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16 commentaires ont été soumis sous ce pseudo et avec le même email.
Le premier commentaire date du 6 juillet 2006 et le dernier est du 26 octobre 2010.
C’est vrai qu’ils sont très bons chez Ubifrance.
Ils ont par exemple, pour les startups éco-innovantes (comme les membres de Durapôle ou du Club ADEME International), mis en place le “Green Pass”, un programme de prospection sur 3 pays très complets des acheteurs de Green Technologies.
Le plus impressionnant c’est peut-être la transformation de l’institution Ubifrance au cours de la dernière décennie: d’une vieille administration rutilante (en tirant un peu le trait) à un vecteur de valorisation et de rayonnement du savoir-faire technologique français à l’international.
En plus, Ubifrance est très intégrée avec les autres institutions d’accompagnement des PME: financement (DGCIS, OSEO, CFI, Scientipôle, DRIRE, CDC,…), formations & expertises ponctuelles (CCI,…), assurances (Coface,…), vitrines (Innov’Eco,…). Bref, chapeau.
@ Fred A : je suis dans la cible potentiel de ce que tu recherche. Peut être pourrions nous prendre contact pour en discuter …
Je te laisse l’initiative : jeremy “dot” girard “at” gmail “dot” com
++
Quel toupet ce Marc-Antoine! S’il y a peu de commentaires, c’est tout simplement que les lecteurs sont estomaqués par une telle qualité vs. le reste de la blogosphère. Il n’y a pas grand chose à redire si ce n’est qu’on lit, qu’on apprend plein de trucs, et qu’on en redemande, des compte-rendus comme celui-là. Olivier démystifie les voyages officiels à l’étranger, et décortique les approches culturelles de l’innovation. Si c’est trop rapide pour être lu pour vous Marc-Antoine, allez donc voir là-bas: http://www.skyrock.com/blog/
Olivier, disons-le: le Plan France Numérique 2012 ne fait que mettre en valeur des points forts déjà établis en France. Rien de bien difficile dans le but de faire de la France une terre de haut débit quand ce sont des trublions privés, comme Free, qui ont déjà fait le travail – avec des mastodontes comme Orange et SFR-Neuf Cegetel qui poussent derrière.
L’Etat devrait se préoccuper d’une chose, au-delà d’assurer la double fonction régalienne et régulatoire: se concentrer sur l’attractivité de son territoire (c’est d’ailleurs la thèse de Robert Reich, ancien conseiller de Bill Clinton, dans son ouvrage l’Economie Mondialisée) pour assurer sa compétitivité.
On en revient donc à: l’éducation et la formation en général, l’attraction de talents, la maîtrise de l’anglais, la fiscalité, la flexibilité du marché du travail, la planification des risques (naturels, énergétiques, agricoles), les décisions de spécialisation industrielle.
Sur ce dernier point, la France a fait (ou subit?) le choix des télécoms (les tubes), où le plus dur est heureusement fait, sans réaliser (voeux d’impuissance?) que la valeur de nos jours est captée par les plateformes en ligne. Les iTunes, Google.com, etc. de ce monde.
Et c’est loin d’être rassurant.
Bien d´accord, et là on rentre dans toutes ces problématiques d´alignements des intérêts des différents stakeholders de l´entreprise: actionnaires-managers, managers-employés, département commercial – département logistique/prod, client-fournisseur, et inter-opérationnels. Cela dit, si les périmètres (géographique, fonctionnel, applicatif, technique, segmentiel, sectoriel, etc.) sont bien définis, une concurrence interne peut être saine et pas incompatible avec la recherche de la performance vis-à-vis de ses concurrents.
Chez un très grand cosméticien dont le siège est à Clichy par exemple, il paraît qu´ils réunissent commerciaux et chefs de produit de toutes les marques à la fin de chaque mois, et font apparaître différents classements en volume des ventes et accroîssement de la part de marché par rapport à la compétition. Les bonus sont indexés sur ces performances. On m´a dit qu´une règle implicite était que si l´on apparaîssait deux fois en bas du classement dans l´année, on pouvait d´ores et déjà refaire son CV.
Et la société en question marche très bien en Bourse: même si cela peut porter atteinte à l´ambiance dans les bureaux, notamment pour ceux qui ne sont pas préparés à un tel environnement, une gestion saine de la concurrence en interne permet à l´entreprise d´être plus agressive face à la compétition. Il n´y a pas incompatibilité entre “se tirer la bourre” en interne et grapiller des pdm aux concurrents.
Maintenant, dans la vente de produits complexes (systèmes informatiques, etc.), il est clair que la coopération entre départements/régions/etc. compte bien plus. Il incombe au management de trouver la recette qui fonctionne pour intéresser les équipes au travail d´équipe en interne.
Dans son bouquin “Who said Elephants can´t dance?”, Lou Gerstner décrit admirablement comment il réconcilie les départements d´IBM, auparavant de véritables baronnies. J´en ai écrit une petite note sur mon blog: http://itaddict.blogspot.com/2006/06/book-review-lou-gerstners-who-said.html
Merci pour ce témoignage avisé. Je ne pensais pas qu´il se faisait couramment que des start-uppers passent en grosse boite (il y a certes quelques exemples, Pierre Chappaz entre autres), mais c´est bon à savoir.
J´ai de plus remarqué que 80% des CEOs américains (certes, ce ne sont pas des entrepreneurs, mais poursuivons) étaient d´anciens salesmen. Je me demande de plus en plus si apprendre à vendre, et se tirer la bourre avec ses camarades pour vendre plus qu´eux n´est pas la meilleure école de l´entrepreneuriat où la réussite initiale tient en grande partie à la force de conviction.
Il y a aussi cette interview en podcast de Inter(net)view, un blog d´étudiants du Mastère Management des Nouvelles Technologies à HEC:
http://internetview.typepad.com/internetview/2006/07/internetview_de.html#comments
C´est un peu long (30 min.), mais c´est plutôt clair et intéressant. Leafar est notamment très sincère sur ses motivations entrepreneuriales: folie, rêve, et amour de la culture et du partage. J´aime bien l´allégorie du campus: “avoir accès à la bibliothèque d´autrui” – c´est exactement ça. Aller prendre un pot chez un camarade de couloir, c´est entrer dans un autre univers. On découvre la différence, et ainsi la formidable opportunité de s´enrichir spirituellement par la découverte des goûts et dégoûts de son prochain. Très beau projet U-Lik, si seulement j´étais riche pour investir. Bon courage à toute l´équipe.
J´ai malheureusement découvert ce post très utile après un topo sur le sujet des fournisseurs de services de blogging. Mais bon, j´en fait profiter mes lecteurs avec un lien tout de même car l´analyse est intéressante. Merci!
http://itaddict.blogspot.com/2006/08/wondering-about-which-blog-service.html#links
Pourquoi, tu les mâches avant de les avaler tes drafts de business plan leafar?));
Honnêtement, je suis un tout jeune aussi (23 ans), pas encore entrepreneur. Et ce n´est pas évident de se dire qu´on va se lancer comme ça. La vie professionnelle dure 50 ans. Donc il est tentant d´en passer au moins une petite partie (5 ans? plus? moins?) à apprendre dans des organisations structurées, rôdées, ambitieuses, dynamiques…Quel que soit l´épithète retenu, c´est de toutes façons ce que les investisseurs attendent. C´est aussi une question de culture: je me suis déjà essayé à la levée de fonds (avec un succès honorable) dans un environnement étranger (Israël, où les gens sont tout de même assez respectueux des initiatives, même émanant de jeunes).
Quel serait votre conseil, Olivier Ezratty, aux jeunes aspirant à entreprendre: bosser combien de temps et dans quel type de boites (industrie, conseil, banque, etc.)? Je quitterai pour ma part l´école à 24 ans et des poussières. Donc 5 ans d´expérience, et je n´ai déjà plus de dents: je passe la barre fatidique définie dans votre – excellent – article.
C´est très sympa comme fonctionnalité de pouvoir agréger dans une petite boite ses préférences culturelles sur son blog, comme vous le faites Olivier. Bravo à U-Lik pour leur créativité!
Toujours dans la famille “marketing pas discret”, peut-être ce post (sur le management par projets) vous intéressera-t-il: http://itaddict.blogspot.com/2006/07/towards-project-management_115332136490454026.html#links
Vos commentaires sont les bienvenus, évidemment.
Désolé, voici la bonne adresse:
http://itaddict.blogspot.com/2006/06/on-bill-gates-departure-media-hype-and.html
Je ne connaissais pas les chiffres (merci d´ailleurs), mais, wow, que c´est impressionnant.
Un marché mature contraindra de toutes manières les fabricants à se battre sur un ou plusieurs domaines: taille/poids, prix, fonctionnalités, connectibilité, autonomie, etc. Donc c´est tout bon pour les consommateurs que nous sommes.
Moi je dis que rien ne vaut un bon vieux Leica M6)); mais merci Olivier pour votre analyse: les technologies sont effectivement là, reste aux constructeurs à les intégrer et faire un petit effort sur leurs marges.
Bernard Liautaud est véritablement une conscience de l´entrepreneuriat dans le logiciel. Interview extrêmement intéressante. Juste une petite question, en toute humilité: le secteur n´est-il pas engorgé? N´y a-t-il pas trop d´acteurs? trop de compétition? Quid de la nécessaire différenciation au jour d´aujourd´hui des nouveaux entrants?
Wow, ça c´est de l´analyse d´Insider. Merci pour cette analyse vraiment éclairante. J´ai quant à moi très modestement contribué sur mon blog aux commérages faisant suite à l´annonce (fausse donc…) de retraite de Bill Gates: http://www.blogger.com/comment.g?blogID=30047284&postID=115140663226112039