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9 commentaires ont été soumis sous ce pseudo et avec le même email.
Le premier commentaire date du 30 novembre 2006 et le dernier est du 11 mars 2007.
Bonjour Olivier,
Difficile d’être catégorique et de généraliser mais il est clair que les différentes filières agro alimentaires s’imposent un niveau de contrôle très élevé en France. De plus, ce niveau de qualité est un choix des filières elles-même. Ce sont des bonnes pratiques développées au sein des interprofessions par les professionnels.
Au sein d’une filière, il existe deux niveaux de décision : l’Etat et les Interprofessions.
L’Etat est présent au niveau de la règlement tation sanitaire (Services vétérinaires…), de certains financements et de la recherche (INRA…).
Les Interprofessions, quant à elles, sont généralement garantes du quotidien (organisation des contrôles de qualité, de la généralisation des bonnes pratique, de l’image du produit dans la population…), et de l’avenir. Par exemple, ce sont elles qui ont souvent l’initiative des cahier des charges de type AOC, IGP… chacun étant un niveau de contrôle supérieur à la réglementation. Ces ont elles encore qui anticipent les problèmes de sécurité sanitaire qui pourraient se présenter.
Pour répondre à ta question, je dirais que le contrôle est très présent dans toutes les filières liées à l’élevage (viande, lait…). La traçabilité est également efective pour le viande. S’agissant des fruits, légume et céréales, les contrôles existent également mais la traçabilité est plus difficile à assurer.
D’une manière générale donc, les organismes privés que sont les interprofessions sont très largement à l’intiative de systèmes de production orientés vers la sécurité et la qualité puisque leur raison d’être est de garantir la pérénité de la filière et d’anticiper les problèmes de sécurité alimentaire. En France, le produit de base est donc sain.
Reste qu’entre le producteur et le consommateur ces produits sont souvent transformés (industrialisés). A partir de là, le produit alimentaire obéit à une logique dictée par les gains de part de marché et les impératifs marketing. Le produit sain peut donc être transformé en produit industriel dont la qualité alimentaire est plus discutable. En revanche, en France toujours, la sécurité alimentaire est toujours assurée.
Nous voyons donc que dans tout cela l’Etat est quasiment absent. Les industriels sont motivés par le marché et par le court terme. Les Interprofession en revanche ont un rôle très sain, lié à leur souhait de voir le bénéfice à long terme et l’anticipation des problèmes. La sécurité alimentaire est donc principalement garantie à ce niveau. Comme je l’indiquais, une Interprofession n’est que le souhait politique des professionnels d’une filière de mutualiser des moyens pour de tels enjeux. Mais c’est un système qui devient impossible si ces professionnels sont tenus d’aligner leurs prix sur les prix de production des pays les plus pauvres. La logique de marché trouve sa limite à ce niveau.
Je vais prendre un exemple pour illustrer l’importance des enjeux exixtants pour nous consommateurs.
Depuis plus de 50 ans, sous l’impulsion de l’état, toutes les filières agroalimentaires ont travaillées dans le même sens : la productivité. Les organes de recherche agronomiques ont travaillés principalement sur la génomique animale et végétale pour augmenter la capacité de production des exploitations agricoles.
Aujourd’hui on constate que certaines maladies comme le diabète, les maladies orphelines, l’obésité sont en augmentation exponentielle dans ces pays industrialisés dont la France.
Au niveau des Interprofessions (certaines en tous cas) le financement des projets de recherche se réoriente de la productivité vers la connaissance de l’impact de l’alimentation sur la santé. L’idée n’est pas d’ajouter des vitamines dans le même produit mais de comprendre en quoi chaque aliment (dans sa complexité) dispose de fonctions qui ont un effet bénéfique ou néphaste sur notre santé.
Il s’agit ici d’un changement complet de paradigme. En pratique, ces Interprofessions vont donc peut à peu aligner les bonnes pratiques (et donc les usages) vers un nouvel objectif : moins de productivité, plus de santé. Or elles sont les seules à pouvoir réorienter les choses de cette manière. D’où l’importance de leur survie et l’importance de ne pas réduire leur travail à néant en les mettant en concurrence frontale avec leur homologues moins exigeants. Ruiner les interprofessions, c’est remettre notre avenir alimentaire et notre santé entre les mains de ceux qui continueront à maintenir leurs marges (transformateurs, distributeurs) et qui sont principalement motivés par les gains à court terme.
Bonjour Olivier,
C’est toujours un plaisir de lire ces analyses.
Un complément sur un des sujets évoqués : l’agriculture. Pour le pas rester uniquement sur une vision comptable de l’analyse, il me paraît bon d’évoquer d’autres enjeux d’importance, outre l’impact sur le commerce extérieur français, à savoir la qualité et la sécurité alimentaire.
Les subventions européennes défendues par la France n’ont pas (uniquement) pour objet de maintenir artificiellement des emplois dans le domaine agricole. Il s’agit aussi (et surtout) de préserver une certaine indépendance dans la production de ce que nous mettons dans nos assiettes. En France, chaque filière agroalimentaire est structurée en interprofessions qui, en collaboration avec les services sanitaires de l’Etat, assurent l’organisation des contrôles et de la traçabilité (c’est plus récent) sur la production et la transformation des denrées alimentaires. C’est une mécanique énorme, ce sont des millions d’analyses annuelles que chaque filière, à titre privé, finance.
Il faut bien se rendre compte que si l’agriculture française et européenne n’est pas subventionnée, elle ne serait plus en mesure de maintenir un tel niveau de contrôle. Eh oui, le prix du marché international, c’est aussi revenir au moindre niveau de sécurité sanitaire international !
Ce contrôle de la qualité est indispensable a bien des égards et notamment pour le maintien de certains de nos produits. Les fromages au lait cru qui font la spécificité de multiples terroirs français ne sauraient être commercialisés en l’absence d’analyses. On entrerait alors dans une ère du tout pasteurisé.
Les interprofessions étant des organismes privés, elles ne vivent que par la bonne santé de leurs adhérents professionnels. Rien d’étonnant donc à ce que l’Etat intervienne par exemple lors de rumeurs sur le rachat de sociétés comme Danone (par Pepsico). Le risque est grand dans un tel cas de voir alors les accords interprofessionnels remis en cause. Or, l’Etat se satisfait très bien de voir cette couteuse organisation des contrôles qualité financée par le privé, c’est à dire par les professionnels eux mêmes.
WPF == Windows Presentation Framework ?
Ne parle-t-on pas plutôt de Windows Presentation Foundation (Nom de code Avalon) ?
Une rapide recherche sur Google me montre que “Windows Presentation Framework” est également cité. Arghhh…
Je trouve que la dénomination des composants du .Net Framework 3.0 manque vraiment de clarté. Et voilà qu’en plus il y a d’autres manières de les appeler.
WPF == Windows Presentation Framework ?
Ne parle-t-on pas plutôt de Windows Presentation Foundation (Nom de code Avalon) ?
Une rapide recherche sur Google me montre que “Windows Presentation Framework” est également cité. Arghhh…
Je trouve que la dénomination des composants du .Net Framework 3.0 manque vraiment de clarté. Et voilà qu’en plus il y en a d’autres manière de les appeler.
Je suis admiratif et reconnaissant !
L’électronique et le numérique de loisir ne m’intéresse pas en premier lieu. Mais la convergence des concepts et des solutions fait qu’il est difficile d’ignorer cette dimension dès l’instant où l’on souhaite anticiper les évolutions des usages en terme de système d’information ou de système d’organisation dans le monde professionnel. Les cloisons sont en effet clairement perméables de nos jours…
De ce point de vue, le CES est l’occasion — pour les privilégiés qui s’y rendent — d’avoir une vue transversale et prospective du marché du numérique.
Grâce à ce document, c’est bien plus qu’un travail gigantesque que tu nous offres, mais c’est aussi la chance d’accéder en un seul document à toutes ces informations que je n’aurais probablement pas fait l’effort de découvrir si elles étaient disséminées en articles dans la presse (papier ou en ligne).
Il fera donc parti des synthèses qui m’accompagneront cette année.
Merci pour ce beau cadeau de début d’année.
Encore un article tout simplement génial ! ou comment réussir à faire ressortir le côté passionnant de l’histoire de la technologie 🙂
Il illustre une citation lue récemment : “la mémoire est un drôle de brouillard”.
Merci Olivier.
> Après l’open source et l’open content,
> il milite pour l’open data. Donc, faire
> en sorte que les données qui dorment dans les bases de l’ONU et autres organisations
> nationales et internationales soient
> publiques et exploitables
Je réagis sur le concept de l’open data.
A vous lire ou à lire votre compte rendu, il semblerait que le problème soit simplement celui d’un accès à des données (en l’occurence celles de l’ONU).
Si je m’appuie sur l’exemple de la démographie qui est cité, c’est un constat qui est fait par de nombreux démographes ou sociologues depuis longtemps. C’est le crédo d’un auteur comme Emmanuel TODD qui analyse la correlation entre la progression du niveau d’éducation et :
– l’occurence de crises politiques (impact plutôt présent pour les hommes)
– le contrôle de la natalité chez les femmes.
On peut même aller plus loin (grâce à eux) et comprendre le lien qui existe entre le schéma traditionnel familial et le type de régime politique qui se met en place dans un pays.
Bref, les concepts ne sont pas tous déclinables sous l’angle “open+quelque chose”. C’est séduisant mais il ne faut pas être aveuglé par tous les speakers tentés de faire du neuf avec du vieux.
D’autant que le problème n’est pas toujours d’avoir accès à un “quelque chose” (le code source d’un programme, les bases de données statistiques de l’ONU…) mais il s’agit surtout d’être capable de comprendre et de construire autre chose à partir de là. Le préalable (l’essentiel) est donc, selon moi, d’acquérir les connaissances nécessaires à ce travail d’analyse.
L’open data ne sera donc rien sans open éducation. Ou, si je peux me permettre de parodier Rabelais : “Open Data sans Open Education, n’est que ruine de l’âme” 🙂
On sort donc de la simple problématique d’accès (question presque technique) pour aborder un sujet beaucoup plus phylosophique et politique.
Bonjour Olivier > Il se distingue principalement par son ergonomie générale (je déteste celle de google reader pour ma part).
Chez moi, j’ai indqué Feedshow comme étant le lecteur RSS par défaut de FF 2.0 et les abonnements se font donc très aisément.
L’intérêt d’utiliser un lecteur online est bien entendu que la lecture peut se faire indifféramment depuis son domicile ou son bureau : la lecture des flux reprend là où l’on s’est arrêté précédemment.
L’organisation et la consultation des flux par dossier est très pratique (seuls les dossiers contenant de nouveaux messages sont ouverts). Deux bémols :
– j’aurais préféré un classement par tags ;
– il ne gère pas le podcasting.
Tiens, je vais voir s’il y a un moyen de proposer ces évolutions 😉
La performance d’affichage est bonne, on peut bien entendu sauvegarder localement (au format HTML) ou bookmarquer les posts intéressants. J’utilise énormément les raccourcis clavier qui sont disponibles.
Bref, je l’ai fait découvrir à mon entourage de geeks web 2.0 qui l’ont tous adoptés depuis. Mais le choix d’un lecteur RSS reste très fortement lié à ses habitudes de vie, à la nature de ses activités.
Je crois Olivier que la création d’un compte pour un essai avec tes propres abonnements s’impose 🙂
Pour les amateurs de lecture de flux RSS via le web (et donc accessible de partout), je ne saurais trop vous conseiller FeedShow (http://www.feedshow.com).
J’ai essayé de nombreux outils parmi ceux cités mais j’ai arrété mon choix sans aucune hésitation depuis que j’ai découvert FeedShow.
A vous de voir.