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11 commentaires ont été soumis sous ce pseudo et avec le même email.
Le premier commentaire date du 12 juillet 2007 et le dernier est du 16 août 2010.
Bonjour Olivier
Merci pour cette passionnante comparaison. Je partage ton analyse mais je suis toujours stupéfait de constater à quel point les entreprises changent peu.
Petite remarque concernant l’open innovation…
En référence au culte du secret d’Apple qui est incontestable, tu dit “On est en tout cas loin de “l’open innovation”… “.
Je crois au contraire qu’Apple est un champion de l’open innovation bien maitrisée et que c’est une des distinctions par rapport à Microsoft. D’ailleurs c’est dans les gènes d’Apple et de SJ qui l’a pratiquée dès le début quand le concept n’existait pas encore en utilisant abondamment, pour le MAC, les idées et technos du fameux PARC de Xerox (souris, multi-fenêtre, imprimante…).
Je dirais que “l’open innovation” (Voir définition http://fr.wikipedia.org/wiki/Innovation_ouverte) consiste à s’appuyer l’innovation d’une entreprise aussi bien sur une R&D externe qu’interne (l’ensemble du reste des processus de l’innovation amont et avals restant bien sur interne). Pour caricaturer, c’est le contraire du fameux syndrome NIH.
Le terme Open est assez trompeur, il n’implique pas forcément une ouverture aux 4 vents, loin s’en faut. On peut citer par exemple Boeing qui a organisé la conception de son projet Dreamliner autour de ce concept avec des partenariats forts pour bénéficier de la R&D des industriels et labos sur chaque composant de l’avion (moteur, fuselage…).
Le “faible taux” de R&D d’Apple est cohérente avec cette orientation. L’histoire de l’Iphone est d’ailleurs très intéressante: puisqu’au début SJ conscient q’Apple ne connaissant rien à la téléphonie a voulu faire l’Iphone avec Motorola (en grand secret bien sur !). C’est seulement après plus d’un an de travail commun et n’étant pas du tout satisfait du résultat, qu’il décida de faire beaucoup mieux tout seul. C’est l’application complète de l’open Innovation: si personne n’est capable de concevoir ce qu’on veut faire alors seulement il faut internaliser cette partie de R&D. Il me semble que c’est Idem pour le rachat de la société qui fourni l’A4 de l’Ipad, car Intel n’était pas en mesure de répondre au cahier des charges.
Si ces ordres de grandeurs sont justes c’est vraiment ébouriffant!
Le CIR a à mon avis plus un role concernant l’emploi que d’aide à l’innovation, il s’agit de garder les labos de recherche privé en France (éviter les délocalisations). Est-ce utile ? Pas sur, à mon avis les multinationales sont obligées pour être en phase avec leurs marchés de localiser aussi les centres de R&D/innovation.
sur le reste 100% d’accord sur la nécessité de réorienter une partie significative à l’innovation et pas seulement à la R&D /inventions …
Comment le faire ? Pourrait-on se donner une règle du type pour une aide à une PME (ou un pret) de 100, 40 concernent des dépenses typées R&D et 60 pour le reste (marketing, commerce, export, conseil extérieur…).
Plus généralement d’ou vient le blocage? d’un pb de compréhension de nos politiques ou d’un pb technique (mesures compliquées à monter sans tomber dans la concurrence déloyale…)
Cela étant il me semble que les mesures de type déduction fiscale sur l’IR ou ISF pour l’investissement en capital dans les PME vont dans ce sens. Ca représente 2Mds dans ton schéma, donc pratiquement 50%: c’est bien ca ?
Merci Olivier, encore un balayage très précis et exhaustif;
A la lecture de tout çà on comprend je crois pourquoi l’impasse du numérique dans le plan de relance. C’est regrettable mais sommes toute logique car on peut pas en attendre de résultat court terme sur l’emploi (objectif du plan de relance).
Comme tu le dis il s’agit plus de remettre à plat l’ensemble, et de mettre en place un réel soutien à l’innovation et pas à la recherche.
Mais je crois que ce qui manque le plus et qui pourrais dans ces temps difficiles avoir un rôle court terme, c’est la commande publique de TPE et PME proposant des innovations.
Malheureusement la logique des marchés publiques et la volonté de contrôle supprime toute possibilité et velléité de risque pour les acheteurs.
Pourtant l’analyse internationale montre me semble t-il l’importance de cette commande publique (nationale et locale) dans l’innovation et pas simplement dans les secteurs de la défense et de la sécurité.
ces dispositifs sont plus faciles que les aides directes sur les activités avales de la recherche et assurent une certaine diversité des approches contrairement aux plans stratégiques de soutien à telle ou telle technologie.
A mon avis un plan national devrait donner des objectifs chiffrés d’achat à chaque administration nationale et locale avec des critères de taille d’entreprise et de quelques secteurs (green, TICC, energie, service à la personne…).
Mais je crains que les esprits ne soient pas préparés…
Malgré la qualité et la précision de ce blog, certains commentaires continue de tout mélanger et ose affirmer qu’il faut que le politique dirige l’économie. Quel retour en arrière.
Le plus désastreux est que les propos de nos hommes politiques de droite et de gauche encourage la tenue de ces propos “ce que veut faire Obama et sarko”. La liberté est visiblement un exercice difficile à accepter. Il est tellement plus facile de croire que l’on peut dicter une vérité absolue.
La crise économique n’est pas la conséquence des excès de rémunération (même si on peut ne pas être d’accord avec ces modèles) mais à un excès fou de crédit et d’endettement des ménages américains. Ceci est la conséquence de la politique de bas taux décidés par les politiques US en 2000.
L’excès de rémunération dans la finance américaine en est la conséquence (création d’une situation d’argent facile).
En ce qui concerne, l’attitude de bcp de cadres avec les indemmnités de départ, je partage complètement la position d’OR j’ai aussi bcp d’exemples autour de moi.
Effectivement c’est le délire. Sous prétexte de moral, tout le monde est prêt à asser outre un des fondamentaux :le droit (respect des contrats) et la liberté,(liberte d’entreprendre et liberté de contenu des contrats privés entre une entreprise et un salarié dans le respect du droit du travail.)
Il aurait quand même été plus choquant encore que Natixis sous prétexte de difficulté, n’honore pas les règles de rémunérations variables définies dans ces contrats. Le fait que l’état aide cette entreprise ne change rien. (cela rappelle d’ailleurs pourquoi la nationalisation même partielle d’une entreprise privée est contre nature et doit être vraiment la dernière solution…)
Travaillant parfois en conseil sur des modèles de rémunération je pense que les modèles fortement individualisés sont une erreur, ils apportent dans la pratique plus de problème que de solutions.
Je trouve donc tout à fait sain que ce type de règle de rémunération fasse débat dans l’entreprise, je trouverais même logique personnellement que ces règles soit abolies en interne étant donné la situation de l’entreprise mais cela doit de toute façon rester la responsabilité de l’entreprise (dirigeants, salariés et représentants). C’est son débat pas le débat public. si l’état nouvel actionnaire de natixis veut modifier les règles, il peut le faire dans le cadre de la gouvernance de cette entreprise (décision du CA…) et pas au parlement et devant les médias!
Les élites (politique, médias, analystes…)ne sont pas dans leur rôle de porter des jugements sur ces affaires privées, ils n’en ont ni le droit ni la responsabilité et encore moins la mission.
Ce tintamarre est symbolique d’une dérive de notre société qui me semble très très inquiétante. Hier soir sur France2 l’émission sur la rémunération des grands partons montrait un consensus : tout le monde était d’accord pour enrayer les excès. c’est une illusion totale, une société n’existe pas sans excès; C’est une erreur philosophique majeure. Il est de la responsabilité de nos élites que de rappeler les principes réellement structurants d’une société pas d’aboyer bêtement avec les loups et les chiens sauvages.
Que se passera-t-il lorsque une loi de cirsconstance aura été votée et qu’un nouveau scandale arrivera dans 6 mois, 1 an.
N’est-ce pas cette attitude totalement irresponsable qui crée la défiance et le sentiment d’impunité.
Synthèse très intéressante … comme d’hab.
La silicon valley n’est qu’un des nombreux exemples de “clusters” inventés dans tous les pays, toutes les cultures et au cours des siècles. on peut citer par exemple Venise et Florence au moment de la renaissance…
Mais pour revenir à la silicon Valey il ne faut pas oublier 2 éléments fondamentaux:
– elle n’est soutenue par aucune gouvernance ni publique, ni privée: elle ne correspond à aucun territoire administratif définie, personne ne l’organise ou plutot tout son écosystème
– elle capte plus du tiers du capital risque investi aux États-Unis soit environ 30 Mds $ pour 2006: plus que le niveau de n’importe quel autre pays dans le monde.
Cette confiscation du capital risque n’est politiquement pas acceptable. Aucun homme politique (ni même aux US) ne peut défendre une telle concentration. Il faut donc simplement constater que ce modèle unique au monde n’est pas reproductible.
Je regrette comme beaucoup le soupoudrage inutile des poles de compétitivité, je suis aussi très sceptique sur le MIT européen virtuel …. mais il est, je pense totalement illusoire de faire accepter à des politiques nationaux (ou Européens) une telle concentration de moyen et qui serait d’ailleurs extrêment risqué.
A la France d’innover aussi sur ce sujet et d’inventer son propre modèle (Une dizaine de pôle en France: c’est peut-être un bon objectif à la fois “acceptable” et qui permette une meilleure concentration des talents). Cependant quelque soit le modèle, si l’on veut voir des centres d’excellence se créer, il faut accepter que l’on en voit d’autres échouer: des écoles fermés, des universités végétées, des labos supprimés…
on en revient toujours au principe darwinien ou de shumpeter (la destruction créatrice). Voila le challenge que nos politiques, nos concitoyens doivent accepter à droite comme à gauche…
Olivier
on attend avec impatience ton commentaire factuel et toujours pertinent sur cette première journée…
Et bien je suis un lecteur régulier et attentif de ton blog, et je le fais régulièrement sur mon iphone (notamment dans les transports …) et via essentiellement netvibes.
J’apporte donc donc ma petite contribution comme testeur…
la page d’accueil fonctionne bien , par contre le détail d’un post provoque une erreur ” error on line 1 at colummn 1107: opening and ending tag mismatch: img line 0 and a”
même si le début du post est lisible mais coupé, par exemple sur ce poste juste après ta 1ere illustration.
Voila bon courage, cela étant sous netvibes ca reste lisible en entier …
Merci pour ce post, j’avais effectivement entendu cette nouvelle et pas compris le débat. C’est beaucoup plus clair à présent.
Pour aller dans le sens de la prudence (même si il est légitime de chercher des sources de financement pour la protection sociale): il est probable que si les SO sont “chargés” de manière similaire au salaire , l’intérêt de ce mode de réumération alternatif va fortement diminuer et fuire vers un autre mécanisme(sans pour autant être basculé en salaire) et donc les 3mds attendus risquent de se réduire comme neige au soleil …
Finalement si tous les mécanismes de rémunération sont taxés de manière similaire au salaire, alors à quoi servent-ils ?
Est-ce que les 3mds estimés prennent en compte tout type de SO y compris BCE/BSA ou uniquement les SO?
Tout à fait d’accord!
il ya un besoin et des manques de coordination, l’abscence de stratégie économique formalisée et partagée sur les logiciels libres est malheureusement un bon exemple.
La simplification des aides à l’innovation est effectivement une priorité. Le départ de Jean-Pierre Denis, de la présidence d’OSEO est peut-être le premier signe que ca va bouger de ce coté (la cour des comptes avait fait un rapport assez sévère sur la gestion de l’organisme)…
Cette rapide revue montre bien les différentes missions d’un gouvernement au regard des TIC. On peut les synthétiser en trois axes:
– Développer l’administration électronique très logiquement associé à la réforme de l’état puisque la dématérialisation devrait modifier fondamentalement les processus et l’organisation de nos administrations;
– Définir la politique industrielle, dors et déjà regroupé au MINEFI
– faciliter l’accès au TIC et à ses usages (équité sociale)qui est effectivement répartie principalement à la culture et à l’éducation (ce qui n’est pas choquant).
Dès lors, je ne vois absolument aucun intérêt à créer un ministère commun qui serait écartelé sur des missions totalement différentes; Pour toutes ces missions, le problème n’est ni la volonté ni la vision, le gouvernement Francais est particulèrement prolixe sur ces deux points. Le problème vient de l’exécution et notamment de la capacité à constituer des équipes compétentes, solides, qui travaillent dans le temps sur ces sujets.
Il convient donc de ne pas faire l’erreur d’isoler les TIC, mais au contraire que chaque Ministre, chaque directeur, chaque fonctionnaire investissent pleinement les TIC comme d’un outil incontournable pour trouver de nouvelles solutions;