Je retiens cette option, qui résonne un peu avec l’actualité :

“Il manque un critère clé : l’opportunité de faire mieux, d’être excellent, de faire avancer radicalement l’état de l’art.”

Si l’on compare avec l’universalité de nos droits de l’homme vs Daech et le succès que celui-ci a rencontré auprès de nombre d’habitants de notre planète…

Si l’on compare avec l'”éthique” à la française vs le succès toujours grandissant de l’éventualité de voir, jusques en France, “parce que d’autres pays le font”, la PMA ouverte aux couples lesbiens, voire la GPA “pour tous”…

on voit bien que l’éthique pour l’éthique, aussi poussée et rigoriste qu’elle puisse être, ne tient pas longtemps face au principe de réalité.

C’est donc bien, me semble-t-il, effectivement en faisant avancer le plus possible l'”état de l’art” que l’on fera gagner l’éthique autant que faire se pourra, et pas en commençant par séparer l’éthique “française” du train universel de la mise en œuvre, qui finira par passer par chez nous comme par ailleurs – et, alors, ou bien la France regardera passer le train en refusant de monter dedans, drapée dans son éthique paralysante, ou bien… elle fera comme tout le monde quand tout le monde y sera déjà : elle montera dans le train, elle aussi, foin d’éthique. “Puisque les autres pays le font”… !

En vertu de quoi : prendre les commandes du train d’abord me semblerait être une bonne idée.

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