Nous allons couvrir ici les solutions de réseaux sociaux, les jeux qui en sont finalement devenus une forme particulière, et la mobilité dans laquelle les réseaux sociaux jouent un rôle de plus en plus grand.
Je rappelle qu’il s’agit ici de faire le point sur l’ensemble des startups présentes à TechCrunch 50 et DemoFall en septembre 2008. Cet article est le cinquième d’une série de sept articles sur les “foires aux startups”.
Réseaux sociaux
La vague de création des startups de réseaux sociaux n’est pas encore terminée. Mais elle devrait logiquement se calmer. Il n’en reste pas moins que pas mal de réseaux spécialisés se créent encore. Avec une combinaison de segments utilisateurs (tranches d’âge, métier), de moyens de communication (fixes, mobiles) et de thématiques. On touille tout ça, et cela fait une startup. Nombre de ces sites ont un trafic nul alors qu’ils existent parfois depuis plusieurs mois.
Ils ont un double défi : créer une masse critique d’audience et de trafic dans un marché ultra-encombré, et monétiser ce trafic. Sauf à toucher une cible très pointue et pour laquelle le coût par contact est élevé, il faut atteindre plusieurs millions d’utilisateurs pour commencer à envisager d’être profitable. Bien peu de réseaux sociaux sont profitables. Je n’en connais que deux : MySpace et Skyblog.
Pourquoi la monétisation est-elle si difficile dans les réseaux sociaux ? Parce que dans les modèles publicitaires et d’affiliation, le revenu par utilisateur baisse dans l’ordre suivant : les moteurs de recherche (permettant la publicité la plus contextuelle qui soit), les sites de contenus (on peut faire un lien entre le contenu et la publicité, et le contenu attire l’oeil de manière stable) et en bas de l’échelle, les sites reposant sur des interactions entre personnes (mail, messagerie instantanée, réseaux sociaux). Ces derniers ne génèrent pas beaucoup d’espace-temps de cerveau disponible. Sans compter que nombre d’interactions relèvent du spam, comme ces invitations LinkedIn, Facebook, Plaxo, Naymz et autres qui remplissent vos boites aux lettres. Résultat : les réseaux sociaux ne représentent que 5% du revenu publicitaire sur Internet selon eMarketer (
- Le méta-réseau social ou méta-annuaire
- La vague du micro-blogging lancée par Twitter qui fait des émules : tout d’abord avec
- Quelques mondes virtuels :
- Un site de généalogie et réseau social familial,
- Afin, deux plates-formes de réseau social en marque blanche :
- Et puis une solution qui a l’air vraiment utile : l’irlandais
Ca commence avec
C’est terminé pour ce bien long festival d’anglicismes pour aujourd’hui !
Prochain épisode : les différentes applications du web marchand : commerce en ligne, la finance, les moyens de paiement et la publicité.
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