-
Here is Understanding Quantum technologies 2024, the 7th edition of this book and the fourth in English. It is always a free to download book, without any questions asked (no email, no profiling). It reaches 1,554 pages, split in five volumes for e-readers and a paperback edition is available since November 10th on many Amazon sites.
The book and these volumes are structured as follow:
Volume 1 “Prologue” (372 pages) starts with describing the motivation and organization of this book, then a quantum physics history highlighting the key contributors of this field, quantum physics 101 (quantization, superposition, entanglement and the likes). It then lays-out the basics to understand quantum computing with describing how gate-based quantum computing operates (qubits, gates, measurement), and then covers quantum computing engineering which includes quantum computer physical paradigms and architecture, error handling, quantum memory, quantum energetics, economics and how to deal with uncertainty.
[...]
-
Alors, on reprend une année et cela recommence ? On aimerait bien entendu que cela soit différent. Débarrassés du corona virus, des semi-confinements, des restrictions de déplacements et de réunions, et un retour à une vie plus normale, modulo les habitudes prises côté télétravail et les impératifs d’écoresponsabilité.
Comme chaque année, je profite d’une période de calme pour partager avec vous quelques prévisions loufoques (ou pas) du moment afin de prendre un peu de recul sur ce traditionnel exercice de déconstruction que j’ai déjà eu maintes fois l’occasion de réaliser. Entre les prévisions évidentes (les entreprises vont déployer de l’IA et du cloud, il y aura encore plus de données à gérer, les spécialistes de la cybersécurité qui prévoient l’arrivée de nouvelles attaques encore plus dangereuses), les désirs pris pour des réalités (les NFT vont tout bouffer, le Web3 va remplacer le Web2, l’arrivée des robots humanoïdes intelligents ou que sais-je) et les prévisions statistiquement fausses (machin va racheter bidule). C’est aussi l’une des rares occasions où je me défoule sur des sujets qui m’ont agacé toute l’année mais sur lesquels je suis resté relativement silencieux.
[...]
-
Nous voici à la fin de ce CES 2021 que l’on ne peut plus qualifier de “Las Vegas” puisqu’il avait lieu sur Internet, et plutôt aligné sur le fuseau horaire EST (New York / Washington).
Cette photographie de début d’année de l’état de l’offre technologique du moment ne pouvait pas s’analyser de la même manière que d’habitude. La découverte des nouveautés, qu’elles proviennent de grandes entreprises établies, de PME ou de startups, ne bénéficiait pas de la sérendipité de la visite d’un salon physique. La capacité des exposants à se faire connaître par leurs relations médias était encore plus déterminante que d’habitude pour sortir du lot. Cela semble avoir été préjudiciable aux startups qui ne bénéficiaient pas de l’appel d’air de la zone Eureka Park des éditions précédentes ou qui ne faisaient pas appel à des agences de relations publiques pour se faire connaître auprès des médias.
[...]