présente. Les sociétés comme SAP, ORACLE, et les autres que vous citez, ont surement de très bons produits mais peut-être pas de rupture technologique. Si ils avaient, par exemple, des solutions en IA pour le monde industriel, je pense qu’ils seraient présents .

    Le CES, c’est la possibilité de “rencontrer” de nombreux directeurs techniques, responsables de l’innovation, chefs de projets des nouveaux produits,etc … de France , d’Europe et du mode entier en 4 jours, plus de nombreux investisseurs .

    Concernant le soutient financier de la Région Nouvelle Aquitaine. C’est un soutient important. Mais le plus important est le soutient logistique. Je pense que sans toute l’organisation mise en place par la Région et la CIIR de la Nouvelle Aquitaine, la présence des start-up de notre région aurait été bien plus compliquée, en particulier pour 1A3i. Toutes les entreprises de notre région peuvent se réjouir de l’implication du Président Alain Rousset dans cet opération CES 2018 .

    A titre indicatif l’aide financière directe de la Région représente environ 8% du coût global de la participation et de la préparation du CES pour 1A3i. C’est important, mais il faut financer les 92% restants…

    En conclusion, pour répondre à vos questions , “OUI” nous serons présents au(x) prochain(s) CES.

  • [25] - Dominique de Saint Roman a écrit le 6 février 2018 :

    Je découvre vos rapports sur les CES et je suis bluffé par la quantité et la qualité de l’information que vous y mettez: bravo.

    Mais j’ai une petite divergence en ce qui concerne les différences que vous identifiez qui détermineraient l’utilisation de FPGA ou d’ASIC: de mon point de vue, le discriminant pour l’utilisation de l’une ou l’autre solution n’est plus le volume car les NRE pour les ASIC sont devenus tellement élevés que le choix n’est plus dicté que par les exigences de performances, l’ASIC étant effectivement bien meilleur en vitesse et en consommation, mais si ces paramètres ne sont pas déterminants dans l’application envisagée, alors la solutions FPGA l’emportera maintenant toujours compte tenu de leur complexité actuelle, à moins qu’un bloc FPGA ne soit carrément embarqué dans l’ASIC pour multiplier ses opportunités d’utilisation. Enfin, des solutions dites de “cache logic” permettent maintenant de donner un effet de levier sur la complexité d’emplois des FPGA en séquençant la programmation des fonctions.

    Mais encore bravo pour la qualité de votre travail.

  • [26] - Laurent Sevaistre a écrit le 12 février 2018 :

    Bonjour Olivier,
    j’ai la même observation que FX Bodin : mais comment diable fais-tu pour produire si vite un tel rapport, si complet? La force d’une équipe rodée, j’imagine. Ah, être une petite souris, juste pour connaître tes secrets de fabrication…Je suppose que tu en parleras lors de ton exposé sur le making-of à la TGB. Je n’y serai pas, mais j’aurais bien fait le déplacement, pour te dire toute mon admiration pour la démarche de “prosélytisme technologique et entrepreneurial” que tu poursuis et affiches. C’est rare. Je suis fan !
    Ton camarade du Lycée Pasteur.

    • [26.1] - Olivier Ezratty a répondu le 12 février 2018 :

      Je le rédige seul. Par contre, j’ai une vingtaine de relecteurs en fin de parcours pour le copy-proofing ! Olivier

  • [27] - @ticatag2013 a écrit sur Twitter le 13 février 2018 :

    ” Vu à Vegas : décryptage du #CES2018 ” @laBnF @Olivez dévoile sa préparation du

  • [28] - Pauline Martin a écrit le 20 février 2018 :

    Bonjour Mr Ezratty,

    Merci pour cet énorme travail concernant le CES 2018!

    Je me permets juste de lever 2 coquilles sur l’entreprise CWD Sellier.
    p 97, nous fabriquons des selles et du matériel d’équitation en Dordogne (Nontron, 24);

    P106 LIM Group (cad la holding de CWD mais l’exposant était la marque CWD associée à la start up Arioneo pour la sangle) était présente au Sands marketplace Sport.

    Je vous remercie par avance et encore merci pour ce travail qui permet d’avoir une vue globale et précise du CES!

    Bien cordialement,

    P.MARTIN.

  • [29] - @legalljm a écrit sur Twitter le 21 février 2018 :

    @RennesAtalante @florentroulier @Niji_Digital @CES @LaFTRSM L’EXCELLENT rapport d’@olivez sur le @CES 2018 est ici… https://t.co/8Lif8Z2rWg

  • [30] - @OB_LaRF a écrit sur Twitter le 25 mars 2018 :

    #CES2018 #Tendances > Retrouvez le bilan du CES 2018 dans le rapport de Olivier Ezratty @olivez https://t.co/sPbodpAMOH




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Avec Marie-Anne Magnac, j'ai lancé #QFDN, l'initiative de valorisation de femmes du numérique par la photo. Elle circule dans différentes manifestations. L'initiative rassemble près de 800 femmes du numérique (en janvier 2022) et elle s'enrichit en continu. Tous les métiers du numérique y sont représentés.

Les photos et les bios de ces femmes du numérique sont présentées au complet sur le site QFDN ! Vous pouvez aussi visualiser les derniers portraits publiés sur mon propre site photo. Et ci-dessous, les 16 derniers par date de prise de vue, les vignettes étant cliquables.
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Gaëlle Rannou
Gaëlle est étudiante à 42 Paris et tutrice de l’équipe pédagogique (en 2021).
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Jehanne Dussert
Jehanne est étudiante à l'école 42, membre d'AI For Tomorrow et d'Open Law, le Droit ouvert. Elle est aussi fondatrice de "Comprendre l'endométriose", un chatbot informant sur cette maladie qui touche une personne menstruée sur 10, disponible sur Messenger. #entrepreneuse #juridique #santé
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Chloé Hermary
Chloé est fondatrice d'Ada Tech School, une école d'informatique alternative et inclusive dont la mission est de former une nouvelle génération de talents diversifié à avoir un impact sur le monde. #entrepreneuse #formation
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Anna Minguzzi
Anna est Directrice de Recherche au CNRS au Laboratoire de Physique et Modélisation des Milieux Condensés (LPMMC) à Grenoble. #quantique
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Maeliza Seymour
Maeliza est CEO et co-fondatrice de CodistAI, qui permet de créer une documentation du code informatique par une IA.
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Candice Thomas
Candice est ingénieure-chercheuse au CEA-Leti, travaillant sur l’intégration 3D de bits quantiques au sein du projet Quantum Silicon Grenoble. #recherche #quantique
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Stéphanie Robinet
Stéphanie dirige un laboratoire de conception intégrée de circuits électroniques du CEA-Leti qui travaille sur des systèmes sur puces intégrés, des interfaces de capteurs, des interfaces de contrôle de qubits et de la gestion intégrée de l'énergie. #recherche #quantique
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Sabine Keravel
Sabine est responsable du business development pour l’informatique quantique chez Atos. #quantique #IT
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Céline Castadot
Céline est HPC, AI and Quantum strategic project manager chez Atos.
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Léa Bresque
Léa est doctorante, en thèse à l'institut Néel du CNRS en thermodynamique quantique, sous la direction d'Alexia Auffèves (en 2021). #quantique #recherche
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Emeline Parizel
Emeline est chef de projet web et facilitatrice graphique chez Klee Group, co-fondatrice TEDxMontrouge, gribouilleuse à ses heures perdues, joue dans une troupe de comédie musicale, co-animatrice de meetups et est sensible à l’art et à la culture. #création
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Elvira est Quantum Computing lead chez BMW ainsi que présidente de QuantX, l'association des polytechniciens du quantique. #quantique
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Marie-Noëlle est Chief Technology Officer pour le Groupe Total après avoir dirigé le CEA-Leti à Grenoble. #recherche
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Gwendolyn est travailleuse indépendante, Game UX Designer, Game UX Researcher (GUR) et 2D Artist pour le jeu vidéo, étudiante en Master 2 Sciences du Jeu, speaker et Formatrice sur l'autisme et la neurodiversité, l'accessibilité et les systèmes de représentation dans les jeux vidéo. #création #jeuvidéo
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Alexandra est étudiante d'un bachelor Game Design à L'Institut Supérieur des Arts Appliqués (année scolaire 2019/2020) #création #jeuvidéo
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