Netbook sous Windows 7 et Ubuntu

Publié le 15 mai 2009 et mis à jour le 28 juin 2009 - 5 commentaires -
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En juillet 2008, j’avais eu l’occasion de faire un premier point sur les offres de netbooks émergentes du moment.

Depuis, le marché a littéralement explosé et les prévisions optimistes de ventes ont été dépassées : 11,2 millions d’unités selon Economic Daily News (EDN) qui prévoit 23 millions d’unités pour 2009. Les usages de ces netbooks sont variables : ordinateur de complément léger pour ses déplacements ou bien ordinateur principal à prix cassé pour certains utilisateurs (j’en ai renconté !).

Pour ma part, j’en suis au second netbook, et voici ma petite expérience personnelle avec deux modèles d’Asus, et trois systèmes d’exploitation différents. Et une conclusion en forme d’interrogation sur le positionnement des netbooks par rapport aux ebooks.

Première expérience : l’achat d’un Asus EEE 900 en mai 2008. Doté d’un processeur Celeron de 900 Mhz et d’un disque SSD 12 Go (4+8), c’était le premier netbook d’Asus doté d’un écran de 9 pouces, bien plus confortable que le 7 pouce des précurseurs Asus EEE 701 sortis fin 2007. Je l’ai utilisé à la fois sous Windows XP et sous Ubuntu. Ce modèle était bien décevant. A la fois par sa lenteur et par la faible autonomie de sa batterie : moins de deux heures. Par contre, il était bien compact et léger (1 Kg). Cette seconde génération de netbooks n’a pas tenu bien longtemps et a été remplacée à l’été 2008 par la nouvelle, construite sur les processeurs Atom N270 d’Intel, moins voraces en énergie et aussi plus rapides (1,6 Hgz). Le EEE 900 presque antédiluvien a été reconverti en média player de salon !

Seconde expérience : souhaitant disposer d’un netbook à la fois rapide et avec une grande autonomie pour mes périgrinations professionnelles comme photographiques, j’ai craqué il y a deux semaines pour un Asus EEE 1000HE. Son processeur Atom N280 est dans la lignée du N270 qui équipe les netbooks depuis l’été 2008. Il est équipé d’un chip graphique Intel rapide. L’écran est un 10 pouces LCD rétroéclairé par LED, agréable, tout comme le clavier qui occupe toute la largeur du PC. Et le stockage est assuré par un disque dur de 160 Go, redevenu standard après la vogue du SSD qui n’a pas duré longtemps dans les netbooks. On devrait y revenir d’ici 2010 avec la baisse de leur prix, l’augmentation de leur capacité de stockage et de leur temps de réponse. C’est surtout la batterie qui fait la différence avec ce modèle par rapport à l’ensemble de l’offre de netbooks du marché. Donnée pour 9,5 heures d’autonomie, cette batterie tient le choc en conditions normales pendant un peu plus de 7 heures ce qui est vraiment très pratique pour une journée de travail en déplacement avec trois rendez-vous d’affilée. J’ai même utilisé ce netbook pour une conférence en fin de journée sans le brancher sur le secteur, chose que je ne faisais jamais jusqu’à présent.

 Asus EEE 1000HE

Troisième expérience : installer Windows 7 RC sur le EEE 1000HE car le Windows XP préinstallé sur le netbook commence à se faire un peu vieux et je me suis habitué à Vista après 2 ans et demi d’utilisation sur mon laptop “de bureau”. Et là, très bonne surprise : au delà des améliorations incrémentales de l’interface utilisateur (barre de tâches, menu de démarrage avec les fichiers récents pour les applications récemment ouvertes), l’ensemble est très véloce. Subjectivement, j’ai eu l’impression qu’il était même plus rapide que Windows XP mais ce n’est peut-être qu’une impression. En tout cas, sur ce petit engin qui coute pour mémoire 379€, je peux faire tourner Powerpoint 2007, Word 2007, Picasa 3 avec 33000 photos, ainsi qu’Outlook 2007. Et Google Chrome s’y lance en quelques secondes. La machine démarre jusqu’au “bureau” en 53 secondes. Et elle sort du mode veille en 6 secondes. Petit inconvénient de Windows 7 : il n’a pas pu mettre à jour le Windows XP déjà installé et ne pourra pas le faire en version finale. En tout cas, le couple Atom + Windows 7 répond vraiment bien au besoin de la bureautique nomade. Le confort est parfait pour la prise de notes en réunion ou l’accès Internet. Et même pour récupérer un paquet de quelques Go de photos numérique de son compact ou réflex préféré et les prévisualiser avec Picasa. Le tout pour un prix fort abordable, même si on ne connait pas encore l’impact éventuel du remplacement de Windows XP par Windows 7 dans le prix des netbooks à la fin de 2009. En 2010, Windows XP devrait donc disparaître des netbooks commercialisés !

 Windows 7 sur EEE 1000HE

Quatrième expérience : installer Ubuntu 9.04 sur une partition séparée du EEE 1000HE. L’installation est très rapide – environ un quart d’heure, faite ici avec un lecteur de DVD externe connecté via l’USB au netbook. Rien à dire, cela fonctionne très bien. J’ai essayé de benchmarker rapidement Ubuntu par rapport à Windows 7. En gros, le temps de démarrage est le même (environ 53 secondes). Le temps de chargement des applications courantes (OpenOffice en lieu et place d’Office 2007, re-Picasa, Firefox) est aussi équivalent. Seul défaut apparent d’Ubuntu : il semble moins bien gérer la batterie que Windows 7, pourtant installé sans drivers spécifiques au constructeur (ils sont peut-être déjà fournis en standard). On y perd environ une heure d’autonomie. Par contre, on peut apprécier les courbes d’évolution de charge de la batterie disponibles sous Ubuntu. Bon, et par ailleurs, l’interface Gnome d’Ubuntu me semble toujours un peu en retrait par rapport à celle de Vista/7, surtout pour la gestion de fichiers. Mais je n’ai pas encore pu explorer toutes les variantes (KDE, gestionnaires de fichiers autres, etc).

Ubuntu Power Management Screenshot

Cinquième expérience : installer Ubuntu 9.04 sur une clé USB de 2 Go (pour mémoire, on en trouve à 5€). Une option pas très connue du grand public et qui présente un intérêt certain pour deux raisons : tout d’abord, les menus d’Ubuntu permettent de créer cette installation directement sans avoir à manipuler le mode commande. Cette installation sur la clé s’effectue après avoir booté avec le DVD d’installation d’Ubuntu que l’on se grave après avoir téléchargé son image sur le site idoine. Ensuite, la clé résultante est capable de préserver la configuration d’Ubuntu lorsqu’on la modifie ainsi que les données utilisateurs qu’on y gère et même la configuration système (ajout des cartes son manquantes dans les fichiers de configuration, configuration réseau, clavier AZERTY, applications installées, etc). On a donc là un véritable système d’exploitation mobile exploitable sur n’importe quelle machine et avec ses propres données. Et cette clé contient un Ubuntu qui est lui-même installable sur le disque dur du PC. J’ai eu l’occasion dans le passé de croiser des startups qui s’étaient lancées dans des projets de création de “bureau embarqué dans une clé USB”. Et bien là, c’est tout cuit et disponible, gratuitement. On ne peut qu’apprécier la capacité d’Ubuntu (et de Linux en général) à s’installer là où on le souhaite. Sur un disque USB externe, une clé USB, comme sur une installation multi-boot. Dommage qu’on ne puisse pas faire cela avec Windows !

Sixième expérience ? Cela sera probablement un de ces jours celle d’un netbook tactile au format “tablet PC”. Asus a bien annoncé sesT091 (ci-dessous) et EEE 101H au CES de janvier dernier. Mais ce sont des 9 pouces au format du EEE 900. Et avec un processeur Atom Z520 ne tournant qu’à 1,33 Ghz. On n’est cependant pas loin de voir apparaitre un équivalent du 1000HE au format tablette. A ce stade, on aurait donc un netbook performant avec une journée d’autonomie, un écran couleur de taille respectable à la fois tactile et utilisant un stylet. Seul soucis, le prix. Le T91 est prévu à $675, ce qui est bien élevé. Mais si le tactile se généralisait et que le prix de ces nouvelles tablettes restait en dessous de 400€ voire légèrement au dessus, on aurait là des concurrents sérieux aux ebooks type Amazon Kindle ou Sony Reader 2 dont le prix est compris entre $360 et $490. A mon sens, à prix voisin, un appareil dédié a de fortes chances de se voir écrasé par son équivalent généraliste. Les ebooks pourraient ainsi disparaitre au profit de netbooks adaptés à tout, y compris à la lecture de livres.  Un peu comme les PC ont remplacé il y a 28 ans les machines à traitement de texte dédiées. N’étant pas très enthousiaste à l’idée de lire des livres tristounets en noir et blanc sur des ebooks dont l’interface se manipule avec des boutons, j’attend l’arrivée de ces netbooks tablettes avec impatience !

Asus EEE T91

Qu’en pensez-vous ?

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Publié le 15 mai 2009 et mis à jour le 28 juin 2009 Post de | Google, Innovation, Logiciels, Logiciels libres, Microsoft, Photo numérique | 12849 lectures

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Les 5 commentaires et tweets sur “Netbook sous Windows 7 et Ubuntu” :

  • [1] - chadiak a écrit le 16 mai 2009 :

    Bonjour Olivier,

    un mot d’abord pour te remercier de ton digest du loisir numérique, à CIET, mardi passé.

    Je suis d’accord, concernant l’intérêt limité de l’e-book, en présence des netbooks, mais aussi j’ajouterais en présence des “mobile PCs” comme iPhone et bien sûr du bon vieux livre en papier.

    l’amazon kindle par exemple, n’est pas assez polyvalent pour qu’on puisse se passer d’un ordinateur portable en déplacement; il n’est pas assez compact pour pouvoir se balader tranquillement, les mains dans les poches et le “journal” glissé dans une poche intérieure, façon iPhone; et surtout, il est moins sensuel qu’un bon vieux livre et bien moins résistant (pour reprendre la défense de Rushdie du format livre : il (le livre papier) est resistant, vous pouvez même le balancer à l’eau et arriver à le lire quand-même).
    En plus, au prix du matériel, il est interdit de le laisser trainer négligemment dans un lieu public, comme on fait volontier d’un livre en papier.
    Et pour finir, va t’assoupir sur la plage avec un ebook sur le visage pour te protéger du soleil !

    Chadi Abou Karam

  • [2] - Laurent Chiozzotto a écrit le 18 mai 2009 :

    Bonjour Olivier,

    Peut-être serait-il intéressant de tester VirtualBox pour faire tourner ton Ubuntu au-dessus de Windows XP et pas à côté.
    Si l’Asus EEE 1000HE est aussi puissant que tu le dis, ce doit être faisable et la virtualisation serait ainsi accessible également aux netbooks.

    Cordialement,
    Laurent

  • [3] - Olivier Ezratty a écrit le 18 mai 2009 :

    Ca doit marcher, mais je n’en ai pas ressenti le besoin ! Et on doit tout de même perdre un petit peu en vitesse, d’autant plus que la machine ne dispose que de 1 Go de RAM. En tout cas, cela arrive dans ma todolist…

  • [4] - Égide a écrit le 25 mai 2009 :

    Bonsoir,

    Vous enterrez une peu trop vite le E-book reader.
    Je pense que vous ne lisez pas de livres numériques. Je veux dire un vrai livre 300 pages +

    Même avec un Net-book (j’ai un 900 sous linux), l’écran et trop scintillant malgré tous les réglages qu’on peut faire.

    Alors qu’un reader avec du e-paper, c’est comme un livre papier.

    Quand à l’impact économique, il est sans commune mesure.
    C’est un missile de croisière dans le monde terriblement concentré de l’édition.

    Dans 10 ans les “grosses” holdings éditoriales auront explosé. Elles ont d’ailleurs déjà perdu.
    Simplement, elles ne le savent pas encore.

    Et le livre numérique, elles ne veulent pas en entendre parler.

    Mais je n’ai pas eu l’occasion d’entendre votre argumentaire. Je suis évidemment intéressé d’en savoir un peu plus. les points de vue différents du mien me passionnent.

  • [5] - Olivier Ezratty a écrit le 25 mai 2009 :

    Mon point de vue est qu’un appareil générique a plus de chances de l’emporter qu’un appareil spécifique si son format, son prix et ses fonctionnalités sont voisins.

    Oui, les ebooks ont quelques avantages par rapport aux netbooks/tablettes : surtout le poids et l’autonomie. Mais leur interface est bien primitive. A part Plastic Logic qui n’est qu’à l’état de proto, aucun ne supporte d’interface tactile, qui serait bien plus intuitive ne serait-ce que pour tourner les pages. D’un autre côté, les ebooks imitent trop les livres : noir et blanc, tristounets, mal faits pour les illustrations, impossible d’y présenter des vidéos du fait de la technologie e-ink d’écran à LCD bistables utilisée.

    Les écrans des netbooks vont eux aussi s’améliorer avec le temps. Notamment le jour où ils passeront à l’OLED. Et où le format “tablette” sera courant.

    Je ne prévois pas quand cela arrivera, mais à mon sens, avant que l’ebook perce réellement. C’est plus une intuition qu’autre chose, donc effectivement, on peut argumenter…




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