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Contributions sous le pseudo Patrick

19 commentaires ont été soumis sous ce pseudo et avec le même email.

Le premier commentaire date du 6 avril 2008 et le dernier est du 30 août 2017.

Commentaire 19 dans De l’astronomie à l’entrepreneuriat en ebook, le 30 août 2017

Bonjour,
Merci encore mille fois pour cet excellent travail et son partage.
Juste une petite chose (bien petite en regard du travail accompli): je pense que vous avez utilisé la même trame que celle utilisée pour “Les avancées de l’intelligence artificielle”; en effet lorsque je l’intègre dans Calibre, j’ai un message qui m’indique qu’il y a déjà un ouvrage avec le même titre et lorsque que l’on consulte les propriétés du fichier PDF le titre indiqué est bien “Les avancées de l’intelligence artificielle”.
Cordialement.
Patrick

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Commentaire 18 dans Startups scientifiques : génomique et analyses biologiques, le 8 février 2017

Merci pour nous avoir mentionné Olivier.
Petite rectification et commentaires.

Portable Genomics est maintenant une plateforme mobile, personnelle, de collecte de données de santé, dont les données génomiques associées aux données médicales, comportement, lifestyle et iOT.

C’est une première phase pour nous, s’assurer que ces données personnelles de santé soient captées par les utilisateurs/patients, plutôt que par des silos institutionnels ou commerciaux. Quoi de mieux que de controller de façon totalement privée ses propres données, à partir de son mobile et de son nuage personnel.

Ensuite, pour fournir de l’intelligence sur la base de données génomiques, il faut accéder aux données, il faut que les utilisateurs partagent l’accès à leurs données, et pas seulement celles de leur génome, il faut tout le reste, le médical, lifestyle …etc, il faut que la science y ait accès, il faut que la pharma y ait accès. C’est ca la Precision Medicine.

Nous avons bâtit une infrastructure d’accès et partage de données qui va permettre aux utilisateurs de partager lorsqu’ils le souhaitent, avec qui ils veulent, et lorsque monétisation des données il y aura, nous partagerons les revenus avec les utilisateurs.

Portable Genomics est donc devenue une plateforme de collecte, de partage et de monétisation de données personnelles de santé, y compris données génomiques, avec un nouveau type de sharing revenue model. Nous sommes en beta avec plusieurs groupes de patients, en oncologie ou ayant des maladies génétiques, et avec eux, nous parlons à l’industrie pharmaceutique pour accélérer recherche et découverte de nouveaux médicaments.

Ce qui m’amènent à mes commentaires:

Car la génomique aujourd’hui, en tout cas ce qu’il se passe ici aux USA, est passée dans un nouveau stade industriel, celui de la monétisation des données auprès de l’industrie pharmaceutique. Rock Health avait déjà rapporté l’été dernier que l’industrie de la génomique (à l’exception du fournisseur quasi monopolistique qu’est Illumina), toutes ces boites qui fournissent des tests, services analytiques ou autres, celles qui font vraiment du revenu sont celles qui vendent les data générées à la pharma !!!

Avec maintenant Illumina qui peut fournir des réactifs pour un génome à $100 pourquoi s’embêter à trouver une techno qui le fera passer à $10 voir $1 ? Les efforts de R&D nécessaires sont maintenant trop couteux, et ensuite quel business model appliquer derrière une techno qu’on va vendre moins de $10? Ca se complique.

L’industrie de la génomique préfère gagner peu sur la techno et les services, mais par contre revendre les données $10,000 à $20,000 (cf deal entre 23andMe et Genentech, pour ne citer que celui-la), et au passage, se foutre complètement des consommateurs/patients, qui au passage ne touchent rien, ils ont meme payé pour btenir des data qui se sont revendues dans leur dos. La beauté cruelle des business model d’aujourd’hui.

Mais il y a un hic à l’horizon: le consommateur a senti l’arnaque, et les réglementations sur “privacy & ownership” des data se durcissent, voir HIPAA et CLIA Rules, et sont en faveur des consommateurs. Oops, L’industrie va avoir plus de mal à convaincre le grand public de partager ses données sans partager les bénéfices financiers. Surtout que même à l’heure du génome à $100, les patients atteints de cancer payent encore aujourd’hui un test de susceptibilité génétique de 20 à 70 gènes, $3000, et un profil génomique tumoral $6000. Et L’industrie de la génomique voudrait que ces patients partagent leurs données gratuitement. No way!

Donc ce qu’il se passe en génomique se focalise maintenant surtout sur les business modèles plus que la techno. Bien sur, les services analytiques autour de la génomique ont de beaux jours devant eux, mais il faudra résoudre le business modèle first, car de la en découlera le comment les data vont circuler, qui y aura accès, et comment le patient, qui finalement est le plus concerné par cette affaire, gardera le contrôle lors d’un processus qui doit être complètement transparent. Et on est encore loin du compte.

Car aujourd’hui tu ne partages pas ton génome comme une page Facebook. C’est bcp d’information sur soi, sur ses ancêtres, sur ses enfants. Et qui sait ce que les biohackers de dans 10 ans pourront faire de génomes publiés en open access aujourd’hui. Avec CRISPR et DNA synthesis, ils vont se retrouver avec leurs clones dans la rue. Sans rien avoir vu venir.

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Commentaire 17 dans L’Etat peut-il encore avoir une stratégie industrielle ? – 6, le 2 septembre 2016

Salut Olivier,
J’aime bien ton passage sur Luc Ferry et les NBIC. On avait L. Alexandre, on a maintenant L. Ferry? Et NBIC, il n’y a vraiment qu’en France qu’on utilise cet acronyme. Ca fait un peu guerre froide. Bien que c’est tout à fait vrai, ces secteurs d’activités sont en fortes progression partout sauf en France.

Ces origines catholiques qui brident ce type de développements, vraisemblablement, mais je pense surtout qu’en France on a oublié de prendre des risques, surtout dans ces domaines, découragé il est vrai par une loi de bioéthique mal foutue, des politiques aveugles sur ces progrès et sur ce qui se passe à l’étranger, et parfois même un déni de progrès du monde médical.

Petite anecdote, j’ai croisé ce matin même à San Diego, un scientifique et entrepreneur, développant un séquenceur de génome de 4ieme génération. Un truc de ouf, ou toutes ces NBIC s’y retrouvent. Un francais, expatrié en Californie, un de plus, ayant créé récemment sa société, aux USA et pas en France.

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Commentaire 16 dans L’écosystème entrepreneurial de La Réunion, le 11 avril 2016

La Réunion, c’est aussi cette réalité : une réalité que peu d’acteurs connaissent, et qu’encore moins d’acteurs acceptent.

lire : La réalité de la Réunion

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Commentaire 15 dans Peut-on sécuriser l’Internet des objets ?, le 24 février 2016

Merci à nouveau pour ce très beau panorama.

Cela mériterait effectivement une seconde partie pour développer ton dernier paragraphe sur la sécurité et la confidentialité des données collectées.

L’app gratuite qui est jointe à une offre IoT est bien souvent là pour, aussi, capter vos données et puis les monetiser dans votre dos. Au mieux vos données vous échappent.

A Portable Genomics, notre plateforme de collecte et d’agrégation de données de santé, permet aux utilisateurs de collecter manuellement, ou de wearables ou bien de l’IoT, des données qui sont sauvegardées sur leur propre mobile. Pas à l’exterieur, sur des nuages institutionnels aux termes d’utilisation obscures.

Les startups de l’IoT nous interessent bcp, notre plateforme peut leur rendre service, parfois un type de data collecté peut avoir une relation surprenante avec l’état de santé, cf les détecteurs de fumée connectés rapportant aussi la qualité de l’air et le niveau d’allergènes, et les patients asthmatiques par exemple.

La relation IoT et data médicales va vite devenir un sujet explosif car au-dela des problèmes de sécurité, quels business models vont s’emparer de cette masse de nouvelles données soudainement accessibles? un autre chapitre?

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Commentaire 14 dans LeWeb 2013 : politiques et épilogue, le 26 décembre 2013

Après 10 min de lecture internse, j’ai trouvé cet article bien écrit et intéressant. Cela fait contemplés que vous publiez des articles de ce type ?

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Commentaire 13 dans Les technologies de séquençage du génome humain – 3, le 14 août 2012

Pour la suite de ta review, un article que j’ai écris en Nov 2009 qui listait déjà plus d’une 20aine de startups impliquées dans la conception des séquenceurs dits de nouvelle-nouvelle génération:

Nouvelles générations de séquençeurs d’ADN : technologies, marché et perspectives https://www.box.net/shared/1aela8ppqz

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Commentaire 12 dans Les technologies de séquençage du génome humain – 2, le 14 août 2012

Petite précision:

Le découpage de l’ADN n’est pas forcement une étape nécessaire au séquencage de l’ADN. Effectivement plusieurs techniques majeures d’aujourd’hui découpent, mais la plupart des techniques à base de Sanger passent directement à l’étape PCR, qui elles génèrent des fragments de 100 à 1000 bases.

Les nvelles techniques à base de nanopores iront très très vite car l’ADN ne devrait pas etre coupé, mais seulement déroulé et analysé lors de son passage dans ces fameux nanopores.

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Commentaire 11 dans Les technologies de séquençage du génome humain – 3, le 14 août 2012

Suis impressionné par le travail mis dans cette review. Bravo.
Quelques petites erreurs:

le Pyro­Mark Q96 MD Auto­ma­ted du japo­nais Qua­gen
Qiagen est une société allemande, installée partout ds le monde.

Une plus grosse erreur:

Dans les séquen­ceurs auto­ma­tiques de seconde géné­ra­tion, on a rem­placé l’électrophorèse sur gel par une chro­ma­to­gra­phie en phase liquide

Non, l’electrophorèse capillaire a remplacé les techniques en gel plat.
Le principe reste une electrophorèse, mais celle-si est réalisée dans un tube de verre de qques microns de diamètre, qui renferme un gel liquide, renouvellé à chaque nvelle analyse). Cela a permis de passer au sequencage vraiment automatique. Injection du gel automatique, injection de l’échantillon automatique, et multiplexage (8 capillaires chez Beckman Coulter, 96 chez Applied BioSystems, et jusqu’à 384 me semble-t-il chez Amersham/GE).

C’est amusant, je ne sais pas d’où vient cette idée de chromato en phase liquide. J’ai eu expérimenté la chromato automatique pour purifier des plasmides, mais ces automates n’ont jamais été utilisé en séquencage.

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Commentaire 10 dans Retour en Silicon Valley (1/7) grandes tendances, le 2 septembre 2011

Oui, suis assez d’accord sur ce dernier commentaire.

Bien que, je trouve nos institutions françaises et les investisseurs francais, plus focalisés sur les innovations technologiques que sur les innovations de marchés.

Pour ces dernières, les américains sont encore et toujours ceux à prendre le plus de risques. Il faut parfois miser sur des “visions”. Les français que j’ai pu rencontrer ne comprennent pas les “visions” en particulier cellesconcernant des innovations de marché, ils leur faut du concret, et une innovation technologique les rassure davantage.

En tout cas c’est l’experience que j’ai pu avoir depuis le début de ma récente expérience entrepreneuriale.

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Commentaire 9 dans Retour en Silicon Valley (1/7) grandes tendances, le 31 août 2011

Je découvre ton blog avec grand intérêt, un peu tardivement (septembre 2011). Et je commence par ce papier. Pour faire court, j’aime bien le ton, et tu donnes beaucoup d’infos, merci.

Mais quand je lis, qu’OSEO et autres institutions françaises ont des possibilités de financements et d’aides intéressantes, et que des sociétés françaises reçoivent de l’aide de la France pour partir aux US, je me dis que j’ai du louper les bonnes personnes à OSEO ou bien je vis ds une autre réalité.

Si tu parles des aides d’UBIFrance, OK, ils aident, mais les sociétés déjà existantes, pas les startup à ma connaissance, et ils aident surtout à recaser des contrats à tous les consultants divers et variés qui gravitent autour d’eux.

OSEO et son foutu concours pour startup innovantes propose un cours à 45.000€ et ne fournit en général que 25-30K€. On se casse la tête à préparer un dossier pour lequel on compte sur 45K pour finalement se retrouver avec plutôt 25K. Bonjour la logique.
Ensuite le concours pour société innovante, même combat, on promet jusqu’à 450K et finalement on nous dit qu’OSEO arrive à donner que 150 à 250K. On se moque de qui?

Mais, au-delà des chiffres, quand on a besoin d’embaucher une équipe de 6 à 8 personnes, on fait comment avec 25K ou même 250K?

Et bien on laisse tomber les institutions françaises et on se tourne vers des BAs ou des VCs. Et eux, ils sont où en France à prendre de vrais risques? Je ne les ai pas trouvés.

Il faut dire que mon unique expérience avec OSEO est de m’être fait recommandé de m’installer aux USA directement, donc de créer une entreprise US, pas du tout francaise.

Merci OSEO.

Petit détail, je m’intéresse au business de la génomique personnelle sur mobile devices, un business illégal en France et en Allemagne, alors que déjà en pleine expansion partout ailleurs dans le monde. Oui, partout. Une entreprise francaise créant des richesses en France, pour vendre uniquement à l’étranger, n’aurait-elle pas le droit d’exister en France. OSEO m’a répondu, aller vous faire voir…ailleurs.

Les innovations de rupture ont encore de beaux jours, aux US par exemple, où toute idée est bonne à prendre, mais pas en France. Sic!

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Commentaire 8 dans Retour en Silicon Valley (7/7) et nous et nous ?, le 5 mai 2011

Merci pour ces précisions. Je n’étais pas allé aussi loin sur les programmes. Je vais y regarder de plus près. J’ai juste lu dans la presse un rapprochement avec la banque postale ; je n’ai pas très bien pigé côté PS. Sont ils tous d’accord ?

Et du côté de l’UMP on parle de crédit d’impôt innovation, de vérifier des dépenses pour le CIR et de faire intervenir Oséo dans les fonds propres des entreprises. Cela change toutes les semaines… J’avoue qu’on s’y perd. Les pôles de compétitivité chez nous ont l’air de bien prendre. Du moins, dans l’optique de rapprochement et d’échanges. Pour le reste, je ne sais pas.

Vous pensez que l’exemple américain peut avoir à nouveau un impact ici ? Il paraît qu’Obama a du mal à se faire aimer aux USA avec sa politique économique qui n’a pas permis de recréer de la croissance véritable… Je ne sais pas si nous connaîtrons les effets jadis de Al Gore et de ses autoroutes de l’info du temps de Clinton, qui ont mis en exergue le phénomène Silicon Valley, ses startups et autres districts industriels pour nous donner envie de former des cluster aussi chez nous… Depuis, il y a eu les pays émergents, la mondialisation, la crise financière…. le chômage, la peur de l’avenir, l’éducation en berne, l’arrêt de l’ascenseur social (baisse du pouvoir d’achat, compétition entre le coût du travail et le coût du capital…)

Vos reportages sont toujours très bien construits et très instructifs. Encore merci.

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Commentaire 7 dans Retour en Silicon Valley (7/7) et nous et nous ?, le 5 mai 2011

Je ne sais pas si l’Etat subventionne beaucoup chez nous. J’ai l’impression du contraire… Par contre, les banques prennent de l’ascendant sur tout. Les startups font peur à René Ricol, le grand argentier du grand emprunt. Et les programmes politiques (PS, UMP, etc) vont dans le sens d’une bancarisation de l’économie. La mise en avant de l’ambiance “silicon” comme vous le faites, a déjà été tenté il y a plusieurs années. Et cela ne marche pas. Le contexte a changé. L’Etat ne peut plus être acheteur, car les entreprises publiques sont privatisées. Et l’Etat n’a plus un sou en raison d’une politique massive de défiscalisation pour satisfaire les exigences des entrepreneurs pour l’installation sur le territoire.

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Commentaire 6 dans Comment Ubifrance aide les startups à exporter, le 12 mars 2011

Mais ce système de développement depuis les Etats-Unis est tenté depuis 20 ans déjà et sans succès pour nous, par exemple à l’époque dans le logiciel. Pourquoi cela marcherait il maintenant, alors que d’autres secteurs (tourisme, luxe, restauration…) qui sont au coeur des points forts de la France se sont développés sans aides (ou du moins très minimes) ?
Constatez ce qui arrivent à nos startups. Elles se font toutes rachetées depuis une bonne dizaine d’années et cela n’a pas permis de créer de la valeur ni de la richesse à réintroduire. Regardez l’une nos success stories comme Viadeo qui va se barrer à Hong Kong sous peu… Ou bien Gemplus ou Ingenico. Personne dans le monde ne parle de la France comme d’une nation de haute technologie. Qui sait aux Etats-Unis que la carte à puce est une invention française ? On se fout de nous. On nous pille. Je ne parle même pas de cette informaticien de grande valeur, comme JM Hullot, qui a fait beaucoup pour ce mégalo de Steeve Jobs. Lui aussi s’est fait piller ses idées. Même dans l’aéronautique, les Américains restent auto-centrés. EADS ? Qui sait ?
On parle de nous pour la beauté de notre littoral, notre Capitale, la mode, le luxe,la déco, le design la bonne bouffe et c’est tout. Alors restons en là ! Et envoyons paitre les Euros et autres débilités de l’Union européenne qui nous freinent dans notre compétitivité.
Actuellement, le Japon qui a un gros problème nucléaire, ne prend même pas la peine de demander les expertises françaises dans ce domaine. Je croyais que nous étions des leaders mondiaux. Même pas. Remarquez tant mieux, car ce n’est vraiment pas ce que nous avons fait de mieux. Et notre CEA ou Areva peut aller se rhabiller.

Concernant l’article d’Ubifrance, le voici :
http://pro.01net.com/editorial/529934/reussir-a-developper-son-business-dans-la-silicon-valley/

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Commentaire 5 dans Comment Ubifrance aide les startups à exporter, le 12 mars 2011

Merci pour ces précisions. Mais dans ce cas, pourquoi ne pas supprimer les aides publiques françaises puisque le financement privé est préférable et que dans le numérique tout se joue aux USA ? L’article d’Ubifrance dit bien que les VCs aux Etats-Unis prennent le contrôle des entreprises. C’est redit plusieurs fois… D’ailleurs je trouve cela normal. Nos entrepreneurs français ont un peu la grosse tête et ne savent pas se plier face aux VCs.

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Commentaire 4 dans Comment Ubifrance aide les startups à exporter, le 11 mars 2011

Ubifrance nous pousse à partir pour la Silicon Valley avec l’aide d’Oséo ? Je ne comprends pas la position française dans ce secteur. Ce n’est pas logique
http://pro.01net.com/editorial/529934/reussir-a-developper-son-business-dans-la-silicon-valley/
Il est dit que les aides sont difficiles là-bas et que les VCs américains cherchent à prendre le contrôle tout de suite… Tu parles d’un eldorado… Et les embauches aussi sont dures et couteuses. Mais les charges plus basses.
Le numérique créé t-il ou non de l’emploi en France ? Un dossier parut dans le Figaro tente de le démontrer. Mais j’ai l’impression que les acteurs sensés retenir les capitaux et les têtes ici en France, n’ont pas les mêmes “éléments de langage”….
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2011/03/09/04016-20110309ARTFIG00360-internet-moteur-de-la-croissance-en-france.php

Ne s’agit il pas du lobby américain pour attirer nos ingénieurs et nos bonnes idées là-bas (cote ouest des USA) plutôt que de laisser les franciliens prendre le dessus en attirant Google France ?

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Commentaire 3 dans Guide Startups XIVeme édition, le 3 mars 2011

Je pensais me tourner plutôt vers le Réseau Entreprendre. Il délivre des prêts aux créateurs je crois qui sont cités dans le guide d’Olivier Ezratty. Des prêts d’honneur. J’ai toujours pensé que l’OSEO s’adressait à des grosses entreprises. Dans leur plaquette “S’engage”, il n’y a que des récits d’entreprises de 100 salariés au moins. Donc je ne les sollicite pas. Ai je tort ?
J’ai retrouvé cette plaquette sur leur site
http://www.oseo.fr/content/download/104627/1565451/file/OSEO%20s%27engage%202011%20ok%20%2027%20janv%202011.pdf

Merci à Olivier pour le guide très utile pour moi.

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Commentaire 2 dans Les vrais gens et le marketing de Free, le 30 décembre 2010

Nathalie Kosciusko-Morizet (dès septembre) avait suggéré le découplage de l’offre des FAI pour leur permettre de ne pas répercuter la hausse de la TVA sur le client et laisser un libre arbitre. Elle proposait même une offre à 15 euros pour internet + téléphone.
http://www.zoneadsl.com/actualites-adsl/taxe-triple-play-nkm-suggere-aux-fai-de-decoupler-leurs-offres-1220.html

Orange, SFR et Bouygues vont augmenter leurs abonnements de 2 ou 3 euros carrément. Ils viennent de l’annoncer. Free est quand même plus raisonnable : pour 1,99 euros de plus, c’est à peine 24 euros par an de hausse de tarif sur l’abonnement triplay et un abonnement moyen de 32 euros.

La France est le pays le moins cher comparé aux USA et au Canada où il faut compter en moyenne 50 euros d’abonnement pour Internet, téléphone et TV. En outre, la vitesse (débit/bande passante) est plus rapide chez nous.
http://www.billshrink.com/blog/5787/internet-penetration-costs/

La Commission européenne tente de piloter la stratégie de l’UE pour la société numérique, et la France ne ferait qu’appliquer certaines directives (il ne vaut mieux pas se faire avoir par les autres pays de l’UE, moins en avance que nous, en dehors des pays du Nord). La qualité de l’accès internet en France est dûe à nos FAI, notre culture télécom et à nos infrastructures bien soutenues par l’Etat depuis longtemps (comme en Suède, Finlande…). Internet est devenu une priorité pour faire des économies dans certains secteurs (santé, éducation…) et soutenir la croissance. D’où l’importance de ne pas trop taxer et de contrôler le secteur. On voit qu’aux USA, malgré la concurrence importante, le secteur privé ponctionne pas mal ses abonnés. J’ai vu des abonnement très haut débit frôlant les 70 euros mensuels.
http://www.ladocumentationfrancaise.fr/dossiers/internet-monde/fracture-numerique.shtml
http://europa.eu/legislation_summaries/information_society/index_fr.htm

En Finlande, l’accès à l’internet (à débit suffisant) est devenu un droit. Restons sur ces principaux typiquement européens que les Américains nous envient…

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Commentaire 1 dans Startups et réalisme financier, le 6 avril 2008

Bonjour Olivier,

Ce post a attiré mon attention parce que je me suis souvent trouvé dans cette situation, du côté des porteurs de projets.

Le meilleur business plan que je puisse faire est basé sur des hypothèses de vente. On peut plus ou moins valider ou justifier ces hypothèses, mais ça reste des hypothèses. Je vends une licence par mois, on ferme à la fin de l’année. Je vends dix licences par mois, on est les rois du pétrole. Les deux hypothèses sont tout autant crédibles et justifiables.

Baser des prévisions financières là-dessus, c’est nécessairement mentir. Quelque soit le scénario que je présente, je sais que la réalité sera bien différente. Tout ce qu’un plan de trésorerie pourra montrer, c’est que je sais faire des additions avec Excel.

Les VCs eux-mêmes répètent à l’envi que ces prévisions n’ont à peu près aucun sens. Et pourtant c’est la première chose que demandent tous mes interlocuteurs. Pas étonnant donc de s’entendre dire:

les fondateurs rétorquent “Mais c’est ce que les VC demandent!“! Ils vont même jusqu’à réaliser des présentations sur mesure en fonction des desiderata connus des VCs.

“Tout ceci relève d’une vision simpliste des choses” : traiter les porteurs de projet par le mépris ne fera pas avancer le schmilblick.

Quand il s’agit de parler du projet, de la vision, de pourquoi ce que nous entreprenons est novateur et répond à besoin critique, pourquoi nous avons une opportunité de prendre et d’occuper une place centrale dans le domaine du logiciel, et comment nous allons y arriver, il n’y a plus personne.

C’est sans doute trop fatiguant de lire une description de projet d’une dizaine de pages alors on se concentre sur un tableau de chiffres et on pinaille sur le CA projeté pour l’an 2099.

C’est la justesse de la vision et la solidité du projet qui en feront un succès ou non. Ca décollera dans un an ou dans cinq ans, plus ou moins fort et sans doute pas dans le domaine d’application qu’on imaginait, mais je sais que mon projet est viable dans tous les cas et je peux expliquer pourquoi. Par contre je ne peux pas faire de prévision de trésorerie pour 2013 (on me l’a demandé récemment pour un dossier), et je ne veux pas mentir.

Il y a clairement un gros problème d’incompréhension réciproque. Je suis preneur de tous les conseils qui pourrait faire avancer les choses de mon côté, mais si ça reste à sens unique rien ne progressera. C’est aussi aux investisseurs potentiels de faire un pas en accordant un peu plus d’importance aux fondamentaux du projet qu’à des tableaux Excel nécessairement bidons, et à essayer de se comporter en partenaires plutôt qu’en mandarins bornés et hautains. Nous avons autant besoin l’un de l’autre.

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“Désolé, je suis passé à l'anglais en 2021 sans revenir au français. Traduire un tel ouvrage (1366) pages d'une langue à l'autre est un travail herculéen, même avec des outils de traduction automatique. Sachant...”
“Je suis un artiste conceptuel, certes je garde la grande majorité de mon travail dans ma tête par défaut d'un grand mécène. Mon travail de base se situe sur le "mimétisme" qui mène aux itérations et de nombreux...”
“Better than a Harry Potter! Thanks Olivier...”

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Derniers albums photos

Depuis juillet 2014, mes photos sont maintenant intégrées dans ce site sous la forme d'albums consultables dans le plugin "Photo-Folders". Voici les derniers albums publiés ou mis à jour. Cliquez sur les vignettes pour accéder aux albums.
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QFDN
Expo
791 photos
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Remise Légion d'Honneur Philippe Herbert Jul2021
2021
15 photos
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Vivatech Jun2021
2021
120 photos
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Visite C2N Palaiseau Mar2021
2021
17 photos
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Annonce Stratégie Quantique C2N Jan2021
2021
137 photos
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Maison Bergès Jul2020
2020
54 photos
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Grenoble Jul2020
2020
22 photos

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Avec Marie-Anne Magnac, j'ai lancé #QFDN, l'initiative de valorisation de femmes du numérique par la photo. Elle circule dans différentes manifestations. J'ai réalisé entre 2011 et mi 2023 plus de 800 portraits photographiques de femmes du numérique avec une représentation de tous les métiers du numérique.

Les photos et les bios de ces femmes du numérique sont présentées au complet sur le site QFDN ! Vous pouvez aussi visualiser les derniers portraits publiés sur mon propre site photo. Et ci-dessous, les 16 derniers par date de prise de vue, les vignettes étant cliquables.
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Gaëlle Rannou
Gaëlle est étudiante à 42 Paris et tutrice de l’équipe pédagogique (en 2021).
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Jehanne Dussert
Jehanne est étudiante à l'école 42, membre d'AI For Tomorrow et d'Open Law, le Droit ouvert. Elle est aussi fondatrice de "Comprendre l'endométriose", un chatbot informant sur cette maladie qui touche une personne menstruée sur 10, disponible sur Messenger. #entrepreneuse #juridique #santé
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Chloé Hermary
Chloé est fondatrice d'Ada Tech School, une école d'informatique alternative et inclusive dont la mission est de former une nouvelle génération de talents diversifié à avoir un impact sur le monde. #entrepreneuse #formation
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Anna Minguzzi
Anna est Directrice de Recherche au CNRS au Laboratoire de Physique et Modélisation des Milieux Condensés (LPMMC) à Grenoble. #quantique
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Maeliza Seymour
Maeliza est CEO et co-fondatrice de CodistAI, qui permet de créer une documentation du code informatique par une IA.
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Candice Thomas
Candice est ingénieure-chercheuse au CEA-Leti, travaillant sur l’intégration 3D de bits quantiques au sein du projet Quantum Silicon Grenoble. #recherche #quantique
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Stéphanie Robinet
Stéphanie dirige un laboratoire de conception intégrée de circuits électroniques du CEA-Leti qui travaille sur des systèmes sur puces intégrés, des interfaces de capteurs, des interfaces de contrôle de qubits et de la gestion intégrée de l'énergie. #recherche #quantique
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Sabine Keravel
Sabine est responsable du business development pour l’informatique quantique chez Atos. #quantique #IT
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Céline Castadot
Céline est HPC, AI and Quantum strategic project manager chez Atos.
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Léa Bresque
Léa est doctorante, en thèse à l'institut Néel du CNRS en thermodynamique quantique, sous la direction d'Alexia Auffèves (en 2021). #quantique #recherche
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Emeline Parizel
Emeline est chef de projet web et facilitatrice graphique chez Klee Group, co-fondatrice TEDxMontrouge, gribouilleuse à ses heures perdues, joue dans une troupe de comédie musicale, co-animatrice de meetups et est sensible à l’art et à la culture. #création
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Elvira Shishenina
Elvira est Quantum Computing lead chez BMW ainsi que présidente de QuantX, l'association des polytechniciens du quantique. #quantique
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Marie-Noëlle Semeria
Marie-Noëlle est Chief Technology Officer pour le Groupe Total après avoir dirigé le CEA-Leti à Grenoble. #recherche
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Gwendolyn Garan
Gwendolyn est travailleuse indépendante, Game UX Designer, Game UX Researcher (GUR) et 2D Artist pour le jeu vidéo, étudiante en Master 2 Sciences du Jeu, speaker et Formatrice sur l'autisme et la neurodiversité, l'accessibilité et les systèmes de représentation dans les jeux vidéo. #création #jeuvidéo
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Alexandra Ferreol
Alexandra est étudiante d'un bachelor Game Design à L'Institut Supérieur des Arts Appliqués (année scolaire 2019/2020) #création #jeuvidéo
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Ann-elfig Turpin
Ann-elfig est étudiante en deuxième année à Lisaa Paris Jeux Vidéos (Technical artist, 3D artiste), année scolaire 2019/2020. #création #jeuvidéo